Neuroleptique

d’un psychotique seul mais en équipe. On a tous des bouts de réponses qu’il faut rassembler. Les medicamenTs Les psychotropes : psycho = psychisme Tropes = en direction de… Les sous familles : antidépresseur, anxiolytiques, neuroleptiques, somnifère, régulateur de l’humeur 1- Les anxiolytiques : anxio = anxiété Actions très rapide Lytique = supprimer (quelques minutes/heures) Il y a un fort risque de dépendance et si l’on arrête son traitement du jour

s'agit de l'injection en IM d'une quantité de 4 ml d'Haldol Decanoas à Mr G, 49 ans, se présentant sous la forme d'ampoules dosées à 50 mg de principe actif/ml : solution injectable IM huileuse ; ampoule de 1 ml soit 4 ampoules. C'est un neuroleptique qui appartient à la famille chimique des butyrophénones. Il a une action prolongée. Il est utilisé pour le traitement au long cours dans certains états psychotiques chroniques (schizophrénies, délires chroniques non schizophréniques : délires

principalement sur la rigidité musculaire et la réduction des tremblements de repos propres à cette affection. Contre-indications -troubles psychiques graves, -accident cardiaque récent, -glaucome à angle fermé, -en association avec certains neuroleptiques ou avec la réserpine. Effets indésirables En début de traitement : nausées, vomissements, anorexie, sécheresse de la bouche, constipation ou diarrhée, troubles du rythme cardiaque, hypotension orthostatique, troubles psychiques, troubles

l’hypothèse de l’action des NLP par le biais du système Dopaminergique Aspects historiques Seeman et al (1976) : Mise en évidence d’une relation log linéaire entre doses de neuroleptiques utilisées en thérapeutique et constante d’inhibition de la liaison de la dopamine à son récepteur D2 Hypothèse de l’action des neuroleptiques : Blocage de la transmission DAergique par antagonisme des récepteurs Aspects historiques • Van Praag (1977) : – Mise en évidence d’une augmentation de l’HVA (acide

est pris en charge. Histoire de la maladie Cet état s’est installé de manière progressive. Les troubles ont débutés à l'âge de 15 ans par une anorexie, insomnie, opposition et agressivité. Malgré diverses actions thérapeutiques et l'aide de neuroleptiques. Il n'y a pas eu d'amélioration notable. Antécédents les plus significatifs Antécédents physiques : ulcère malléole externe jambe droite plaie malléole droite écho - doppler artériel (2011) – veineux (2010) constipation chronique eczéma grave

Effets indésirables Neuroleptique classique : 1. Neurologique : Precose Moyen terme Long terme Dystonies Dyskinesies(Musculaire) Visage : Grimace,trismus (contraction machoir) Tronc:Torticolis Menbres : Crampe musculaire Syndrome Parkinsonien : Tramblement Rigidité Akinésie,Bradyle Trasykinesie Acetisie (besoin imperieux de bouger) Syndrome Malin : Fiévre,contracture musculaire,libération CPK,confusion

Technique de soins : Administration d'une injection intramusculaire à réaliser dans le quart supéro-externe de la fesse. Une injection d'Haldol injectable, qui est un NAP (neuroleptique à action prolongée), sur un patient Mr G âgé de 48 ans, atteint d'une psychose schizophrénique. L'Haldol (halopéridol) est un antipsychotique neuroleptique, avec des propriétés antidopaminergiques (actions sédatives). Surveillance infirmière des effets secondaires les premiers jours ( Somnolence, dyskinésie, syndromes extrapyramidaux)

Ces voix imaginaires (souvent les mêmes), parlent au malade pour commenter ses actes et ses choix. La schizophrénie engendre des dysfonctionnements cognitifs, sociaux et comportementaux. La schizophrénie est couramment traitée par la prise de neuroleptiques. La paranoïa une des formes de folie est un trouble mental manifesté par des difficultés relationnelles, des troubles du comportement et un sentiment de persécution pouvant aller jusqu'à un point d'irrationalité et de délire (délire paranoïaque)

pour antécédents chiurgicaux : - Avulsion dentaire complète en 1998 car non dentition fonctionnelle et surinfection fréquente, sous anesthésie générale. Michel souffre d’importants problèmes de constipation, l’inactivité et les traitements neuroleptiques ne font qu’aggraver cette pathologie, je dois donc surveiller sa prise de laxatif (forlax) et pruneaux et surveiller son élimination fécale grâce à la feuille de selles, en cas dabscence de selles pendant plus de 4 jours il faut prévenir l’infirmier

un index thérapeutique faible  : une toxicité rapide, nécessitant un contrôle biologique régulier les anti-épileptiques  : moins efficace mais plus facile d'utilisation les antipsychotiques  : un effet thymo-régulateur + antiproductif Les neuroleptiques et antipsychotiques  : un effet thymo-régulateur mais surtout un effet antiproductif et sédatif (le temps que le thymo-régulateur soit efficace) Les anti-dépresseurs  : à utiliser avec précautions nécessaire dans les phases dépressives