Nicolas Boileau Satires 6

de langue, au nom de la sacro-sainte règle de la bienséance. * L’établissement des règles et des contraintes et ce dans tous les genres littéraires : Pour le théâtre la règle des 3 unités (unité de lieu, de l’action et de temps) éditée par Boileau dans son art poétique : «  Qu’en un lieu, en un jour, un seul fait accompli tienne jusqu’à la fin du théâtre rempli ». La règle de la bienséance est également établie au nom de la vraisemblance  La poésie est également codifiée : l’alexandrin devient

s'agit de Satire VI (orthographe modernisée) de Nicolas Boileau en 1660, de Rêveries in Les Orientales de Victor Hugo en 1828, de A une passante de Charles Baudelaire dans Les Fleurs du Mal en 1857 et enfin extrait Les usines dans Les Villes tentaculaires d'Emile Verhaeren en 1895. Chacun de ces textes décrient ou plus o moins critiquent une ville plus précisément celle de Paris, dans un univers agressif, par Baudelaire et Emile Verhaeren ou bien un univers très bruyant par, Boileau ou encore Verhaeren

« Les embarras de Paris » (Nicolas Boileau, Satire VI, 1666) I. Une vision réaliste de Paris 1. Description de la vie quotidienne - énumération des métiers, lexique de l’artisanat V22-23, rythme binaire -> donne un effet de réel - déictiques spatiaux « ici-partout-là » - présentation du décor, Complément Circonstanciel Lieu « ci-Paris » - expansions du nom, Adjectif Q, V1 « lugubres cris » -> visite guidée de Paris qui détaille ce qui est vu 2. La description de la souffrance réaliste

raison «  C’est dans le deuxième quatrain que la nostalgie apparaît. Celle-ci est exprimée par : • Le mot « hélas » au vers 5 qui renforce la douleur et le regret d’être loin • Le mot «  quand » au vers 5 et « en quelle saison » au vers 6 • La répétition de « reverrai-je » aux vers 5 et 7 qui accentue le désir de rentrer chez lui Dans les 2 tercets, Joackim du Bellay compare Rome et son pays. Il préfère l’ardoise au marbre (vers 11), la maison de ses aïeux aux palais romains

Lecture cursive : Paul Verlaine, Poèmes saturniens. SQ1, s.1 : Nicolas Boileau, Satires VI (1660), « Les embarras de Paris » (p.247). Remarque sur le genre ? la forme ? (poème, alexandrins, rimes suivies) Je lis le poème. Qu’est-ce qu’une satire ? (rappel) De quoi se moque-t-il ici ? Eléments pour l’introduction du commentaire de ce texte : XVIIe : démographie de Paris explose, multiplicat° des transports. Nicolas Boileau, poète classique du XVIIe s. (voir p. 575) Poème satirique = texte

française en 1684, à la place de Colbert où il retrouve Boileau et Perrault. Il sera un excellent académicien, régulièrement présent aux séances. Dans la Querelle des Anciens et des Modernes, il se range dans le clan des anciens qu'il défend avec acharnement. Jean de la Fontaine meurt le 13 avril 1695 à Paris de la tuberculose. Courant littéraire du poète Jean de la Fontaine est un auteur classique. Exposé dans L’Art par Nicolas Boileau au 17ème siècle la doctrine classique est fondée sur une

comédie latine adopte un ton plus léger essentiellement basé sur les intrigues amoureuse. La psychologie des personnages est plus fine, plus travaillée. III) La comédie classique du XVIIe siècle → théorique du classicisme : L'Art poétique de Nicolas Boileau qui s'inspire d'un auteur antique Aristote, La Poétique. Les auteurs de comédie du XVIIe siècle se sont largement inspiré de la comédie antique. A) Les sources de la comédie classique → la comédie antique Ex : Molière s'est inspiré de l'auteur

 Nicolas BOILEAU, Satires (1660), Les embarras de Paris, Satire VI (extrait) TEXTE 1 1 Tout conspire1 à la fois à troubler mon repos, Et je me plains ici du moindre de mes maux : Car à peine les coqs, commençant leur ramage2, Auront3 de cris aigus frappé le voisinage, 5 Qu'un affreux Serrurier, que le Ciel en courroux A fait, pour mes péchés, trop voisin de chez nous, Avec un fer maudit, qu'à grand bruit il apprête, De cent coups de marteau me va fendre la tête. J'entends

1590 Hamlet 1601 Othello 1604 Comédies : Le songe d’une nuit d’été 1594-1595 Beaucoup de bruit pour rien 1598-1599 Tout est bien qui finit bien 1601-1608 Pierre CORNEILLE : 1606 – 1684 Classicisme / Baroque Pierre Corneille, né à Rouen le 6 juin 1606 et mort à Paris le 1er octobre 1684, est un auteur dramatique français issu d'une famille de petite bourgeoisie, dont le père avait la charge de maître des eaux et forêts. Corneille fait des études brillantes dans un collège de Jésuites

passé. | Biographie :- Naissance de Jean de La Fontaine à Château-Thierry en Champagne en 1621 -Il rachète la charge de maître des Eaux et Forêts en 1653-Tenté par l’Église, La Fontaine entre à l’Oratoire en 1641 à Paris-La Fontaine est présenté à Nicolas Fouquet, surintendant des Finances. C’est lui qui va pensionner La Fontaine. Il commence alors à fréquenter les salons et s’installe à Vaux-le-Vicomte en 1657 -Louis XIV, jaloux de Fouquet, le révoque en 1661. Fouquet est arrêté et emprisonné. La