N'importe qui

reconnaît-on qu'une autorité est injuste ? Comment légitimer la révolte ? J'ai le droit de me révolter parce que je vise une société plus juste parce que plus libre. Cela ne signifie nullement qu'on ait le droit de se révolter contre n'importe quoi et dans n'importe quelle condition. Il reste donc à déterminer précisément les conditions d'un droit à la révolte. D'abord, la révolte doit porter contre un ordre réellement injuste. Il n'y a aucun droit à la révolte dans une démocratie où chacun garde

que Dieu choisi des personnes pour nous instruire, et que celle-ci peut nous frapper n’importe qui, a n’importe qu’elle moment. Ex : « Dieu nous frappe pour nous avertir […] il les épargnent si peut qu’il ne craint de les sacrifier » (l.2 a 4). Ex : « ou retentit tout a coup comme un éclat de tonnerre cette étonnante nouvelle » (l.11 & 12) nous montre encore une fois que la mort peut nous frapper a n’importe qu’elle moment tel un coup de tonnerre. - D’autre part Bossuet nous expose l’inutilité

"L’Internet est avant tout la mise en forme d’une idée, simple et géniale, capable de résister à n’importe quelle évolution technologique précisément parce qu’elle la transcende. C’est l’idée de fédérer, grâce à une norme commune, tous les ordinateurs et tous les réseaux de communication, et donc de permettre la communication de n’importe quel ordinateur avec n’importe quel autre ordinateur par tout moyen de communication, dont, naturellement, le réseau téléphonique mondial." Internet, c’est un

social ? Le téléphone mobile est devenu aujourd’hui un outil de communication aussi répandu qu’indispensable. Ce moyen de communication s'est largement répandu à la fin des années 1990. Il permet de pouvoir communiquer depuis n'importe où, n'importe quand et avec n'importe qui, il permet aussi de pouvoir appeler lorsque l'on se trouve isolé. Cependant, dans un contexte social, quelles nuisances peut générer son usage ? Nous tenterons de mettre en évidence le paradoxe de cet outil : à visée communicationnelle

de papier et enfin, les enfants s'instruisent grâce aux ordinateurs. L'ordinateur est l'outil de recherche par excellence, il suffit d'un clic pour trouver des millions d'informations si pas plus. Les informations cherchées peuvent être sur n'importe quel sujet et on peut même y trouver des forums si on se pose des questions pour que des gens nous conseille et qu'ils nous fassent part de leurs expérience sur quoi que ce soit. Les informations peuvent passer de la guerre en Afrique à une recette

l’auteur nous parle de l’adjectif « genré » – terme inventé pour cet essai. Sa pensée quant à cet adjectif suit une logique imparable concluant que le genre peut être apposé à n’importe quels mots, n’importe quels noms pour, au final, être associé à tout ce qui est. « On peut jeter le genre à propos de tout et de n’importe quoi » (Fraisse, 2014, p. 7). Chapitre 1 : une solution, ou un problème Le chapitre se compose de plusieurs parties distinctes dans lesquelles Geneviève Fraisse confronte les

peuvent être utilisés pour accorder un accès à des ressources dans n'importe quel domaine de la forêt et ils servent généralement à regrouper des utilisateurs ayant des besoins similaires en termes d'accès aux ressources. • Groupes locaux de domaine Ces groupes ne peuvent être utilisés que pour un accès à des ressources du domaine local. • Groupes universels Ces groupes peuvent être utilisés pour accéder à des ressources dans n'importe quel domaine de la forêt. Ils diffèrent des groupes globaux

être présent. C'est donc un site idéal pour pouvoir rassembler son réseau et le développer. Mais ce n’est pas tout, Facebook nous suit n’importe où où nous sommes, avec la technologie qui croît encore de plus en plus chaques jours, les telephones portables ou autres gadget possèdent internet, et donc peuvent aller sur Facbook à n’importe quel endroit et n’importe quel moment. Ce site est avant tout un site de communication libérée. Les utilisateurs s’y donnent rendez-vous pour y discuter, faire de

de la vogue des ‘’short messaging service’’ (SMS) à ses débuts il traite l’engouement spectaculaire envers ce nouveau moyen de communications via les nouvelles technologies en effet un ‘’SMS’’ ou ‘’ texto ‘’ peut être envoyer n’importe quand, n’importe ou et enfin à n’importe quel moments ce qui confère un aspect ludique car recevoir un texto c’est ‘’drôle’’ en effet sa bipe, vibre ou autre et de ce fait permet de lire a un moment précis un sentiment, une action etc dévoilé donc en appuyant juste

déportation de ressources sur des serveurs distants contrairement leur hébergement traditionnel sur le poste utilisateur. Plus clairement il s’agit de stocker des informations, programme ou dossier sur une plateforme qui est disponible via internet depuis n’importe quel outil informatique, Smartphone, PC, MAC, tablette etc... Il s’agit donc d’une base de données à distance où l’on trouve également des dossiers disponible ne streaming. Un partenariat public/privé est-il réellement possible ? Est-il souhaitable