Neutrino

envers le principe d'incertitude, sans disparaître pour autant, et se métamorphosent ainsi en particules ordinaires. L'Univers jusqu'alors vide se peuple alors de toutes sortes de particules, dont les plus connues sont l'électron, le neutrino et le quark. Le phénomène crée particules et antiparticules en quantités presque identiques, avec néanmoins une légère tendance à préférer les particules, ce qui aura d'importantes conséquences un peu plus tard. Chapitre 3/7

| | |(0) | | |= | | |(+e)+(-e)+(0) | | | | Un neutron, de charge 0, se décompose en un proton, de charge +e, un électron, de charge -e et un anti-neutrino de charge nulle. Au total, la charge du neutron (nulle) est égale à la charge totale des particules issues de la désintégration.3 La charge est une propriété de la matière, au même titre que sa masse. Ainsi, parler d'une charge pour parler d'une

différenciées comme elles le sont toujours actuellement. Par ailleurs, la soupe de quarks et d'antiquarks s'est enrichie de particules légères, sensibles à l'interaction faible : les leptons. Ces leptons regroupent les électrons, muons, tau et leurs neutrinos correspondants, ainsi que leurs antiparticules. La phase des hadrons : 10^-6 secondes Le volume de l'univers est équivalent au système solaire actuel, soit 10^13 m. La température est de 10^13 kelvins. La baisse de température fait que

aussi les ondes électromagnétiques), de neutrinos (particules de masse très faible et qui interagissent très faiblement avec la matière) ou de matière « ordinaire » (en particulier, des protons et des électrons). Cosmique On nomme rayonnement cosmique primaire le flux de particules en provenance de l’espace, rencontrant les couches hautes de l’atmosphère. Ces particules ont pour source principale le Soleil, et hors les photons non chargés et les neutrinos de masse très faible, on distingue principalement

cette désintégration par l’équation : Z X → Z-1X+ 1e on désigne par la même lettre «e» l’électron et le positon, mais on les distingue aisément par la valeur de leur nombre de charge. Remarque 2 une autre particule que l’électron est émise : un neutrino. Le nombre de charge de cette particule est nul, ainsi que son nombre de masse. Nous ne mentionnerons pas cette particule dans les équations. Activité 20 Ecrire l’équation de la désintégration G du phosphore 30 : 30 15P et de l’azote 13 : 13 7N

4 844 | 41,4 % | 4 303 | 42,6 % | + 12,5 % | | | Total | 11 700 | 100,0 % | 10 100 | 100,0 % | + 16,4 % | | | Source : Gartner / juin 2007 | | Liste non exhaustive des logiciels gratuits et libres Adempiere Compiere Dolibarr EBI Neutrino R1 Open Source CRM / ERP Ekylibre ERP5 Ezinux FreedomERP Neogia OpenAguila Openbravo OpenConcerto (Editeurfrançais) OpenERP OpenSI Sciou SQL Ledger Taika PGI (version "dérivée" d'OpenSI, Kokoon, et autres outils Open Source) Tryton

β+(cas extrêmement rare) ⇒ transformation d’un proton du noyau en un neutron et un positron n0 + e+ p+ Le noyau résultant : un proton de moins (Z - 1) un neutron de plus (N + 1) ⇒ Equation ? A 0 A X Z +1 β + + Z-1 Y + ν ν = neutrino : particule élémentaire neutre , ∃ masse : pas prouvée Exemple : 18 0 18 F 9 +1 β + + 8 O + ν ⇒ concerne les éléments qui se trouvent en dessous de la zone de stabilité et instables par excès de protons (plus particulièrement

monde atomique et subatomique n’est pas en reste. Là aussi, tout est impermanence. Les particules peuvent changer de nature : un quark peut changer de famille ou de « saveur », un proton peut devenir un neutron avec émission d’un positon et d’un neutrino. Dans des processus d’annihilation avec l’antimatière, la matière peut se muer en pure énergie. Le mouvement d’une particule peut se transformer en particule, ou vice versa. En d’autres termes, la propriété d’un objet peut se transformer en particule

qui fait tout l’attrait de cette discipline. Nous dirigeons-nous vers la découverte d’une vitesse supraluminique ? En effet, en 2012, des chercheurs du CERN, travaillant sur l’expérience OPERA, ont tentés de mesurer la vitesse de déplacement des neutrinos. Ils arrivèrent à une mesure supérieure de 7,4 km/s à celle de la lumière. Des relevés similaires avaient déjà été observés par les chercheurs du projet MINOS mais ces scientifiques étaient restés prudents avant d’en tirer des conclusions hâtives

fils particule } par effet tunnel. 3. L’interaction forte Les caractéristiques de l’interaction forte ont été déterminées au milieu des années 30 : 4 - Radioactivité 35 6. Noyaux trop riches en neutrons : radioactivité et hypothèse du neutrino L’énergie disponible lors d’une désintégration – étant égale à la différence entre l’énergie de masse du noyau père et celle du noyau fils, l’énergie des électrons émis devrait prendre une valeur bien définie. Or ce n’est pas le cas : à première