Nil Bleu

 Notes sur le livre « Les pilleurs de sarcophages » En 1550 av. J.-C., les Hyksos venus d’Asie envahissent la vallée du Nil et s’approchent du delta du Nil. Antef, (caractère méchant dans l’histoire) dit à Ramose, nomarque d’Éléphantine, d’attaquer les Hyksos mais Ramose n’a pas d’or ni d’argent pour les attaquer. Antef lui promet de l’or. Mais où va t-il trouver l’or ? Tétiki ,fils de Ramose , demande conseil à son ami le nain Penou pour savoir où est l’or . « Là où il se trouve

(on obtient de l’eau déminéralisée, sans goût) d’où un rajout nécessaire de sels minéraux. Techniques très chères, « réservées » à des états qui ont assez de finances (Arabie Saoudite, Koweit…) Système de huerta (légumes et fruits) dans le delta du Nil, polyculture intensive. b) Les aménagements Exemples : – le barrage d’Hoover Dam (zone de Las Vegas) aux Etats–Unis : le barrage le plus haut du monde (217 m) – la « grande rivière de Libye » : pays très peu soumis aux précipitations, ce désert

s’imprègne du positivisme du siècle en rejetant les illusions des croyances sans fondement, il est de son siècle. L’archétype du héro se dessine également dans le voyage en ballon où il semble fait pour voyager et rechercher le graal (les sources du Nil), le déterminisme christique en moins que celui des chevaliers de la Table Ronde du Moyen-âge. Vingt milles lieux sous les mers renvoient les héros à la finitude de l’homme, libre dans un espace restreint entre mythe et modernité au sein d’un élément

[46], ce qui n’empêche pas le regroupement d’environ 15 000 personnes au Caire, dont 10 000 sur la place Tahrir[43], 2000 à Suez (70 blessés : 15 policiers, 55 manifestants), et d’autres manifestations à Alexandrie, Assouan, Assiout, dans le delta du Nil, à Ismaïlya, dans le Sinaï[47]. Des manifestants occupent la place Tahrir toute la nuit, mais ils en sont chassés au canon à eau le lendemain matin[48]. La journée fait au moins quatre morts[49]. Le 26 janvier 2011, le mouvement de protestation prend

1-Fractionnement du temps Photographie d’un calendrier Egyptien Le calendrier égyptien, appelé calendrier nilothique, était axé sur les crues du Nil. Au début de leur histoire, les Egyptiens établirent un système basé sur les phases de la Lune. Ce calendrier lunaire comportait un cycle de 309 lunaisons définissant 25 années. Seizes années avaient douze mois et neuf années comportent treize mois (29,55 x 309 = 25 x 365,25). Comme ce calendrier comportaient trop d’irrégularités, à partir

Le projet : L’Egypte entretient depuis longtemps des relations conflictuelles avec son voisin du Sud, le Soudan, autre grand pays dont la survie dépend du fleuve. Elle a toujours douté que ce dernier ne la prive des eaux du Nil. Pour ces deux raisons majeures – la première étant de domestiquer le fleuve et la seconde étant de garder le contrôle de son cours-, les Egyptiens décidèrent de construire un grand barrage sur leur territoire : le haut barrage d’Assouan. Il fut construit en complément

conditions de vie entraîne une baisse de la mortalité qui se traduit par une augmentation de la population mondiale.) On note l'apparition des premiers foyers d'agriculture au Proche-Orient (région du croissant fertile), en Europe, dans la vallée du Nil puis en Chine et en Inde. C'est dans ces régions que la population s'accroît en premier et qu'elle est encore aujourd'hui la plus forte. La population mondiale augmente depuis l'Antiquité (= -3000 av. J-C, c'est la première période de l'histoire

pour en introniser un autre. Quelques années après, l'un d'eux, Ibn Tulun (868-884), devient le véritable souverain indépendant de l'Égypte. Rien ne change avec les siècles. Les Fatimides venus d'Ifriqiya – la Tunisie – qui ont occupé la vallée du Nil et fondé Le Caire, Al-Qahira, « la Victorieuse », ont leurs mamelouks. Leurs successeurs, les Ayyubides, les héritiers du célèbre général kurde Salah al-Din Yusuf, notre Saladin, en ont aussi ; ils sont plus nombreux que jamais bien qu'ils coûtent cher

En parcourant la vallée du Nil, lors de la visite des grands temples, ceux-ci nous paraissent bien tristes à travers leur grisaille archéologique. Il n'en était pas de même à l'Époque pharaonique où le temple divin était rutilant de polychromie, d'oriflammes, d'obélisques à pointes d'or. Chaque temple comportait un nombre important de prêtres qui devaient assurer chaque jour un cérémonial au rite immuable, sans la moindre participation du peuple. Le rôle du temple était avant tout de protéger

cette ville a été reconstruite sur les ruines de l’ancienne cité donc rehausser. La place la plus impressionnante et la plus connue de la Rome moderne est la « plazza Navona » avec ces 3 fontaines : la fontaine des 4 fleuves avec la représentation du Nil, du Danube, du Gange et du Rio de la Plata construit par Bernin ; celle de Neptune et de Maure ; Rome est aussi la ville des fontaines et de l’au potable. A proximité de cette place se trouve l’église Sainte Agnès, édifice somptueux avec ces fresques