Naples

XVIIIe siècle, qui exposait les œuvres des artistes agréées par l'Académie des beaux-arts) en 1852 où il exposera jusqu'en 1880, hormis quelques interruptions. De 1857 à 1859, il effectue un deuxième voyage en Italie (Rome, Florence, Milan, Pise, Sienne, Naples, Venise), où il passe des mois à copier les œuvres du Titien, de Léonard de Vinci et les fresques de Michel-Ange de la chapelle Sixtine. Il emprunte beaucoup aux maîtres de la Renaissance et intègre également des motifs exotiques et orientaux dans

en tant que tel en premier, dès le XIXe siècle (bien que des organisations du même type aient pu exister à d’autres endroits et en d’autres temps). Plusieurs organisations mafieuses sont recensées en Italie méridionale : la Camorra (en Campanie : Naples), la Cosa Nostra (en Sicile) - celle-ci était jadis désignée sous le nom de mafia, dont le sens fut ensuite élargi, et ce jusqu'à qu'un pentito révèle qu'entre eux, les mafieux siciliens utilisaient le terme de Cosa Nostra, la 'Ndrangheta (en

romancier et un autobiographe mais également un fin critique d’art dont la réflexion esthétique influença le travail romanesque (tout particulièrement avec sa théorie du beau idéal). Œuvres • Histoire de la Peinture en Italie, Paris, 1817 • Rome, Naples et Florence, Angoulême, 1817 et 1827 • De l’amour, Paris, 1822 • Racine et Shakespeare, Paris, 1823 • D’un nouveau complot contre les industriels, Paris, 1825 • Armance. Quelques scènes d’un salon de Paris en 1827, Paris, 1827 • Le Rouge et le

la Scala qui, à l’époque est le temple de la musique mais aussi le lieu de réunion de l’intelligentsia milanaise, les loges servant de salons. Il publie en 1817 deux livres l’Histoire de la peinture en Italie et sous le pseudonyme de Stendhal Rome, Naples et Florence. Mais en 1821 après une déception amoureuse causée par Matilde Viscontini-Dembowski et devenu suspect à la Police autrichienne, il doit quitter Milan et regagner Paris, ce qu’il fait en juin 1822. L’héritage de son père ayant disparu

(1772‑1821), jeune femme issue de la bourgeoisie nantaise (voir maison natale de Victor Hugo). Benjamin d'une famille de trois enfants après Abel Joseph Hugo (1798‑1855) et Eugène Hugo (1800‑1837), il passe son enfance à Paris. De fréquents séjours à Naples et en Espagne, à la suite des affectations militaires de son père, marqueront ses premières années. Ainsi, en 1811, il est, avec son frère Eugène, pensionnaire dans une institution religieuse de Madrid, le Collège des Nobles. Vers 1813, il s'installe

Alphonse de Lamartine, Poète Alphonse de Lamartine est né en 1790 à Mâcon, très jeune il est attiré par la littérature et devient un grand admirateur de Chateaubriand. A l'âge adulte pour éviter de servir Napoléon il part en Italie, à Florence, Rome et Naples, ou il assouvit sa passion pour l'Antiquité. A son retour en France, son père lui donne la charge de maire de Milly, c'est le début d'une longue carrière politique. A l'automne 1816 alors qu'il se trouve à Aix-Les-Bains pour soigner ses troubles nerveux

effet le Vatican et St-Marin font partie de l’espace Italien. Le pays est cependant littéralement coupé en deux économiquement parlant ; avec une Italie du nord riche et dvp avec son triangle d’or Milan-Turin-Gènes et un sud en marge avec la ville de Naples contrôlé en partie par la mafia. Elle est tout de même la 7ème puissance mondiale et fait donc partit des membres du G8. L’Italie est également avec Milan le pays de la mode et du luxe, c’est la pays du luxe (Gucci, Versace, D&G…). L’Italie est aussi

d'intendant militaire dans la Grande Armée. Accompagnant les campagnes napoléoniennes, il voyage en Allemagne, en Autriche, puis à Moscou en 1812. A la Restauration, privé de ressources, Henri Beyle s'installe en Italie et commence à publier ("Rome, Naples et Florence", 1817) sous le pseudonyme de Stendhal, nom d'une petite ville d'Allemagne. Soupçonné d'espionnage par l'Autriche, il doit rentrer à Paris en 1821 où il fréquente les salons libéraux et romantiques. Ayant fait de l'amour la "principale

Elle fait la bouche prend là le préjudice sa course. Connaît chacun lui, » l'Italien typique « au coin, pour lequel on se sent si correctement italien. Du haut-parleur, l'Al Bano, braille à la paroi umbrafarbenen accroche des images pétrolières de Naples et Palermo, les serveurs est petit, durable et rapide et s'appelle des Luigi, des Sergio ou des Alfredo. L'air est mis enceinte par le vin rouge et les Pesto. Dans une telle atmosphère, dans nous, le besoin de dépouiller notre identité allemande et

baroque naît en Italie à Rome, à Mantoue, à Venise et à Florence et se répand rapidement dans la plupart des pays d’Europe. Il touche tous les domaines artistiques, sculpture, peinture, littérature, architecture et musique. Bernini: 1598: naissance à Naples de Giovani Lorenzo Bernini dit le cavalier Bernin, 1628-1647: Il travaille au fastueux tombeau d'Urbain avec les fontaines du triton place Bernini (= place d'Espagne). 1680: mort de Bernini. Obélisque égyptien: Monument de forme quadrangulaire