Neustrie

les titres de duc ou de marquis pour rappeler que, dans leur principauté, c’est à eux que se rattachent les fidélités et non au souverain. Ces principautés tendent à l’hérédité en privilégiant la primogéniture mâle. Par exemple, en 915, Robert de Neustrie obtient de Charles le Simple la confirmation de ses honneurs en faveur de son fils Hugues. Cette demande est formelle. D’autres lignages font de même sans en référer au roi : Herbert II de Vermandois succède à son père en 900 sans rencontrer d’obstacle

une analogie et un renvoi au roi Arthur. Peut-être Marie veut souligner la gloire de son héros. 17 vers : le pays de Logres. Il s’agit de pays d’Écosse (Шотландия). Ici elle utilise le nom ancien, comme dans le lai « Les deux amants »  où elle dit Neustrie et pas Normandie. De cette façon Marie souligne que ces événements se sont passés depuis longtemps. 24-26 vers : Pareil au lai d’Equitain ici l’héroïne tombe amoureuse à Milon sans le voir. On retrouve le motif de l’amour de la première vue. 34-42

les échanges. Tout d'abord la diffusion des progrès technique, la lente disparition de l'esclavage rural qui permettra l'importance libération de main d'œuvre et l'extension des finages. En effet, les techniques qui s'étaient développées au Nord (Neustrie et l'Austrasie), gagnent désormais le Sud. Les moulins à eau se sont répandus, l'épandage s'est développé. Les terres étaient maintenant productives. Elles sont désormais labourées car l'attelage à connut à partir de la fin du IXe des progrès décisifs

mais on peut changer de personnes si ce n’est plus assez intéressant. Alors que dans le système romain : lien public. B. Les partages successoraux. Les mérovingiens ignorent le concept d’état. Ces royaumes ont toujours été partages en 3/4 parties : Neustrie avec l’Aquitaine, La Bourgogne, L’Austrasie. On ira de plus en plus vers 2 royaumes. Cette division régulière n’empêchera pas les rois de discuter et de montrer une volonté de W ensembles. Ces divisions vont répondre à une logique ethnique, qui va

Il était en Aquitaine, pour reprendre son royaume à Pépin II, son neveu, fils de Pépin, que les Aquitains s’étaient donné comme roi. Et comme lui aussi était roi d’Aquitaine depuis 839. Pendant que Louis va se battre en Saxe, Lothaire entre en Neustrie (La Beauce) et s’en empare. Charles remonte alors à marche forcée vers à l’encontre de Lothaire. Et une fois de plus, Lothaire le filou va composer et propose un arrangement à Charles en convoquant une assemblée générale en mai 841 avec Louis

comparable aux autres contrairement à l’empereur qui est un citoyen. Hérédité : le fils du Roi sera Roi. Il existe le « Regnum Francorum », c’est l’Etat ou vivent les Francs. Au décès du père, s’il y a plusieurs fils il y a partage du Royaume : Austrasie, Neustrie, Bourgogne. En 587, le pacte d’Andelot qui a été signé entre plusieurs Rois disait que si l’un d’entre eux mourrait sans fils, le royaume ferait retour au Regnum Francorum global. Les femmes sont exclus de la succession. Il existe une entité globale

d'une dynastie avec pouvoir qui se transmet entre membres d'une même famille (soit père/fils, soit entre frères). L'expansion territoriale continue (royaume des Burgondes, Provence).  Vers 600, 3 ensembles se dégagent: Austrasie (NE royaume), Neustrie (entre Seine et Loire) et Burgondie (Bourgogne). Ce qui a accéléré cette formation = guerres civiles, notamment autour de Brunehaut.  Apogée du royaume atteint sous Clothaire II et Dagobert. Puis la dynastie s'effondre pour des raisons internes

définitivement de l'Occident. 2) Les difficultés politiques Les derniers rois, appelés "rois fainéants", refusent de véritablement gouverner le royaume dont ils confient la garde au maire du palais. Le royaume se divise alors entre l'Austrasie, la Neustrie, la Burgundia, l'Aquitaine. La menace principale pour la royauté est la famille Pippinide à laquelle appartient Pépin de Herstal. Il conquiert & rassemble sous son autorité les 4 régions. Son descendant, Pépin le Bref, fils de Charles Martel, le

faisant de la Picardie une région romanisée et latinisée. En 486, les Francs chassent les Romains, qui occupaient jusqu'alors la province, pour y fonder leur royaume. Du VIe au VIIe siècle, sous les Mérovingiens, la province picarde fait partie de la Neustrie. L'essentiel du pouvoir est confié aux ecclésiastiques, pouvoir que leur disputaient les comtes de Flandre et de Vermandois. Toutefois, jusqu'au IXe siècle, la région est successivement envahie par les Germains, les Saxons, les Huns et les Normands

partir de 679 jusqu’en 751 il n’y a qu’un seul roi au pouvoir. Il y a l’unité politique mais malgré cela le roi ne peut plus gouverné car il est tenu en main par le maire du palais. Le maire est un représentant de l’aristocratie de Neustrie. L’aristocratie de Neustrie depuis le 7e siècle choisit le maire du palais car elle a les pouvoirs de le faire a l’inverse du Roi qui le perd. Ces aristocrates vont faire des échanges de bien. C’est une puissance de faits et non plus de droit. Parmi ces aristocrates