Même La Pluie

PLUIE SYNTHETIQUE PROBLEMATIQUE : L'entrée fondamentale d’un modèle de simulation hydrologique est évidemment la pluie ou encore le hyétogramme. Plusieurs pluies synthétiques ont donc été mises sur pied en fonction des caractéristiques météorologiques de la région considérée. Le principe de cette pluie synthétique consiste à transformer une hauteur de pluie totale (Pt), cumulée durant un intervalle de temps (Td), en un hyétogramme reflétant la distribution temporelle de la pluie . Parmi les hyétogrammes

Ariettes oubliées III Il pleure dans mon cœur a Comme il pleut sur la ville b Quelle est cette langueur a Qui pénètre mon cœur ? a Ô bruit doux de la pluie c Par terre et sur les toits ! d Pour un cœur qui s'ennuie c Ô le chant de la pluie ! c Il pleure sans raison e Dans ce cœur qui écœure. a Quoi ! nulle trahison ?... e Ce deuil est sans raison. e C'est bien la pire peine f De ne savoir pourquoi d Sans

emphatiques et les parallélismes des vers 9 à 13. | |Mais le poète ne devient que le témoin d'une scène entre deux amoureux dont il se sent le complice. | |Le bonheur inonde les personnages comme la pluie. La pluie est l'image du bonheur. | | | |Un poème

marchais souriante Épanouie ravie ruisselante Sous la pluie Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest Et je t'ai croisée rue de Siam Tu souriais Et moi je souriais de même Rappelle-toi Barbara Toi que je ne connaissais pas Toi qui ne me connaissais pas Rappelle-toi Rappelle-toi quand même ce jour-là N'oublie pas Un homme sous un porche s'abritait Et il a crié ton nom Barbara Et tu as couru vers lui sous la pluie Ruisselante ravie épanouie Et tu t'es jetée dans ses bras

deux amoureux dont il se sent le complice. Le bonheur inonde les personnages comme la pluie. La pluie est l'image du bonheur. Un poème engagé. a) Ce tableau est déchiré par un cri de colère (v. 37-38) : l'argot choque, déplacé en poésie. b) Il est remplacé par un nouveau tableau, pathétique, écrit au présent, duquel ils sont absents. On ne saura jamais ce qu'ils sont devenus dans la guerre. c) Par métaphore, la pluie devient bombardement mortifère, paysage d'horreur (v. 40-41), larmes de deuil (49)

Poésie lyrique : poésie à la 1ere personne, où le poète semble parler de lui-même (de ses sentiments, de ses réflexions). Ce faisant, il peut représenter chaque homme, au sens où les questions fondamentales sont les mêmes pour tous (amour, mort, place de l'homme dans l'univers, etc...) Un aspect moins connu du lyrisme est son origine : poésie liée à la musique, au départ, faite pour être chantée (Orphée, encore lui, s'aidait d'une lyre). Poésie engagée : poésie qui prend position d'un point de

chanson Prévert choisit une forme extrêmement libre, sans strophe, déjà très proche de la chanson puisque nous y trouvons un refrain qui revient quatre fois sous la forme « Rappelle-toi Barbara » ou sous une forme très proche: « Rappelle-toi quand même ce jour-là » ou « Rappelle-toi cela Barbara ».Les vers sont libres dans la mesure où ils n’ont pas de régularité, mais on trouve des constantes rythmiques très fortes à travers tout le texte, en particulier dans l’emploi de l’hexasyllabe (vers de 6

du recueil . poèmes courts qui évoquent des paysages intérieurs, sentiments de mélancolie (rupture avec sa femme), croquis de voyage. Le mot « romance » accentue la musicalité des vers. 4 quatrains, vers courts hexasyllabes (6) rimes abaa, même mot à la fin du 1er et 4ème vers. 1ère partie : paysage 2ème partie : disposition du paysage, interrogation sur la tristesse sans cause déterminée Explication linéaire 1ère strophe : Mélancolie de Verlaine en harmonie avec le paysage

bouquet de houe vert et de bruyère en fleur. Texte 2 : « Mon rêve familier», Poèmes Saturniens, Verlaine Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur transparent Pour elle seule, hélas ! Cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant

le plan. Jacques Prévert évoque la pluie, la guerre, l’amour et les souvenirs. I.Leitmotiv de la pluie (Phrase, idée qui revient régulièrement) La pluie → sert de toile, de fond au poème dès le V.2 « il pleuvait sans cesse sur Brest… » Elle est là pour créer l’atmosphère typique du climat breton Fait partie du décor : v.2, v.4  « ruisselante », v.5 « sous la pluie », v.7, v.20, v.21, v.31, v.34, v.40, v.46, v.49… : _ Les premières références de la pluie sont heureuses : v.4, 31-32-33 : répétitions