Nationalisme Ecjs

de conserver un certain équilibre régional. Au lendemain de la seconde guerre mondiale Éthiopie se réapproprie l’Ogaden (1948) et le Hawd (1955). Mais la réunification de la Somalie italienne et de la Somalie britannique (1) en 1960 réveille le nationalisme pansomali. Les revendications unificatrices des trois autres régions habitées par les Somalis (dans la région éthiopienne de l’Ogaden, Djibouti et le nord-est du Kenya) se multiplient. En 1961, le Parlement somali déclare les régions peuplées de

et coûteuses, la GB, grâce à son économie puissante et souple, poursuivit sa rev indu et monopolisa les marchés d’outre mer. B) Les PECO Nationalisme économique : le nationalisme économique renvoie à des politiques éco contrastées selon la période considérée, dans la mesure où il évolue en fonction de la représentation de la nation. Le proto nationalisme économique : (du grec, premier) 1780-1860 -Eu est : périphérie. Retard. Indu° = solution pr retard éco et milit. - rev fr qui diffuse sentiment

parachevé par les lois fascistissimes de 1925-1926, Mussolini renforce l'unité de la nation par un état tout-puissant. La propagande utilise l'Empire romain comme symbole de la grandeur italienne. La conquête de l’Éthiopie, en 1935, flatte le nationalisme et le sentiment de supériorité par rapport aux Noirs. Hitler utilise l'anticommunisme pour imposer un régime de parti unique. Dès 1933 il fait enfermer les opposants dans des camps de concentration.. La spécificité du nazisme est un racisme

Antidreyfusard. Dreyfusard : De fausses preuves ont été réalisées Les vrais coupables sont libres Il faut innocenter Dreyfus Ils défendent la justice, la vérité Antidreyfusard : Dreyfus est un traitre Ils défendent le nationalisme français, l’antisémitisme La Ligue des Droits de l’Homme : Traiter l’affaire de manière judiciaire Ne pas traiter l’affaire de manière politique Elle défend les droits de l’homme et la justice C – La République radicale (1902

Composition LA COLONISATION EUROPEENNE ET LE SYSTEME COLONIAL DU MILIEU DU XIXème SIECLE A partir de la 2ème moitié du XIXè siècle, les grandes puissances européennes étendent leur domination sur l’ensemble du monde. L’Europe monopolise alors les moyens de la puissance, les hommes et les richesses. Elle domine donc le monde ( impérialisme).Sûre de la supériorité de sa culture, elle se lance, avec bonne conscience dans les conquêtes coloniales persuadée d’apporter la « civilisation »

parfaitement évitable : la Première Guerre mondiale. Ce conflit qui a couté la vie à plus de dix millions de soldat a changé la face du champs politique européen. Désormais, on était conscience des ravages que la puissance industrielle au service d'un nationalisme exacerbé pouvait causer. Cet historien prend clairement un point de vu internationaliste à propos de la solution finale et de l'antisémitisme. Dans le processus de brutalisation, il accuse clairement l'état allemand à propos de l''édification des

Medias et opinions publique en France. De l’affaire Dreyfus à nos jours I) La presse joue un rôle majeur dans la formation de l’opinion publique (1890-1940) 1870 : 3ème république 1875 : le régime encadre des analphabètes et décide en 1880-82 de l’enseignement (lois Jules Ferry) obligatoire. Possibilité de lecture individuelle. 1881 : lois sur la liberté de la presse, la censure disparait Innovations dans l’imprimerie : baisse des prix et journaux accessibles. La presse triomphe, est médiatrice

: or dans une première période il est clair que la légitimité dépend du regard des puissances ; le GMD et le PCC tentent chacun à leur tour de fonder une légitimité plus moderne, c'est-à-dire de l'ancrer dans la nation (enjeu de la captation du nationalisme chinois : échec historique du GMD, victoire du PCC et rôle de la guerre contre les Japonais dans ce transfert). Après 1949 le poids du passé proche se fait sentir jusqu'au seuil des années 1970 avec le problème de la double reconnaissance (RPC

assuré une relative stabilité de l’Empire jusqu’en 1914, assassinat de l’héritier au trône François Ferdinand et début de la Première Guerre Mondiale mais aussi année butoire de notre analyse, ce traité a néanmoins réveiller les rivalités et un nationalisme prégnant au sein de l’Empire austro-hongrois. En effet, à une cohabitation impérative entre l’Autriche et la Hongrie, des peuples tels que les Allemands, les Slovaques, les Polonais (en Cisleithanie) ou encore les Magyars, les serbo-Croates ou

stationné à Rethondes, dans la forêt de Compiègne que fut signé, le 11 novembre 1918, l’armistice marquant la fin de cette Grande Guerre. C’est la victoire des Alliés et la défaite totale de l’Allemagne. Nationalisme avant 1914 Le nationalisme est un sentiment d'appartenance à une nation, c'est-à-dire un groupe partageant une culture, des traditions, une langue, une histoire, une religion commune. S'emparant de ce sentiment national, certains mouvements ou