Nature Morte Vivante

Les êtres vivants dans leur milieu I. Quelques notions de classifications des être vivants Les animaux ou les végétaux sont d'une même espèces s'ils se ressemblent, peuvent se reproduire entre eux et donnent naissance à des petits fertiles. Les classifications se sont longtemps basées sur des critères morphologiques (c'est principalement ceux que l'on fait découvrir à l'école primaire) mais aujourd'hui, d'autres critères complètent ces données (génétique, biochimique). La classification

deuxièmes et quatrièmes vers ont huit syllabes. Comme d’habitude, Baudelaire emploie une femme comme son source de symbolisme, dans ce cas, une charogne. Le poème commence par deux amants en se livrant à des souvenirs. Ils se promènent dans la nature, prenant plaisir dans la vie et la beauté d'un matin d'été, un « beau matin d’été si doux » quand le narrateur découvre un cadavre en décomposition. Le lecteur pourrait penser que les amants qui baladent le long de ce « sentier » repéreront des images

L’art doit-il imiter la nature? Voilà un vieux précepte que l’on trouve déjà chez Aristote. La critique de Hegel est radicale : cette idée a fait son temps et elle ne vaut que pour ceux qui n’ont pas encore réfléchi. Essayons donc de réfléchir. Que doit-on entendre par «imitation» ? La reproduction habile des objets de la nature. Ainsi voit-on le peintre poser ses pommes sur la nappe de la table et se préparer à peindre une nature morte. Ce goût pour l’imitation est naturel à l’homme et Aristote

cette femme meurt t en héroïne vertueuse elle est morte consumée par l’amour qu’elle n’a pu exprimer. « J’avais soif de toi » tutoiement de l’onde de l’intimité, amoureuse. BH tutoie amoureusement F. Mort religieuse, catholique édifiante d’une personne qui se purifie avant de quitter le monde 3 prêtres = présence religieuse objets qui surdétermine la religion : « cierge », « extrême –onction » « viatique », « pardon » y compris au plus humble. Nature les rossignols chantent la mort d’Henriette. La

Etude du poème : 1) Le poète éveillant la nature. Avant le passage du poète : > La nature est morte : chp.lex. de l’inertie, de la mort : « rien ne bougeait », « morts », « ombres ». Ce chp.lex. est ici utilisé par R. pour montrer à quel point la nature est immobile, sans vie. > Les ombres de la nuit son ici assimilées à l’inertie, par extension à la mort, de plus les phrases sont négatives « rien ne bougeait » , « ne quittait pas ». Le poète insiste ainsi encore sur l’immobilité, l’absence

Idée principale 1 : Dans cet extrait, les traits physiques de Clairimonde, étant morte, laissent semés le doute qu’elle est morte ou vivante Idée secondaire 1 : Les traits physiques de la mort Citations « […] le cou d’un cygne que la mort n’avait pu raidir […]» L’euphémisme : « […] la mort chez elle semblait une coquetterie de plus […]» l’auteur atténue la mort chez Clairimonde comme une chose coquette. « La pâleur de ses joues, le rose moins vif de ses lèvres, ses longs cils baissés et découpant

cette fin par sa nature, et dont l'activité s'exerce par la raison au moyen du corps et sur le corps par la volonté raisonnable. L'animisme est une tentative impuissante d'expliquer l'union du corps et de l'âme. Il à été réfuté surtout par Leibniz. ( R-T.) . II) L'animisme est la doctrine qui attribue une âme aux choses. (Animus est le mot latin pour âme.) C'est une ancienne croyance qui a pu être produite pour expliquer la différence entre une chose vivante et la même chose morte. Elle a aussi

Partie A : Diversité et complémentarité des métabolismes Chapitre 1 : - Du carbone minéral aux composants du vivant : Le cycle du Carbone - Les végétaux chlorophylliens constituent le maillon fondamental de la production de matière organique. Ils sont à la base de la plupart des chaînes alimentaires, on les qualifie alors de producteurs primaires. En effet, ils n’ont besoin de prélever dans leur milieu que des substances minérales pour produire leur matière organique grâce à l'énergie lumineuse :

pas neutre, il ne la représente pas comme un simple objet inanimé, il utilise le verbe ouvrir à l’imparfait « ouvrait » comme si ce cadavre faisait exprès d’être choquant. Et cette idée que la charogne est censée être une chose morte mais qui a pourtant un aspect un peu vivant chez Baudelaire va se poursuivre dans la suite.V9 : nous avons une antithèse entre l’idée de lumière « soleil » et la mort donc l’obscurité avec « pourriture »V10 : la charogne est comparée à de la nourriture cuite à point par

celui des vivants, celui du réel fictif et celui du mythe. Néanmoins cette apparition ne cesse de souligner l'aspect éphémère et fugitif de cette apparition ce qui met en évidence l'image d'Orphée descendant aux Enfers pour sauver Eurydice qui est elle aussi une existence éphémère je cite un passage du texte d'Ovide. La mort est alors foisonnante. Elle dépasse l'idée de l'angoisse et de la perte pour devenir une vie, une existence vécue aussi profondément que dans le monde des vivants. De ce fait