Nappe phréatique

l'homme. • Cette ressource représente plus de 40 millions de km3 répartis entre : les eaux de surface (lacs, bassins hydrographiques – espaces drainés par un cours d'eau et ses affluents) ; les nappes aquifères (réserves souterraines ; nappes phréatiques – si elles sont proches de la surface ; nappes fossiles – si elles ne se renouvellent plus) ; les inlandsis (calottes glaciaires des régions polaires) qui ne sont pas exploités. • L'accès à l'eau dépend du cycle de l'eau et de la répartition des

population toujours grandissante. Mais ce mode de production met en péril la biodiversité par la pollution des sols et des nappes phréatiques qu'il provoque. En effet, pulvérisés à hautes doses sur les cultures, les nitrates et autres produits phytosanitaires présents dans les pesticides et engrais s'infiltrent dans le sol, ruissellent, et atteignent les nappes phréatiques, les cours d'eau souterrains et les rivières avoisinantes où se trouve notre ressource en eau douce. Désormais polluées, les eaux

certaines, de pénuries. En milieu aride et semi-aride, la situation est critique. La population d'Alger est soumise à un rationnement drastique ; Athènes, en été, les villes du Moyen-orient en général, connaissent de sérieuses difficultés ; les nappes phréatiques de Mexico s'épuisent dangereusement. Les solutions passent dans le meilleur des cas par des politiques hydrauliques à grande échelle. Pour alimenter les villes d'Alger et d'Athènes , les autorités des pays en question ont aménagé des canaux de dérivation

| |L'eau couvre 70% de la surface de la terre, mais seulement 0,3% de cette masse d'eau est directement utilisable. Elle se trouve dans | |les rivières et dans les nappes phréatiques, repartie très inégalement. | |En France:  | |- Les besoins d'eau

sécurité alimentaire mais à nuit à l’environnement : - Déforestation : disparition de la faune et la flore, entraine l’érosion des sols - Pollution du sol par tous les produits chimique tels que les engrais, pesticides… - Abime et pollue les nappes phréatiques - Le labourage en profondeur trop répété appauvrie le sol - Les caprins (chèvre) : ne boutent pas l’herbe ils l’arrachent jusqu’à la racine - Dans les régions sèches la pression agricole croissante a accéléré la déforestation : on a trop puisé

Le Colorado, fleuve aux Etats-Unis, ruisseau au Mexique Le débit naturel du Colorado devrait être de 700m3 /s à son arrivée au Mexique mais il a été tellement pompé et canalisé vers des dérivations lointaines tout le long de ses 2300 km aux Etats-Unis que ce n’est qu’un maigre ruisseau à l’embouchure : 4% du débit théorique, soit 35m3 aux termes d’un accord entre les deux pays mais l’eau est trop polluée pour être réellement récupérable Le nombre de conflits pour le contrôle de l’eau ne

pas toutes les précautions nécessaires pour éviter les fuites, avec l’utilisation massive d’engrais ou d’insecticides qui s’infiltrent dans les sols. Ces pollutions agricoles peuvent avoir plusieurs impacts sur la santé, en touchant des nappes phréatiques d’une part et en contaminant par bioaccumulation les cultures poussant sur ces sols d’autre part. Le sujet des sols pollués est de plus en plus d’actualité. La pollution des sols ne sont pas incontestablement palpables. Leur origine peut être soit

Vous avez dit pollution des sols ? Le sol recueille de nombreux produits issus de l’activité naturelle de la Terre (volcanisme) et de l’activité humaine (industrielle, agricole, domestique…). Parmi tous ces produits, certains métaux lourds sont indispensables à la vie du sol (cuivre, zinc), mais ce n’est pas le cas pour d’autres (plomb, mercure, cadmium). Tous sont toxiques à des doses plus ou moins élevées. Comment les métaux lourds arrivent dans les sols ? Pollution atmosphérique : gaz

est forte, plus l’inondation sera importante, mais l’inondation sera aussi aggravée si on trouve beaucoup de végétaux alors l’écoulement des eaux se fera plus lentement. De plus si les pluies sont très fréquentes dans la zone frappée, les nappes phréatiques et le sol auront beaucoup de mal pour absorber toute l’eau, donc l’écoulement de toute cette eau prendra plus de temps. Les perturbations orageuses d’automne et les pluies océaniques en hiver et au printemps aggravent les inondations

insectes et aux maladies et cela pourrait aider les pays en voie de développement en créant de nouvelles espèces adaptées à leurs conditions. - Les variétés modifiées consomment moins d’eau que les plantes naturelles, ce qui diminue moins les nappes phréatiques. Leurs qualités nutritionnelles sont plus développées, donc on pourrait économiser les engrais. Leur résistance raccourcit l’étape du labourage et le travail des sols devient plus facile. - L’enjeu économique lié à l’utilisation des OGM dépasse