Nappe phréatique

Fracturation hydraulique et aquifères: jusqu’où peut aller une fracture ? Ce dossier est basé sur l’article : « Fractures hydrauliques : jusqu’où peuvent-elles aller ? » de Richard J. Davies, Simon Mathias, Jennifer Moss, Steinar Hustoft et Leo Newport, publié dans Marine and Petroleum Geology, 2012, et disponible pour téléchargement gratuit sur : www.dur.ac.uk/refine La fracturation hydraulique est un processus où la roche est fracturée de façon délibéré par l’injection de fluide à

organiques, qui libère des nitrates. Cependant, c'est ce reliquat présent dans les sols qui est la source de pollution des nappes phréatiques et des rivières. La source de pollution est donc dû à un excès d'engrais. Comme ces ions nitrates ne sont pas fixés par le complexe argilo-humique, lorsqu'il pleut, ils sont lessivés et se retrouvent dans les nappes phréatiques et dans les rivières. Ce qui favorise donc le développement des algues vertes. En plus, ces eaux souterraines alimentent nos habitations

diagnostics ou de réhabilitation. Les origines La pollution des sols provient de plusieurs facteurs, tout d'abord, on trouve les micropolluants , d'origines organiques qui sont absorbés par le sol et qui s'infiltrent jusqu'aux nappes phréatiques, on a aussi les métaux qui dégradent le sol, d'origine naturelle ou sont issus de l'activité humaine, tout comme les pesticides employés dans l'agriculture. Cependant, toutes les zones ne sont pas égales devant les pollutions, certaines sont particulièrement

ou différés ; Les causes de la pollution des sols La pollution des sols est également un sujet dont on entend de plus en plus parler ces dernières décennies. L’utilisation d’engrais chimiques, en infiltrant les sols, peut atteindre les nappes phréatiques et polluer l’eau. Mais les pollutions du sol peuvent également être dues à d’autres activités : rejets industriels, utilisation de produits phytosanitaires par les ménages, pollution accidentelle. Des opérations de dépollution de sites sont aujourd’hui

présente en surface, celle qu’on trouve dans les lacs, les réservoirs (lacs artificiels) et les rivières, et qui est renouvelable. A peut y ajouter, dans une certaine mesure, une partie des eaux souterraines. Mais la part renouvelable des nappes phréatiques se retrouve souvent dans l’eau des sources. Source : PNUE (Programme des Nations-Unies pour l’Environnement). 50 villes de plus de 6 millions d’habitants manquent d’eau. 6 millions de personnes meurent chaque année du fait de la mauvaise qualité

ravagées par les famines que du fait de capacités de production insuffisantes. Il n’est pas sûr cependant que cette situation perdure : l’érosion des sols s’accélère, l’usage excessif des ressources en eau douce à des fins agricoles épuise les nappes phréatiques, l’épandage massif des pesticides et autres fertilisants engendre des effets secondaires si négatifs qu’il va bien falloir limiter sévèrement leur usage, le besoin de développer les énergies renouvelables en substitution au pétrole risque d’amener

Premièrement la productivité agricole, qui est la capacité de production a réussi à s’accroitre pour pouvoir subvenir à tous les besoins de la nouvelle population. Ensuite l’usage excessif des ressources en eau douce à des fins agricoles épuise les nappes phréatiques qui sont des nappes d’eau souterraine. Les pesticides utilisés pour pouvoir accomplir une production agricole suffisante pour tous les habitants de la planète ont des effets nocifs, pour pouvoir éviter ces effets très négatifs nous allons devoir

roche, elle adhère plus ou moins fortement par effet de la tension superficielle à la partie solide ;   une zone saturée dans laquelle les interstices de la roche sont complètement saturés d’eau. Cette eau contenue dans la roche prend le nom de « nappe ». La densité des vides varie de quelques % à 15% usuellement. Elle ne constitue que très rarement des rivières ou des lacs souterrains. Il y a plusieurs types de nappes : * Les grandes nappes libres des formations sédimentaires * Les nappes

elle est limitée, et est inégalement répartie. Sa répartition dépend essentiellement de la pluviométrie, très inégale selon les climats, mais également des ressources superficielles (ex : grands lacs) et des réserves d’eau souterraines (nappes phréatiques) dont dispose le pays. L’accès à l’eau est lui aussi différent, selon le niveau de développement du pays et ses moyens. De plus, la demande en eau augmente fortement ; trois raisons essentielles en sont la cause : la croissance de la population

des côtesde l'Arabie Saoudite.Certains pays ontégalement recourt à la mise en place degrands équipements de transfert d'eautel que les canaux, les aqueducs ouencore les tuyaux de conduite. Enfin,d'autres puisent leurs ressources dansles nappes phréatiques fossiles. Tousces aménagements permettant unemaitrise de l'eau ont forcément desimpacts direct : une des conséquencesest la transformation de paysagesnaturels. Tout d'abord, les périmètresirrigués modifient,comme par exempleen Arabie Saoudite, un