Nerine Eraste Et Julie

le spectateur arrive à comprendre la position et les caractéristiques de ces personnages ainsi leur rôle dans la pièce. Molière par exemple, dans sa scène d’exposition présente trois personnages : Julie, Eraste et Nérine qui discutent de la venue de Monsieur de Pourceaugnac, homme destiné à épouser Julie alors que celle-ci est amoureuse d’Eraste. Molière se sert du nom ‘Pourceaugnac’ pour ridiculiser dès le début, sa pièce éponyme. Quant à Marivaux, il nous fait connaitre deux personnages, Silvia

Dieu ! Eraste, gardons d'être surpris ; je tremble qu'on ne nous voie ensemble, et tout serait perdu, après la défense que l'on m'a faite » et Le Jeu de l'amour et du hasard commence par « Mais encore une fois, de quoi vous mêlez-vous ? Pourquoi répondre de mes sentiments ? ». Ces deux récits commencent au cœur de l'intrigue, en latin on appel ceci « in media res » qui signifie « au milieu des choses ». On remarque que trois personnages sont mis en scène dans Monsieur de Pourceaugnac (Julie, Eraste

Mélite en vain depuis deux ans, représente l'amour constant. À côté de ce trio, Cloris, sœur de Tircis, et Philandre forment un couple d'amoureux. Éraste, pour convaincre Tircis que l'amour existe et qu'il peut être irrésistible, décide de lui montrer Mélite. L'effet est immédiat : Tircis et Mélite tombent amoureux l'un de l'autre. Désespéré et jaloux, Éraste tente de les séparer en forgeant de fausses lettres que Mélite aurait envoyées à Philandre : sa vengeance contre Tirsis est ainsi complète, puisqu'il

Mélite en vain depuis deux ans, représente l'amour constant. À côté de ce trio, Cloris, sœur de Tircis, et Philandre forment un couple d'amoureux. Éraste, pour convaincre Tircis que l'amour existe et qu'il peut être irrésistible, décide de lui montrer Mélite. L'effet est immédiat : Tircis et Mélite tombent amoureux l'un de l'autre. Désespéré et jaloux, Éraste tente de les séparer en forgeant de fausses lettres que Mélite aurait envoyées à Philandre : sa vengeance contre Tirsis est ainsi complète, puisqu'il

selber – und auch keiner seiner Nachahmer – nie wieder erreicht hat. Es handelt sich um die zweite und die dritte Szene des vierten Akts. Beide sind parallel konstruiert: die erste bringt den dépit amoureux von Eraste und Lucile, die zweite denjenigen ihrer Diener Gros-René und Marinette. Eraste ist entschlossen, mit Lucile zu brechen und sie dadurch zu bestrafen, daß er sich eine neue »Flamme« sucht: Je veux mettre en mon cœur une nouvelle flamme. (IV, 2) 14 Der Diener Gros-René, so solidarisch