Métabolisme Hyperglycémie

L’auto-surveillance glycémique : Mesurer l’efficacité des traitements Permettre l’adaptation des traitements ou l’adaptation des traitements ou l’adaptation des doses d’insuline. Dépister les complications et y répondre rapidement : hypo ou hyperglycémie, infection, pathologie intercurrente, … Pour les DT2, permet d’objectiver la maladie Glycémie digitale = symptôme. En quoi consiste-t-elle ? Le choix du matériel La tenue d’un carnet de surveillance glycémique Le prélèvement capillaire.

aussi tenir compte des heures et d’essayer de les faire à la même heure chaque jour. Si le patient est en hypoglycémie il faudra absolument qu’il mange du sucre, et dans ce cas nous baisserons l’insuline, dans le cas contraire quand il est en hyperglycémie le taux d’insuline sera augmenter. Dans certains cas l’infirmière prendra la décision de baisser/augmenter ou non l’insuline. Certaines personnes diabétiques réussissent à être autonome et contrôle tout seul leur taux ainsi que les injections

déficits ou les excès, notamment : en ions sodium Na+ : natrémie (hyponatrémie, hypernatrémie) ; calcium Ca2+ : calcémie (hypocalcémie, hypercalcémie) ; potassium K+ : kaliémie (hypokaliémie, hyperkaliémie) ; en sucre : glycémie (hypoglycémie, hyperglycémie) ; l'acidité, le pH, et notamment la quantité de gaz carbonique ou capnie (hypocapnie, hypercapnie) ; l'osmolarité ; la circulation sanguine ; la température (hypothermie, hyperthermie) : homéothermie. Cette régulation se fait entre autres

pré-diabétique. Tout prélèvement supérieur à 2g/L ou 11mmol. Hémoglobine glycosylée (Hb1Ac) : glycémie enregistrée su les 3 mois avant le prélèvement, plus elle est glycolysée et plus la glycémie est haute, si Hb1Ac supérieur 6% alors diabète. Hyperglycémie provoquée par voir oral (HPVO) : utilisée uniquement dans le dépistage de diabète gestationnel que si facteur familial. ¤ Différents types de diabète : De multiples formes : diabète de type 1 ou diabète insulino-dépendant : diabète du

fume depuis l’âge de 15 ans, env. 20/jours, il s’est arrêter 3 ans il y a 6 ans. Il est allergique à la pénicilline. Lors de son entré dans notre service il présentait : ‣ Une TA à 14/7 p# 70 T36,9°C ‣ Une hyperglycémie à 4,11 g/L ‣ Une BU à 5g/L de Glycosurie et 0,15g/L d'acétones (hyperglycémie et céto-acidose) ‣ Un ECG normal Suite à la visite de l’interne, il a été prescrit : Une surveillance des urines à chaque miction, Une perfusion de G5 avec pousse seringue d’insuline avec un débit à 2UI/H

connaît bien, qu’il ne faut pas lui faire d’injection si elle est en-dessous de 11 mmols/L car elle peut vite se retrouver en hypoglycémie après et ne pas être bien. Elle me dit qu’en général, elle préfère ne pas faire du tout d’injection car ses hyperglycémies se régulent dans la journée. Qu’un simple contrôle dans l’après-midi suffira. Le protocole tel qu’il est édité en salle de soin m’indique comme prescription médicale que Mme V. doit recevoir 5UI d’Actrarapid® en sous-cutané puisqu’elle a un HGT

d’une élimination excessive d’urine et d’une soif intense. Il se rapporte à une perturbation hormonale de l’hypophyse. Le diabète sucré est une maladie lié à un trouble de l’assimilation des glucides, avec présence dans de sucre dans le sang (hyperglycémie) et dans les urines (glycosurie). 2) Les origines Ces deux types de diabète sont principalement liés à la génétique. Le poids de l’hérédité diffère selon qu’il s’agit du diabète de type 1 ou du diabète de type 2. Lorsque l’un des deux

Hypoglycémie L'hypoglycémie (ne pas confondre avec hyperglycémie) est une concentration en sucre dans le sang (glycémie) anormalement basse, c'est-à-dire, inférieure à 0,60g/l. Une hypoglycémie a lieu quand la glycémie à jeun est inférieure à 0,60 g/l (3,3 mmol/l). Les manifestations peuvent-être les suivantes : Et aussi : maux de tête, pâleur, fatigue et palpitations. En cas d’hypoglycémie, il faut cesser toute activité physique et faire une glycémie capillaire, si possible. Si la glycémie est

l’insuline.  Résultat : le glucose ne pénètre pas dans les cellules et la quantité de sucre qui reste dans le sang augmente.  En résumé : Le diabète est une élévation anormale et permanente du taux de sucre dans le sang. Quels sont les risques d’une hyperglycémie prolongée ? Le sucre peut se lier avec les protéines de la paroi du vaisseau sanguin : les protéines glyquées. Ce qui peut entraîner : * Cécité * Coma * Occlusions de capillaire sanguins * Hypertension * Infarctus * Neuropathies

parvient pas à utiliser convenablement le sucre (glucose), qui est un « carburant » indispensable à son fonctionnement. Le glucose, mal absorbé par les cellules, s'accumule alors dans le sang. Cette concentration anormalement élevée de glucose (hyperglycémie) peut entraîner de graves conséquences aux yeux, aux reins, au coeur et aux vaisseaux sanguins. Les principaux types de diabète Diabète de type 1. Également nommé « diabète insulinodépendant » (DID) ou « diabète juvénile », le diabète de type