Nathalie Guichard

violoniste hongroise installée à Paris depuis l'établissement du rideau de fer, et d'un homme d'affaires d'origine juive et russe, Yasmina Reza évolue dès son enfance dans une atmosphère aussi artistique que cosmopolite. Nourrie par le théâtre de Nathalie Sarraute (influence), elle se met elle aussi à écrire des pièces, actuellement traduites en trente-cinq langues et jouées dans le monde entier. Les œuvres théâtrales de Yasmina Reza sont adaptées dans plus de 35 langues... et jouées à travers le

I. Nathelie Sarraute Nathalie (Natasha) Sarraute est née en 1900 en Russie oú sont creées ses souvenirs d´enfance. Son oncle Gricha était un avocat. Elle était influencé par son oncle et elle a commencée son carriére comme l´avocat. Elle a étudiée les droits á Paris, mais en age 40 ans elle est arretée comme l´avocat et elle s´est concentrée suelement sur la litterature. Elle a écrit dans l´époque du Nouveau Roman. Son premier oeuvre est Tropismes(1939) – un texte critique sur les réactions des

mari de celle-ci.Son pére, par contre, connaît des difficultés en Russie a cause de ses opinions politiques, il sera alors contraint d'émigrer à Paris.En février 1909 Nathalie quitte Saint-Pétersbourg pour venir à Paris chez son père, qui entre-temps s'est remarié.Cette periode , entre 1909 et 1917, sera difficilement vécue par Nathalie, notamment lors de la naissance de sa demi soeur, helene Elle a une éducation cosmopolite et, avant de trouver sa voie,elle poursuit des études diverses : elle étudie

verrons la crise de celui-ci qui s’explique donc après les 2 guerres et enfin nous étudierons un mouvement littéraire né dans les années 1950 à Paris : le nouveau Roman. Bien évidemment nous parlerons de l’essai nommé L’Ere du soupçon, écrit par Nathalie Sarraute entre 1947 et 1956 I/ Le personnage du Roman a) Le personnage de Roman, qui est-il ? Le personnage principal du roman s'oppose au héros antique ou à celui du théâtre tragique : il n'a pas la grandeur et la noblesse des héros légendaires

la mise à nue autobiographique : Après une phase ludique qui le voit jouer avec les stéréotypes, Alain Robbe-Grillet publie les Romanesques, autobiographique (le miroir qui revient, Angélique ou l’Enchantement, Les Derniers Jours de Corinthe), Nathalie Sarraute nous livre son Enfance, Robert Pinget s’invente en quatre volumes un double, Monsieur Songe, à qui il fait tenir ses carnets, enfin Marguerite Duras avec L’Amant, remonte à la source de son imaginaire. Elle livre ensuite divers volumes dont

même. Conclusion : La fiction comble l'ennuie, elle entraîne l'enfant dans un état second. Il s'identifie totalement à Robinson. La réalité est métamorphosé par la fiction. C'est une expérience singulière que permit ici la lecture comme celle de Nathalie Sarraute qui lit Rocambole.

Colombien Gabriel Garcia Marquez, le Cubain Alejo Carpentier ou l’Argentin Ernesto Sabato. L’influence capitale du roman moderne français sur l’écriture africaine contemporaine est également incontestable. Les œuvres d’Alain Robbe-Grillet (La Jalousie), Nathalie Sarraute (Le Planétarium) ou Michel Butor (La Modification) n’ont pas peu contribué au renouvellement de la conception et de l’organisation de l’espace textuel du roman africain. Une remarque s’impose néanmoins à ce niveau. Il ne s’agit pas pour

pour le narrateur parce qu’il ressent encore, au moment de l’écriture « cette poussée dans le dos, cette preuve flagrante de l’injustice », elle « reste fortement inscrite dans [son] corps ». b. Parmi les textes étudiés, deux extraits d’Enfance de Nathalie Sarraute font part d’un souvenir violent : l’un narrait un rapport de force entre la narratrice enfant et sa nourrice, l’autre faisait part d’un sentiment d’injustice concernant l’impunité de l’acte commis par sa demi-sœur qui avait détruit son ours

 Document complémentaire : Texte 1 : L’ère du soupçon, Nathalie Sarraute (1956) Le lecteur, en effet, même le plus averti, dès qu’on l’abandonne à lui-même, c’est plus fort que lui, typifie. Il le fait – comme d’ailleurs le romancier, aussitôt qu’il se repose – sans même s’en apercevoir, pour la commodité de la vie quotidienne, à la suite d’un long entraînement. Tel le chien de Pavlov, à qui le tintement d’une clochette fait sécréter de la salive, sur le plus faible indice il fabrique des personnages

– Mais oui, entre la fenêtre et la cheminée… ». Tutélaire (3), répandant autour d’elle la sérénité, la sécurité – c’était la beauté, l’harmonie même, captée, soumise, familière, devenue une parcelle de leur vie, une joie toujours à leur portée. Nathalie Sarraute, Le Planétarium, © Gallimard (1959) (1) Il supprimait les obstacles (émonder : élaguer). (2) Fauteuil large et profond. (3) Protectrice. Extrait 4 : Non vraiment, on aurait beau chercher, on ne pourrait rien trouver à redire, c'est parfait