Nerf moteur

Thème 2: La communication nerveuse Introduction: stylot = stimiulus visuel => oeil => nerf optique => centre nerveux ( analyse intégration/ => =récepteur msg nerveux encéphale+moelle élaboration de sensoriel épinière nouveaux msg) message moteur => organes => reprise mouvement effecteurs muscles (=> flèches indicant une communication nerveuse , un message, vers un autre organe...) La perception de l'environnement est la commande motrice sans

I- Le trajet des messages nerveux A/ Les épines nerveuses de la douleur Page 11 : Il existe deux types de sections ; celle des nerfs et celle de la moelle épinière. Les nerfs rachidiens conduisent des messages sensitifs et des messages moteurs. Les messages douloureux ne peuvent plus remonter au cerveau en cas de section = l’analgésie (suppression des sensations douloureuses). Ceux sont des nerfs spécialisés qui conduisent les messages douloureux en partant d’un nocicepteur. Les nerfs nociceptifs

sur la paroi des artères : ce sont les sinus carotidiens et aortiques. Un changement de grandeur dans les variables mesurées provoque une modification des messages nerveux transmis par les nerfs sensoriels correspondant : nerf de Héring en provenance des sinus carotidiens et nerf de Cyon en provenance des sinus aortiques. B – Un centre de gestion de la pression artérielle : le centre cardiaque du bulbe rachidien. Le bulbe rachidien est la partie haute et élargie de la moelle épinière, située directement

anesthésiste. Les traitements non médicamenteux Les injections d'anesthésiques dans un nerf ou près d'un nerf peuvent bloquer temporairement les signaux douloureux. Plus controversées, les injections de Botox (la toxine botulinique) dans un muscle pourraient apaiser la douleur pendant quelques mois. Il est également possible de pratiquer une neurotomie sur la branche médiale (une partie de la racine du nerf), une intervention qui cautérise (brûle) les nerfs. La neurostimulation Une des premières

pradat@psl.aphp.fr limites • Hypothèses • Démontrées ou non dans le domaine de la recherche • Simplification des processus (plasticité de la synapse; niveau d’excitabilité) • Évolution des concepts • Application clinique? Définitions Apprentissage moteur Le terme « plasticité » désigne l’ensemble des mécanismes permettant l’adaptation du SNC (cortical, sous-cortical et spinal) Selon Ridding et Rothwell (2006), «la  plasticité est la capacité du SNC à modifier l’efficacité de la transmission au sein

de glucose dans le sang se produit donc, privant ainsi les cellule et organes de l’organisme de leur source d’énergie pour bien fonctionner . cette accumulation engendre l’hyperglycémie qui risque d’entrainer des complication aux yeux aux rein aux nerf aux vaisseaux sanguins et au cœur ( macroangiophathie , microangiopathie et neuropathie ) si le diabète n’est pas contrôlé . Manifestation du diabéte : fatigue, somenolens ; amaigrissement Irritabilité

humaine La main est disposé de nombreux nerfs ainsi que de nombreux artères et veines où circulent le sang. Ainsi, L’innervation de la main, est faite par 3 nerfs fondamentales: Le nerf médian, innerve les muscles extrinsèques de l’avant bras et de la main. Le nerf radial, innerve les muscles du métacarpe et enfin le nerf cubital, innerve les muscles interosseux. Ces nerfs aboutissent par de petits faisceaux donnant une capacité de mouvements précis à la main.  L’irrigation de la main, elle, se fait

motrice somatique. Chaque partie du corps est projeté dans une zone de l’aire motrice primaire. Les neurones qui régissent les mouvements des pieds sont regroupés à un endroit et ceux qui régissent les mouvements de la main à un autre. Homoncule moteur est une représentation des différentes parties du corps en fonction de la zone du cortex qui contrôle ces différentes parties du corps. Plus l’aire du cortex est grand, plus grande est représentée la région du corps. Aires sensitives : *

vont assurer la liaison entre le stimulus et la réponse comportementale. D’un point de vue anatomique, on va retrouver 3 relais de l’information nerveuse : Les ganglions nerveux Le nerf cercal Les cerques Pour réaliser cette étude nous stimulons la blatte à différents niveau du relais nerveux : les cerques (st1), nerf cercal (st2) et la chaine abdominale (st3). Les mesures sont réalisées aux niveaux des nerfs cercaux (position 2) et au niveau de la chaine nerveuse (position 1). Position ST3 1

neuromusculaires localisés dans le muscle étiré, capables de convertir ce stimulus (mécanisme de transduction) en un message nerveux afférent, sensitif. 2. Un nerf qui va transporter le message nerveux afférent vers un centre nerveux. 3. Un centre nerveux, ici la moelle épinière qui va intégrer, analyser ce message et élaborer une réponse. 4. Un nerf qui va transporter ce message nerveux efférent vers le muscle qui s’étire pour lui ordonner de se contracter. Le résultat est la contraction d’un muscle étiré