Napalm

merde du monde […] le déchet toxique sous-produit de la création divine. Je suis la merde et l’ordure humaine infectieuse de la création ». Au sous-sol, un singe de l’espace fait la lecture aux autres et leur apprend les trois manières de faire du napalm. Marla arrive et demande ce qu’il y a pour dîner. Elle est heureuse qu’il soit rentré. Ils quittent la Compagnie de Paper Street pour discuter calmement. Au café où ils s’installent le serveur l’appelle « Monsieur » et lui annonce que tout ce qu’ils

1961 (KENNEDY) : accroissement de l'intervention US : - 1961 : Special Forces : 17 000 "conseillers" de 61 à 63 Cf.3 p.161 - 1965 : débarquement à Danang ==> plus de 500 000 engagés en 1968 - au Nord : bombardements systématiques : bombe à billes, napalm, défoliants, destruction prioritaire des digues...= guerre moderne, électronique et chimique retrait progressif US dès 1968 : vietnamisation de la guerre ==> en 1973 : retrait total des militaires : Accords de Paris ==> - effondrement du S en

américains, et les révolutionnaires Viêt-congs, aidés par le Nord-Vietnam, l'URSS et la Chine. _ Malgré des bombardements massifs, qui représentent deux fois et demie le tonnage des bombardements alliés de la Seconde Guerre mondiale, et le recours au napalm pour défolier les forêts où se réfugient les viêt-congs, la guérilla l'emporte. En janvier 1973, les accords de Paris signent le cessez-le-feu et le retrait des Etats-Unis. Les communistes l'emportent au Sud-Vietnam en 1975, ainsi qu'au Laos et au

traitée et l’opposition communiste prend le nom du Vietcong, décident de libérer le pays et met en place un front de libération nationale soutenue par le Vietminh. Donc USA décide d’intervenir dans le cadre de la politique Truman. Johnson utilise napalm (arme chimique), c’est le président des USA. Ils sont contestés au sein de leur bloc ainsi que leur attitude. L’armée américaine s’enlise dans ce conflit. En 1973 ; sont signés les accords de Paris, qui mettent fin à la guerre du Vietnam par Nixon

lire les docs et répondre aux questions) : en 1964 les GIs sont envoyés au sud du Vietnam pour défendre le payas et le régime contre l’invasion du Nord-Vietnam communiste. Malgré la mobilisation de plus de 500 000 GIs et l’emploi d’armes chimiques (napalm essence/bombe incendiaire, agent orange herbicide/défoliant) la population usa refuse cette guerre et l’Armée s’enlise. . En janvier 1973, les accords de Paris signent le cessez le feu et le retrait des USA. Les communistes l'emportent au Sud Vietnam

: 900 000 morts). Certaines photos diffusées dans les médias ont choqué car elles illustrent la violence de ces confrontations. Notamment une photo très célèbre de Phan Thi Kim Phuc, enfant grièvement brûlée, s'échappant de son village bombardé au napalm. Cette photo montre bien le désastre de cette guerre, on parle ainsi « d’escalade de violences » car il y a eu plusieurs vague de brutalité. Donc le terme « escalade » dans l’œuvre de Gina Pane peut faire référence à l’engrenage des évènements

; – des armes à laser aveuglantes ; – des torpilles qui ne s’autodétruisent pas après avoir manqué leur cible. L’usage de certaines armes est autorisé à condition de respecter certaines prescriptions. – L’utilisation d’armes incendiaires (bombe au napalm, obus incendiaires, lance-flammes...) est strictement limitée à l’attaque d’objectifs militaires. Il est interdit de mener une attaque au moyen d’armes incendiaires contre un objectif militaire situé à proximité ou à l’intérieur d’une concentration

des unités de débroussaillage performantes. Les armes incendiaires se présentent en tout état de cause de plus en plus comme des munitions spécifiques : grenades, roquettes, bombes, obus… qui permettent un tir à distance. (voir aussi Feu grégeois et Napalm) Le mortier est une pièce d'artillerie dont le calibre varie entre 45 mm et 81 mm pour les armes portables et atteint 160 mm pour les armes plus lourdes. Il fonctionne selon le principe du tir indirect, les projectiles sont tirés vers le ciel et

indirectement (apports d’armes etc) par l’URSS et la Chine. En 1964, sous l’égide de LB Johnson, les Etats-Unis s’engagent plus massivement dans la guerre, pour soutenir le sud Viêt-Nam. Cette « aide » américaine est violente : des bombardements au napalm, (plus de 500 000 t de bombes seront lancées entre 1965 et 1968) des villages entiers brûlés, des hommes appelés au front (536 000 américains enrôlés en 1968). C’est un conflit très violent, l’utilisation des armes chimiques choque les citoyens, ainsi

similaire : « Le lendemain j’ai trouvé dans une poubelle un journal qui se félicitait de la décision qu’Edgar avait prise de nettoyer l’asile à grands coups de napalm. Ça sentait encore drôle dans l’air, il y avait des cendres qui voletaient partout dans le quartier comme une neige pas saine »83. Bien qu’elle emploie des mots tels que « napalm, » « cendres, » « vêtements calcinés, » la narratrice ne perçoit pas leurs pertinence. En plus, même si cette citation semble nous indiquer que la protagoniste