Narine

ressemble plus à une machine qu’à un être humain. Pour ce magistrat, appliquer la peine de mort est une obsession. On le remarque dans son regard vif et fixe sur le spectateur (folie meurtrière). Son nez est réduit à deux traits ce qui fait penser aux narines de serpents. La bouche n’a rien d’humain : ce n’est plus une bouche mais une guillotine. Ses lèvres représentent le couperet et l’emplacement de la tête du condamné. Il y a une métaphore figurative, sa bouche ouverte qui prononce la peine capitale

figure ; mais, quand il le retirait, il découvrait, à la place des paupières, deux orbites béantes tout ensanglantées. La chair s’effiloquait par lambeaux rouges ; et il en coulait des liquides qui se figeaient en gales vertes jusqu’au nez, dont les narines noires reniflaient convulsivement. Pour vous parier, il se renversait la tête avec un rire idiot ; alors ses prunelles bleuâtres, roulant d’un mouvement continu, allaient se cogner, vers les tempes, sur le bord de la plaie vive. Il chantait une petite

nasales. Ces tubes se rétrécissent à la région de l’inter mâchoire, ce qui empêche l’eau pompée par la trompe de pénétrer dans la cavité nasale ; ils offrent ensuite une dilatation, puis de resserrent de nouveau à l’endroit où ils s’ouvrent dans les narines osseuses, et où ils sont couverts par un cartilage nasal ovale. (…) Les tubes sont entourés d’une multitude de faisceaux musculaires, les uns longitudinaux, les autres rayonnant vers la peau et servant à comprimer les premiers. Quelques uns enfin

avait dans sa jeunesse été employé dans les chiourmes du midi. Avant d'aller plus loin, entendons-nous sur ce mot face humaine que nous appliquions tout à l'heure à Javert. La face humaine de Javert consistait en un nez camard, avec deux profondes narines vers lesquelles montaient sur ses deux joues d'énormes favoris. On se sentait mal à l'aise la première fois qu'on voyait ces deux forêts et ces deux cavernes. Quand Javert riait, ce qui était rare et terrible, ses lèvres minces s'écartaient, et laissaient

sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Arthur RIMBAUD (1854-1891) fgreggerighoehgo  Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux

« les parfums ne font pas frissonner sa narine » (v.12) L’aspect serein : La nature n’est pas capable de réveiller le soldat. Il est couché paisiblement dans l’herbe. Rien ne peut le réveiller. Même pas les parfums de la nature ne font bouger ses narines. La nature est un endroit où on peut être tranquille. C’est un endroit paisible et heureux. Mort : Vue : «  deux trous rouges » (v.14) Odorat : « les parfums ne font pas frissonner sa narine » (v.12) Champ lexical La

kdkkdkdkdkddjdjdjjdjdbxbxbxbxbnxnxnxnxnxnxnxnxnnxnxnxnxbxnxn- xnnxnxxsooqoqiqisusudjd• Une nuit se dresse devant moi au pied de mon lit une espèce de nain horrible à voir. Il avait un cou grêle, un visage émacié, des yeux très noirs, le front crispé, les narines pincées, la bouche proéminente, les lèvres gonflées, le menton fuyant, une barbe de bouc, les oreilles velues et effilées, les cheveux hérissés, le crâne en pointe, la poitrine enflée, le dos bossu, les fesses frémissantes. Il saisit l'extrémité de

ces Primates. Établissez également la chronologie d'apparition de trois caractères dérivés définissant chacun un sous-groupe au sein des Primates. Document : comparaison des caractères morpho-anatomiques de quelques espèces de Mammifères | Narines | Orbites | Pouces | Queue | Rhinarium | Terminaisons des doigts | Babouin | rapprochées | fermées | opposables | présente | absent | ongles | Bonobo | rapprochées | fermées | opposables

dont l'œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire I. Un poème d'amour A. Une scène familière - intimité Je respire l'odeur de ton sein chaleureux Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli

ainsi la paresse et le bonheur.) tandis que les assonances en « i » et « a », voyelles éclatantes, suggèrent l’éblouissement et l’éclat du paysage ( respire, rivage, éblouissent, île, rempli / charmants climats, mâts, fatigués, vague marine, parfum, narine, âme, tamariniers, mariniers). III – Un monde sensuel Le monde décrit par Baudelaire est un monde très sensuel. (Il faut entendre par sensuel : qui fait appel aux sens). On relève ainsi la présence des cinq sens dans ce sonnet : L’odorat qui est le