Métamorphisme

s’éloigne de la dorsale sous l’effet de la divergence, celle-ci se refroidie en grande partie grâce à l’hydratation qui est le résultat de la circulation de l’eau de mer dans la croûte nouvellement formée. La circulation de l’eau de mer entraîne un métamorphisme hydrothermal des roches. De nouveaux minéraux hydratés (OH-) appelés amphiboles apparaissent formant des auréoles autour des minéraux que contiennent les gabbros, c'est-àdire pyroxènes et feldspaths plagioclases. On voit apparaître en premier des

-Enfin la dernière étape, celle du sommet, aucune végétation avec des éboulements de roche sombre, de forme ronde et sans cristaux ni bulles, ce sont des Basaltes. On peut observer, sur les gabbros, des petits minéraux verts, qui nous montrent un métamorphisme hydrothermal (refroidissement brusque du gabbro, qui se fissure pour laisser passer l’eau de mer, ce qui modifie la composition des roches) On peut donc conclure à la fin de cette journée qu’il y avait un océan alpin à l’époque du Jurassique Supérieur

Au
cours
de
l'expansion
océanique,
la
croûte
océanique
 emmagasine
de
l'eau
lors
de
réactions
métamorphiques
 qui
produisent
des
minéraux
hydroxylés
 (métamorphisme
hydrothermal).

 
 
 Lors
de
sa
subduction,
la
croûte
océanique
subit
un

métamorphisme
de
haute
pression
‐basse
 température
permettant
la
formation
des
schistes
bleus
puis
de
l’éclogite.
Ce
métamorphisme

 s’accompagne
d’une
déshydratation
des
minéraux.


 L’eau
ainsi
libérée
percole
dans
le
manteau
situé
au‐dessus
de
la
plaque
plongeante
et
abaisse
le
point


côte Ouest de l'Amérique du Sud)  Éléments de correction Mise en place de l'activité magmatique : • Plongée de la lithosphère océanique : augmentation de la pression (la plaque reste « froide »)ce qui provoque un métamorphisme des roches de la croûte océanique. • Métamorphisme : déshydratation de la croûte océanique. •Hydratation de la péridotite sus-jacente et abaissement ainsi de son solidus : arrivée à unecertaine profondeur, les conditions sont alors réunies pour que la péridotite entre

Alpes la succession de roches suivante : de bas en haut on rencontre des péridotites, des gabbros puis des basaltes (p.208-209). Cette association particulière de roches est appelée « ophiolites ». Ces ophiolites comportent souvent les traces d’un métamorphisme de type schistes verts. Elles sont interprétées comme des reliques d’une lithosphère océanique. Les ophiolites sont associées à des roches sédimentaires caractéristiques des grands fonds océaniques (radiolarites, p.207). La partie interne de la

transforment alors en roches métamorphiques, littéralement des roches ayant acquis une autre forme. Ce processus de transformation sous l'effet de températures et de pressions élevées est le métamorphisme. Comme les roches sédimentaires, les roches ignées peuvent aussi être soumises aux processus du métamorphisme et produire des roches métamorphiques. Il y a des façons autres que l'enfouissement aux racines des chaînes de montagnes pour former des roches métamorphiques, comme par exemple la cuisson

la même composition chimique que la péridotite… (Page 209 et exo 2 page 224) D/ Les transformations qui affectent la LO « vieillissante » La LO se « forme » donc au niveau des dorsales puis va évoluer progressivement.. (Voir vidéo bilan) 1) Le métamorphisme hydrothermal 2) L’épaicissement de la LO Conclusion 1° La divergence des plaques, de part et d’autre des dorsales, permet la formation d’une nouvelle LO (lithosphère océanique), dont la croute se forme par apport de magma d’origine mantélique.

| | | |TP\TP 3.doc | |D. le métamorphisme des zones de subduction peut-il expliquer le magmatisme ? | | |

température. Ce phénomème transformant les roches à l’état solide grâce à l’eau chaude (près de la dorsale) s’appelle le métamorphisme hydrothermal. Or je sais que le métamorphisme hydrothermal est à l’origine de l’augmentation de la densité de la lithosphère océanique. J’en déduis donc que la lithosphère voit sa densité augmenter parce qu’elle refroidit et parce qu'elle subit le métamorphisme hydrothermal. Sur le document 3a, qui est accompagné d’une réaction chimique (doc 3b) ayant lieu lors du vieillissement

a été "remise à zéro" par le métamorphisme hercynien. La couverture du socle cadomien (séries de Lamalou – St. Gervais) a été autrefois considérée comme infra-cambrienne. Maintenant l'hypothèse la plus plausible est un âge cambrien. L'âge de plus ancien connu de façon certaine est celui du granite du Mendic 510-450 Ma. Il s'agit d'un granite tardi-cadomien intrudé dans une couverture sédimentaire (forcément plus ancienne => Cambrien inf.) qui a subit un métamorphisme de contact. Mis à part les formations