Neustrie

grand ; Charlemagne ) -> Remplace la dynastie des mérovingiens, descendants de Clovis. Sous la dynastie des Mérovingiens : partage du pouvoir entre les différents frères ; Austrasie, Neustrie, Burgondes = grandes régions qui se scindent en différentes parties du royaume, division entre les frères. -> Parfois un roi, parfois plusieurs rois dans ces régions plutôt autonomes. Un personnage important : le maire du Palais = le chef des

entre ses deux fils (768) ; les régions qui furent attribuées à Charles entouraient celles de son frère Carloman comme d'un arc de cercle : c'étaient l'Austrasie avec ses dépendances germaniques (Frise occidentale, Hesse, Franconie, Thuringe), la Neustrie et l'Aquitaine maritime. Les deux rois, qui résidaient à quelque distance l'un de l'autre, Charles à Noyon, Carloman à Soissons, ne s'entendaient guère. En vain leur mère essaya de les rapprocher. Pour prévenir des motifs de conflit au dehors, elle

Occident. Dès lors, les Eglises et les monastères se multiplient en Gaule. L’appui des Evêques au royaume Franc est l’une des raisons de sa pérennité. Toutefois, la Gaule Mérovingienne s’épuise à la fin du VIème Siècle. Les maires du Palais de Neustrie et d’Austrasie ont réussi au siècle précédent à accaparer le pouvoir. Désormais c’est la famille Pippinide qui s’impose à la tête du Royaume des Francs lors du VIIIème Siècle. Pour asseoir définitivement leur pouvoir, cette famille se pose en défenseur

consolide les positions gagnées par son père Pépin en Aquitaine, qui s'était révoltée dès la mort de Pépin. En 771 le décès de son frère Carloman laisse Charlemagne seul à la tête des Francs. Il récupère ainsi ce qui lui manquait de l'Aquitaine, de la Neustrie et de l'Austrasie. Sa part à lui entourant auparavant en un large arc de cercle les possessions de Carloman, des Pyrénées à la Thuringe c'est-à-dire toute la façade atlantique. Dès 772: entreprend la campagne de Saxe, conquête et christianisation

l’Eglise. A partir de ce moment, il peut justifier ses conquêtes par un désir d’évangélisation. Le royaume est partagé entre ses fils (loi salique). Des conflits éclatent entre ces derniers, de là naîtront plusieurs royaumes (Australie, à l’est, Neustrie à l’ouest de Bourgogne). Déchirée, la dynastie mérovingienne s’affaiblit. / 1.1. Les maires du palais. Ce sont des sortes de bras droits de souverain, officiers chargés de diriger les services du palais, puis maîtres de l’administration des domaines

ostrogoths - reconquête d'une partie de l'Espagne : une partie des Wisigoths. Certaines populations comme les Alains et les Ostrogoths vont disparaître. B) Un royaume complexe Le royaume des Francs : plusieurs royaumes : - Austrasie : royaume de l'Est - Neustrie : royaume du Nord ouest - Bourgogne - Aquitaine : Sud ouest : pas royaume en tant que tel mais région avec une identité forte Parfois entre les descendants tensions donc affaiblissement avec des divisions avec les membres de la famille: entre 568

les grands disposent de plus en plus d'honores obtenus par la faveur des roys carolingiens. Ce sont ces aristocrates, investis d'honneurs par les carolingiens qui prennent le pouvoir. Ainsi, Eudes, comte de Paris a la main mise sur une partie de la Neustrie. Réginon oublie d'évoquer dans son éloge de l'empereur unificateur que Charles III était obligé de remettre le pouvoir aux grandes familles dans les régions puisuq'il ne disposait d'aucun relais familial. Même au temps ou l'empereur carolingien était

entre Charles et Carloman ; les territoires qui leur sont attribués sont disposés de façon assez curieuse : ceux de Charlemagne forment un arc occidental de la Garonne au Rhin, ceux de Carloman sont regroupés autour de l’Alémanie ; l’Austrasie, la Neustrie et l’Aquitaine sont partagées entre eux. Charlemagne et Carloman se font proclamer roi par leurs fidèles respectivement à Noyon et Soissons. Charlemagne est ensuite occupé par les affaires d’Aquitaine (voir infra), qu’il réussit à régler sans l’aide

habituelle de partage du pays franc, entre Seine et Rhin, les trois royaumes sont définis par rapports aux regna périphériques (Bavière, Italie, Aquitaine), dans lesquels les rois avaient résidé avant la mort de Louis le Pieux. La vieille distinction Neustrie-Austrasie s’efface définitivement. Les frontières des nouveaux royaumes reflètent aussi les nouvelles frontières linguistiques, entre Roman, Vieil Haut Allemand, Italien et parler de transition. Ce rôle nouveau des langues vernaculaires est également

d’unité d’un pouvoir. Ce système de partage a la spécificité dans le sens ou les partage successif du royaume de touche pas a priori l’unité du royaume. Au fil des décennies trois zones d’influence vont se constituer et devenir trois royaumes : la Neustrie, l’Austrasie et la Burgondie. L’Aquitaine est divisée en trois avec chaque zone d’influence qui revient à un roi. Ces conflits affaiblissent très vite la dynastie mérovingienne. L’aristocratie de ces différents royaumes profitent de cette faiblesse