Neurotransmetteur

synaptique est l’espace séparant la fibre nerveuse pré-synaptique du récepteur post-synaptique. Le message nerveux ne pouvant franchir cet espace, la transmission s’effectue par l’intermédiaire d’une substance chimique appelée neuromédiateur (ou neurotransmetteur). Dans le cas du réflexe myotatique il s’agit de l’acéthylcholine. L’arrivée des potentiels d’action déclenche l’exocytose de vésicules qui libèrent l’ acéthylcholine qui va ensuite se fixer sur les récepteurs post-synaptiques. Cette

associé à l'activité de deux neurotransmetteurs : la noradrénaline et l'adrénaline. SN Parasympathique Son activation amène un ralentissement général des fonctions de l'organisme afin de conserver l'énergie. Ce qui était augmenté, dilaté ou accéléré par le système sympathique est ici diminué, contracté et ralenti. Il n'y a que la fonction digestive et l'appétit sexuel qui sont favorisés par le système parasympathique. Ce système est associé à un neurotransmetteur : l'acétylcholine. Les régions

des actes cognitifs pour satisfaire au souci de vraisemblance biologique Les évolutions : ( le cerveau est maintenant considéré comme un système de câblage qui s’apparente à l’ordinateur ( avec les transmissions chimiques (neurotransmetteurs) où l’on considère que le cerveau est une glande endocrines 2ème axe : l’organisation hiérarchique et la localisation des différents centres cérébraux On peut faire la modélisation du cerveau en 3 cerveaux : le néo-cortex, le cerveau limbique

place dans l’organisme. Tout d’abord au niveau neurovégétatif : Le système sympathique se met en alerte : une dose importante d’adrénaline et de noradrénaline est secrétée par la médullosurrénale (partie interne de la glande surrénale). Ces neurotransmetteurs circulent dans tout l’organisme, via les ganglions sympathiques, et déclenchent des réactions d’adaptation à la situation de crise : accélération du rythme cardiaque, élévation du rythme respiratoire et de la pression artérielle, dilatation

lente et progressive de neurones du cerveau) d’origine le plus souvent inconnue. Elle touche une structure de quelques millimètres à la base du cerveau qui est composée de neurones dont la fonction est de fabriquer et de libérer la dopamine, un neurotransmetteur indispensable au contrôle des mouvements du corps, sorte de messager chimique, qui agit aussi dans la sensation de désir et de plaisir. La maladie débute 5 à 10 ans avant l’apparition des premiers symptômes cliniques lorsqu’environ la moitié

de communication = Mise en relation de différents organes via des substances chimiques appelées hormones • Il est en interaction avec l’autre système de communication = le système nerveux Médiateur Délai Durée Système nerveux Neurotransmetteur Rapide Très courte Système endocrinien Hormone Plus lent Plus longue Qu’est-ce qu’une hormone ? Messager chimique Véhiculé par le système circulatoire Qui peut agir à distance de son site de production Via sa fixation sur

électrique à travers l’axone jusqu’à arriver à la synapse. Au niveau des boutons terminaux axoniques, le message électrique est traduit sous forme chimique et provoque l’exocytose. Des molécules du neurone pré-synaptique libèrent leur contenu, des neurotransmetteurs, dans le milieu synaptique. Ces substances se combinent à des récepteurs post-synaptiques et le message de douleur continue son chemin vers le cortex cérébral après avoir été retraduit en Potentiels d’Action électrique. Mais en présence d’endorphine

n'est pas bête, c'est même tout le contraire ! La répétition est le mécanisme élémentaire de la mémoire. Elle aboutit à des connexions stables entre neurones (par les points de jonction appelés synapses) et à une communication facilitée (par les neurotransmetteurs). En général, il faut des dizaines, parfois même des centaines de répétitions pour apprendre quelque chose, notamment pour les apprentissages sensori-moteurs (vélo, dactylographie, conduite automobile...). 2. Apprendre en plusieurs fois

fonctionnement d'une synapse → Shéma des étapes de la transmission synaptique → écrits Docs p76 - 77 Expliquer le mode d’action de substances hallucinogènes (ex. : LSD ou « acide ») par la similitude de leur structure moléculaire avec celle de certains neurotransmetteurs du cerveau auxquels elles se substituent. Chapitre III : II. Les perturbations chimiques de la perception visuelle → écrits Docs p78 - 79 Expliquer l'action d'une drogue dans la perturbation de la communication nerveuse qu'elle induit et

vécue comme insupportable... Et sombrer dans une dépendance qui nous fera oublier jusqu’à nos besoins les plus fondamentaux. Nos comportements et nos émotions sont modulés par des neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, endorphine…) qui agissent comme des clés entre les neurones. La quantité de tel ou tel neurotransmetteur dans nos circuits cérébraux est réglé avec précision par de nombreux mécanismes de rétroaction, c’est sur ce processus qu’agissent les substances psycho-actives. Les drogues sont