Nicolas Bataille

III. Les conséquences du conflit. A. En Russie. La Russie est gouvernée par un monarque absolu, le tsar Nicolas II qui gouverne sans tenir compte de l’Assemblée (la douma). Le mécontentement est grand de la part de la bourgeoisie en quête de liberté et surtout du peuple (dont 80% de paysans) dont les conditions de vie déjà très difficiles ont été aggravées par les défaites militaires et le manque de ravitaillement. ( En février 1917, la population de Petrograd se révolte et le tsar

mesure de l'avancement de l'histoire, Brille-Babil modifie subtilement pendant la nuit les Sept Commandements pour les rendre conformes aux décisions arbitraires et contestables des cochons. De même, il influence la mémoire des animaux au sujet de la bataille de l'étable. Avec tact, persuasion et menace, il parvient à leur faire comprendre comment Boule de neige, héros de la révolution et décoré après ce combat, avait en fait tenté de les mener à leur perte au moyen d'un stratagème bien calculé. Brille-Babil

de la Douma (Assemblée). Cependant, si les libéraux sont satisfaits de ce système, il n’en est pas de même pour les socialistes et les ouvriers. L’événement déclencheur de la Révolution de 1917 est la Première Guerre Mondial. En 1914, le Tsar Nicolas II, l’aristocratie et une partie des industriels se lancent dans une nouvelle aventure militaire. En juin 1916, la Russie dénombre déjà 2,5 millions de morts et 4,5 millions de blessés. Ce désastre humain accroît le mécontentement préexistant au sein

l’église et par l’aristocratie : le Tsar. A cette époque, la Russie est donc une autocratie (1) de type féodale. b) La société et l’économie russe En 1861, du au fonctionnement archaïque (2) que connaissait la Russie, Alexandre II, ancêtre de Nicolas II tenta de mettre en place une série de réformes, tel l’abolition du servage (3). De nombreuses écoles supérieures furent fondées, toutefois, seules les classes les plus aisées en ont bénéficié. De même, la littérature russe connu un premier épanouissement

comité d'établissement extraordinaire. Trois ans après la fusion, les suppressions d'emplois se sont multipliées, malgré les promesses. A. Juin 2006 : Mittal Steel réussit son OPA sur Arcelor. « Pas de licenciement collectif » Après cinq mois de bataille boursière, les actionnaires du sidérurgiste européen Arcelor acceptent d'apporter leurs titres à l'indien Mittal. Son offre valorise Arcelor à 25,6 milliards d'euros, avec une action à 40 euros contre 20 euros avant le lancement de l'OPA. Les syndicats

BLe déroulement de la guerre 1D'août à décembre 1914 : la guerre de mouvement Chaque pays tente des offensives et essaye de l'emporter rapidement. En août 1914, l'Allemagne envahit la France, mais elle est repoussée du 6 au 13 septembre durant la bataille de la Marne qui fait 500 000 morts. Les forces en présence étant équivalentes, un front se stabilise à partir de novembre 1914 de la mer du Nord à la Suisse sur 700 km. Un autre front apparaît entre l'Allemagne et la Russie. La guerre des tranchées

l'est de la France, afin de percer le front allié. Cette bataille qui va durer plus de 9 mois fera plus de 700 000 victimes (dont 306 000 morts) et atteint des niveaux de violence jusque là inconnus : les hommes vivent dans la boue, au milieu des rats et des cadavres. Ils doivent supporter le pilonnage incessant des canons et monter à l'assaut à travers le « no man's land » pour ensuite se battre au corps à corps dans les tranchées. La bataille de Verdun n'est pas un cas isolé : durant la même année

les français et les faire céder. Mais les français résistent et en quelques mois il y a 250 000 morts de chaque côté. C’est une offensive pour rien. Joffre déclenche la bataille de la Somme en juin 1916 avec l’aide des anglais. Elle fait 1 million de morts et de blessés (dont 400 000 anglais morts) Jamais dans l’histoire bataille n’avait coûté si cher en vie humaine. C. Le tournant de l’année 1917 et la fin de la guerre. 1. Les crises de l’été. Joffre démissionne et Nivelle le remplace. Il

Par les accords d'Évian 1962, la France reconnaît l'indépendance de l'État Algérien. Ceci fait, elle s'empresse de gommer le douloureux souvenir de sa mémoire. Cette occultation se traduit par le fruit de l'échec subi. Si sur le champ de bataille l'armée n'a pas été vaincue, la guerre est belle est bien perdue. La fin de la guerre s'ensuit par le départ massif des rapatriés d'Algérie où aussi bien appelé les pieds noirs (1 021 047 de personnes), ont été forcés de quitter toute leur vie car

le 6Oeme et le 20eme anniversaire des deux Guerres Mondiales L’Etat finance alors une grande entreprise de commémoration de ces deux guerres et permet l’ouverture de différents musées portant sur la mémoire du débarquement, des résistants, de la bataille de Verdun. Cette attention portée sur la mémoire des deux grandes guerres dans les années soixante se lit aussi dans les grands succès cinématographiques de l’époque : en 1962, le jour le plus long ou Paris brûle-t-il en 1965. Ainsi dans les années