Nappe phréatique

de l’eau observé dans un puits ou forage) qui, dans le cas d’un aquifère à nappe libre, correspond au niveau de la nappe, ainsi que l’épaisseur de la nappe ; – la productivité de la partie mouillée de l’aquifère, que l’on caractérise entre autres, par son débit en m3.heure–1 (quantité d’eau extraite d’un forage par unité de temps) ; – la température de l’eau de la nappe ; – la qualité physico-chimique de l’eau de la nappe, notamment son caractère corrosif ou entartrant. La combinaison des deux critères

nappes d’intérêt limité : les nappes alluviales côtières – Bas Loukkos, Martil et Laou vulnérables à la 13 surexploitation et à la pollution Utilisation des ressources en eau Alimentation en eau potable Larache: par des eaux souterraines de la nappe de Rmel avec 8 Mm3 /an ville Ksar ElKébir est renforcée par le barrage Oued El Makhazine avec 7 Mm3/an Khmiss Sahel est alimenté à partir des eaux souterraines En milieu rural, le taux global d'accès à l'eau potable a été porté à plus de 63% en

ou marais salants des régions tempérées). Elles constituent l'habitat de nombreuses espèces et font office de régulateurs en cas d'inondations ou de sécheresses. La pollution générale de l'eau des fleuves et rivières mais aussi celle des nappes phréatiques, par les industries et l'agriculture, contribue à la disparition de nombreuses espèces. Ainsi cette irrégulière répartition et l'exploitation excessive d'eau modifie la faune et la flore à travers la planète et remet en cause une « ressource renouvelable »

mauvaise irrigation et du recours abusif des pesticides, se révèlent fondées et sont aujourd’hui d’actualité. Une portion de la surface agricole utile du pays est ainsi fortement dégradée : salinisation des sols, baisse du niveau de certaines nappes phréatiques sont monnaie courante dans certaines régions. La conjonction de ces trois facteurs permet d’expliquer pourquoi la productivité moyenne des exploitations indiennes est bien inférieure à celle de l’Union européenne (UE) ou de la Chine8.

un environnement entièrement artificiel, nous avons encore besoin de la nature, qui assure une série de services indispensables à notre survie : régulation des climats, épuration de l’air, production d’eau potable et approvisionnement des nappes phréatiques, décomposition et recyclage des déchets formant les sols arables, protection des sols contre l’érosion, maintien des cycles biogéochimiques, contrôle des parasites, virus et autres maladies, etc [8]... Pour ces raisons, la disparition accélérée

en eau: Koweït, Bahreïn, Emirats Arabes Unis, Malte, Libye, Singapour, Jordanie, Israël, Chypre. 2- Problèmes de gestion de l'eau Si les réserves d'eau douce sont largement suffisante peur alimenter l'humanité, l'exploitation des nappes phréatiques est plus délicate et risque à terme, en cas d'excès, d'entraîner leur épuisement et avec elles la destruction des biotopes qu'elle alimente. A la différence des cours d'eau, les nappes souterraines sont des réservoirs qui se renouvellent très lentement

renouvelables et celles qui ne le sont pas. Les eaux considérées comme renouvelables sont celles correspondant au cycle naturel de l’eau, ce sont donc les eaux disponibles dans les cours d’eau, les rivières, les fleuves, les lacs, les nappes phréatiques ou provenant de la pluie. Celles qui ne sont pas renouvelables (ie. celles ayant un temps de régénération négligeable devant la durée d’une vie humaine) sont celles contenues dans les aquifères de profondeur. Tout comme les ressources en eau

 Pollution des eaux Les stocks d’eau sur Terre devraient être capables de se renouveler. Malheureusement, certaines activités de l’homme (les usages domestiques, l’industrie ou l’agriculture) polluent gravement les cours d’eaux et nappes phréatiques, sources d’eau potable. En plus de provoquer des dégâts parfois irrémédiables sur l’écosystème, cette pollution tue chaque année plus de 2,2 millions de personnes, surtout dans les pays les plus pauvres qui manquent cruellement de système d’assainissement

plantes aspirent la totalité de l’eau qui a infiltré le sol et les rejettent par l’évapotranspiration et les écoulements dans le cas où la quantité d’eau est trop importante par rapport au nombre de plantes et alors elle s’écoule dans les nappes phréatiques en attendant d’être puisé par l’homme pour ses divers besoins. Sa troisième forme la forme de la glace, l’eau est solide on en trouve très peu environ 3% après des précipitations en Antarctique ou au Groenland la glace se fige dans un bloc de glace

pourtant pratiquée par l’industrie pétrolière depuis la fin des années 1940. On lui reproche l’immense quantité d’eau nécessaire : de 10.000 à 15.000 m3 par puits - l’équivalent de 4 piscines olympique, mais aussi les risques de pollution des nappes phréatiques et des rivières. Ou encore, le nombre important de puits nécessaires et leur impact sur les paysages. A cela, il faut ajouter le manque de transparence sur les additifs chimiques utilisés. La fracturation hydraulique, une technologie ancienne