Nietzsche Tout Ce Qu On Nomme Amour

sait, signifie en grec amour de la sagesse, et Socrate, qui ne cesse de rappeler que tout son savoir se limite à savoir qu’il ne sait rien, admet une exception en se présentant comme un spécialiste d’Érôs. Pourtant, tout en reconnaissant dans le désir le moteur du mouvement qui l’anime, la philosophie n’a cessé d’en dénoncer certains de ses effets. Oui, depuis le début, le désir apparaît comme problématique et même peut-être comme la source de tous nos problèmes, de toutes nos souffrances personnelles

L’homme et le monde La question de l’homme, l’homme comme question. Nietzsche relevait, dans la formule « l’homme et le monde » une incongruité telle qu’elle le faisait éclater de rire[1]. Quelle prétention, ce minuscule « et » unissant deux réalités parfaitement incommensurables ! Quoi ? comment penser dans une même phrase l’infinité et la puissance du monde et la minuscule créature humaine qui, seule sur son ridicule rocher s’arroge le droit d’interpeller l’univers dans un « y’a quelqu’un

qui nous intrigue et qui est le lieu de toutes les spéculations métaphysiques. Cette nature est celle du scientifique, du peintre, du poète, du promeneur, du théologien, celle devant laquelle nous plions les genoux et nous rendons grâce à Dieu, mais aussi celle sous laquelle je tente de dégager du sens et de l’ordre. Monde dont une vieille tradition a voulu que nous la nommions métaphoriquement « mère », tant elle nous fait naitre et nous apporte toutes les ressources dont nous avons besoin. Mais

critiquable ? Mais ne faut-il pas critiquer pour juger si c’est légitime ou illégitime ? On pourrait dire que les animaux ont aussi un cerveau et qu’ils se vivent psychiquement eux-mêmes ainsi que le monde et donc qu’ils pensent d’une certaine façon tout cela. Mais on pourrait ajouter qu’ils ne pensent pas philosophiquement leur individualité et le monde, ce qui montrerait que la question qui nous intéresse ici n’est pas celle du soi biologique mais celle du moi philosophant. C’est exact.

2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 10 4. La création artistique est un acte de communication 11 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche 11 II. Les fins de l’art 12 Introduction : La diversité des sentiments

dit, pour qu’il y ait don, il faut que le donateur perde ce qu’il donne en en transférant au donataire le droit d’en jouir à sa guise. - Deuxième élément de définition : il faut que la cession en question soit sans contre-partie. Le don exclut tout échange, tout commerce et toute réciprocité. Il suppose au contraire une forme de gratuité rendue possible par la générosité. C’est pourquoi on dit d’ailleurs que le don est gracieux. =>La non réciprocité est essentielle au niveau du donateur : Je ne

et l’agréable (Kant) 1 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 1 3. La norme du goût (Hume) 1 C. La création artistique 1 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 1 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 1 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 1 4. La création artistique est un acte de communication 1 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche 1 II. Les fins de l’art 1 Introduction : La diversité des sentiments esthétiques 1 A. Le

l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 10 4. La création artistique est un acte de communication 11 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche 11 II. Les fins de l’art 12 Introduction : La diversité des sentiments esthétiques

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jusqu'à la trente-deuxième proposition alors qu'il n'avait que douze ans (1635). Son père, rentier de l'Hôtel de Ville, manifesta pour défendre ses droits à la suite d'une suppression des rentes et se cacha, craignant d'être arrêté. Il fut ensuite nommé commissaire pour l'impôt en Haute-Normandie en 1639 par Richelieu et rattaché directement au roi. Dès lors, la famille s'installa à Rouen. Elle y reçut la visite de Pierre Corneille, qui demanda à Jacqueline Pascal d'écrire des vers. C'est à Rouen