Nanotechnologie

des étudiants sont dans les deux universités cités précédemment. Pole scientifique de Grenoble ; on aperçoit le Synchrotron qui forme un Cercle Grenoble est surtout une technopole grâce aux différentes entreprises scientifiques (nucléaire, nanotechnologie, recherches…). Les domaines scientifiques y sont divers et variés, ce qui permet de faire jouer la concurrence dans certains domaines. Bien sur il y a beaucoup de scientifiques à Grenoble grâce notamment au projet du Synchrotron qui rassemble

française )Au niveau de l’environnement technologique, le développement et l’extension des technologies numériques de l’information et de la communication représente toujours un bassin de croissance. Plus récemment, l’essor des biotechnologies, des nanotechnologies permet d’accroître le progrès technique et favorise ainsi la croissance. Seules les énergies renouvelables ont ce potentiel de créer de nombreux emplois. Dans une France qui a vu le taux de chômage battre son record historique après 23 mois de

en fait des conjectures : elles sont vouées à l'échec à long terme. Il prédit que le nombre de transistor sur un puce doublera tous les deux ans. Elle est suivie dans un premier temps, mais finalement est totalement dépassée avec l'arrivée des nanotechnologies. Nanotube de carbone : Les nanotubes de carbone sont une forme allotropique (c'est-à-dire la faculté d'un corps simple d'exister sous plusieurs formes) du carbone appartenant à la famille des fullerènes. Transistor : Le transistor est

il faut ajouter le Polygone Scientifique aux portes mêmes de la ville. C’est cette accumulation de parcs technologiques qui lui confère le statut de technopole. Electronique, informatique, agrochimie, matériel neurochirurgical, microsystèmes, nanotechnologies, biopuces : toutes ces industries de pointe fonctionnent là en synergie, en relations étroites avec les universités et les grandes écoles. Les facteurs de localisation sont multiples. Outre l’existence d’établissements d’enseignement supérieur

touristique régional, et la montagne fournit 23 % de l'hydroélectricité de la France. L'agglomération de Grenoble (420 000 habitants) est un pôle scientifique et technologique important dans les domaines de l'informatique, de la physique et des nanotechnologies. -L'économie du sud de la Bourgogne et de la Franche-Comté (logistique et agroalimentaire notamment) bénéficie de la proximité du carrefour lyonnais grâce aux axes de transport existants (autoroute A39) ou en projet (TGV Rhin-Rhône). 3

production bottom-up comme allant « du plus simple au plus complexe avec une précision atomique, chaque atome étant positionné un à un à sa place. [6] » C'est le principe qui permet d'envisager, dans le cadre des nanotechnologies, de contrôler la matière à l'échelle de l'atome. Les nanotechnologies permettraient de reproduire les mécanismes biologiques de la vie et de créer un monde où les objets se créeront tous seuls, se répareront tous seuls, à partir de l'atome de carbone. Et Christine Petterson d'ajouter

recherche et d’organismes de formation, engagés dans une démarche partenariale (stratégie commune de développement), destinée à dégager des synergies autour de projets innovants conduits en commun en direction d’un marché donné. Minalogic, pour Micro-Nanotechnologies et Logiciel GrenobleIsère Compétitivité, est l’un des six pôles de compétitivité mondiaux labellisés en 2005. Face à la concurrence internationale, la stratégie de Minalogic consiste à générer de la compétitivité par l’innovation. Pour y arriver

d’approvisionnement au niveau global. » D’après Steven Duclos : Il est possible de réduire la consommation de terres rares de 10% à 80% rien qu’en révisant leurs processus de production pour limiter les gaspillages. Utiliser le savoir-faire en matière de nanotechnologies pour fabriquer des nouveaux matériaux magnétiques et réduire de manière significative les quantités de néodyme précisément utilisées pour ses propriétés magnétiques. Il faut donc poursuivre la recherche de substituts à d’autres métaux rares et

microsystèmes), Crolles (optronique, semi-conducteurs et process en salle blanche càd totalement dépoussiérée), la ZIST (zone pour l’innovation et les réalisations scientifiques et techniques) du Meylan, le Polygone scientifique consacré aux nanotechnologies. A proximité de Nice, le technopôle de Sofia Antipolis totalise 1200 sociétés (dont plus de 100 sociétés étrangères) et 25 000 emplois. Ainsi ces technopoles représentent la France industrielle du XXIème siècle, largement tournée vers la haute

espace de loisirs, etc.…) tendance à la littoralisation (méditerranée). Périphéries des métropoles. Premier élément à retenir, c’est la R&D. L’Europe a quelques points forts quand même : en matière technique : Airbus, par exemple, tout ce qui est nanotechnologie, recherche fondamentale dans le SIDA, recherche chimique Allemande. Le TGV aussi (concurrencé par la Chine). Les français sont les plus productifs du monde. Un français produit plus à l’heure qu’un américain. 1-2-3 les enjeux du transport 80%