Nationalisme révolutionnaire

bien des endroits, menacée lorsqu’elle n’est pas totalement bafouée au cours de la période qui sépare les deux guerres mondiales. D'abord, les partis communistes combattent la démocratie occidentale. La vie démocratique est aussi menacée par le nationalisme de type dictatorial, que l’on identifie comme le fascisme. Le fascisme est un mouvement ultranationaliste de droite qui inclut aussi des politiques socialistes. La doctrine est basée sur l’ordre, la soumission totale de l’individu à l’État

l’offensive prolétarienne est total, mais la classe dirigeante a eu peur. C’est pour prévenir une nouvelle poussée révolutionnaire qu’elle donne son appui au fascisme. Mussolini cherche un courant politique qui puisse semer ses ambitions. Il fonde un nouveau journal en 1917 « Il popolo D’Italia » où il développe des thèmes mêlant le nationalisme aux idées de l’extrême gauche révolutionnaire. En 1919, il fonde un parti, les Faisceaux de combat, qui est composé de groupe ----------- (A COMPLETER) : son

l'histoire on a trouvé des droites opposées au régime parlementaire, des droites de gouvernement et on a trouvé des rapports plus hiérarchiques également. Ici, les trois objectifs de ce chapitre sont : présenter les racines idéologiques de ces droites (nationalisme, catholicisme, conservatisme, libéralisme) présenter les caractéristiques organisationnelles des partis de droite démontrer que la définition des familles politiques est relationnelle avant d'être substantielle I- La structuration historique

attributions financières.) : Les 9 millions de musulmans, de statuts " Coranique", élisent le même nombre de députés que le million de citoyens français. 2) La crise du Nationalisme algérien prive la France d'interlocuteurs représentatifs. Les mouvements nationalistes étaient animés par des dirigéants aux idéologies diverses. Le nationalisme algérien est formé de 3 courants:  - Le courant traditionaliste, celui des Oulémas , qui résiste à l'intégration française en s'appuyant sur l'Islam,  - Le courant

Etat corporatif : état dans lequel tous les aspects de la vie économique et sociale sont soumis à l’état. * Suppression des oppositions : communistes, socialistes, démocrates, syndicalistes. Il n’existe plus d’organisation non fasciste. * Nationalisme basé sur la reconstitution de l’empire romain de l’antiqué. B) Le national-socialisme. 1°) Définition du nazisme * Contraction de national-socialisme * Idélogie nationaliste (défendant la prédominance d’une nationalité dans tous

En 1914, l’Empire dynastique d’Autriche-Hongrie est un des derniers empires d’Europe qui repose sur un modèle politique hérité du XVIIIème siècle. Multiculturel et multinational, cet empire est confronté aux vagues du libéralisme et du nationalisme (triomphantes) dans la fin du XIXème siècle. La guerre de 1914-1918 est un produit de l’industrialisation qui poussent les Etats aux défis de productivité. Elle résulte aussi des idéologies nationales en plein épanouissement. Dans le monde et surtout en

la modernité. 2) L'intégrisme ou la radicalisation du fondamentalisme L'expression intégrisme traduit un point de vue français catholique libéral du XVIIIe siècle. Le terme provient des milieux catholiques progressistes de la France révolutionnaire et visait, péjorativement, ceux qui combattaient l'ouverture sociale et politique du christianisme au nom d'un catholicisme romain intégral. Cette «hérédité» ne limite pas le champ d'application du concept à la tradition catholique. En fait, l'intégrisme

siècle, les idées de liberté semées dans toute l’Europe par la révolution Française germent dans les esprits, surtout dans les peuples encore privés d’Etat comme les Belges, les Italiens et les Grecs pour n’en citer que quelques uns. La dimension révolutionnaire donnée par l’exemple français est particulièrement fort pour le peuple grec qui, sous domination de l’Empire Ottoman, a envie de liberté. Se mettent alors en place de nombreuses sociétés secrètes dont le but à terme est la libération de la nation

toute pensée de violation des droits et des libertés des peuples[11] ». Conférence de Kienthal (1916)[modifier]Les socialistes vont se rassembler par la suite à Kienthal du 24 au 30 avril 1916, leur rassemblement prenant une tournure plus révolutionnaire : « Le prolétariat ne peut pas ne pas aspirer à assurer l'indépendance des nations. Mais il doit le faire non en soutenant le militarisme capitaliste qui le ronge, mais par la lutte ouverte contre lui. Notre voie n’est pas la guerre au côté des

de maintien de l’ordre : on parle à l’époque des « évènements en Algérie » car refus de reconnaître qu’il s’agit d’une guerre d’où utilisation d’euphémismes ; côté FLN au contraire on parle de guerre révolutionnaire, de nation algérienne, de collabos pour désigner les harkis…il y a un nationalisme algérien qui ne veut pas des droits français ni d’une politique d’assimilation ; rappeler qu’il s’agit d’une guerre très médiatique avec censure et propagande des deux côtés ; la bataille d’Alger en 1957