Narine

par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l’air et m’enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Issu du recueil Spleen et Idéal des Fleurs du Mal, Parfum exotique est un sonnet ou Baudelaire dresse la description d’un idéal exotique une vision portée a travers le parfum de la femme aimée, entre

axe antéropostérieur de ce poisson on rencontre la nageoire caudale, la nageoire anale, l’anus, la nageoire dorsale, la nageoire pelvienne, la nageoire pectorale, l’opercule, un œil, une narine et la mâchoire. 2) Les organes pairs chez ce poisson sont les nageoires pectorales, les opercules, les yeux, les narines et la bouche. 3) Sous les opercules il y a des arcs branchiaux qui servent à tenir les filaments branchiaux qui servent à capter l’oxygène dans l’eau. 7) L’appareil digestif ne présente

inclinée »(l.22), la « chevelure »(l.21) et la « figure »(l.24). C’est cette dernière qui est le plus précisément présentée. « [Ses] traits [sont] contractés » (l.36). Ses « yeux » (l.37) sont torves, sa « bouche »(l.37) laisse apparaître un rictus et ses « narines [sont légèrement] gonflées »(l.39). C’est, d’après le narrateur qui exprime une fois de plus son émerveillement, un visage d’une « incroyable beauté »(l.40). Enfin, la magnificence (et peut-être aussi la méchanceté) de cette Vénus est accentuée par

|«souriant». | | |Allitération des vers 11 et 12 |« Les parfums ne font pas frissonner sa narine. » |Effet : Les sons « f » et « n » sont répétés ce qui | | | | |rappelle le vent qui

sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Introduction - - La candidature, le 21 juin 1870, du Prince franco-allemand Léopold Hohenzollern-Sigmaringen au trône d'Espagne, vacant depuis

pouvons relever la présence d'une mise en contexte avec l'invitation Roi qui conduit les courtisans au Louvre, montré par 'En son Louvre il les invita' (v.14). En second lieu nous pouvons souligner les interventions des animaux comme ' L'Ours boucha sa narine' (v. ), 'Le Singe approuva fort cette sévérité' (v. ) ou encore 'Alléguant un grand rhume : il ne pouvait que dire' (v. ) ainsi que la réaction du Lion a chacune d'elles souligner par ' Le Monarque irrité L'envoya chez Pluton faire le dégoûté.'

des stéréotypes traditionnels L’ours : maladresse et lourdeur « boucha sa narine » Lion : l’autorité, la puissance, la tyrannie, la violence Singe : la flatterie. Il est obséquieux (= politesse excessive). Il fait parti des courtisans. Renard : conforme à la tradition du roman de renard : intelligence et dissimulation Parallélisme entre le monde animal et le monde humain Les animaux sont personnifiés (narine, mine, grimace, flatteur, rhume, odorat, vocabulaire de la monarchie). La Fontaine

sous la nue,
 Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

 Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
 Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
 Nature, berce-le chaudement : il a froid.

 Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; 
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
 Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Octobre 1870, Poésies Questions 1. Quelle est l’impression du lecteur quand il arrive pour la première fois sur le dernier vers? (5 points)

rentrer dans le récipient d’eau au réveil (après le sommeil) 3. Se frotter les dents avec un « siwak » (petit bâton pour nettoyer les dents). 4. Se gargariser la bouche avec de l’eau, puis la rejeter. 5. Aspiration puis expulsion de l’eau dans les narines. 6. Se laver les membres trois fois, il suffira d’essuyer de l’avant à l’arrière et de l’arrière à l’avant. 7. S’essuyer les oreilles à l’intérieur et à l’extérieur. 8. Bien rincer entre les doigts et les orteils. 9. Commencer toujours par le

sang car « le frais cresson bleu » ne peut être fait qu’avec le vert de l’herbe et le rouge du sang. - Il n’y a plus de signe de vie pour le soldat, il ne bouge plus. Ni sa narine, ni sa poitrine. IV. La chute - Progression vers la chute avec plusieurs négations : « il a froid » , « les parfums ne font pas frissonner sa narine «, « la main sur sa poitrine ». - Chute assez brutale faite a la fin de la poésie. - Rimbaud veut provoquer au lecteur un choc. Conclusion : Ce poème illustre bien