Niveau de vie

développement au développement durable Manuel utilisé : Magnard Introduction : Définir les termes du sujet : - Enjeux : ce qui est mis en jeu, défis, ce qu’il y a à gagner/à perdre. Développement : production de richesse + amélioration des conditions de vie. Problématique : En quoi les inégalités actuelles & la croissance des besoins d’une population en augmentation obligent-ils à repenser les modes de développement ? I- Constat d’un développement inégal et déséquilibré (3h) 1. Qu’est-ce que le développement

sont au niveau de l’IDH elle n’est classé que 94éme mondial. En quoi la croissance entraine tel le développement ? Nous répondrons a cette question en deux parties distinctes en révélant dans un premier temps que :Le développement accompagne souvent la croissance (I) et dans un second temps :La croissance ne suffit pas a assurer le développement (II) . I) Le développement accompagne souvent la croissance économique A/la croissance permet l'amélioration du niveau de vie et une meilleure

1) De très importants écarts de richesse et de niveau de vie Les écarts de développement s'expriment tout d'abord par l'ampleur des richesses disponibles. Dans le monde, 16 % de la population possède 80 % des richesses mondiales, alors que les 16 % les plus pauvres n'en possèdent que 5 %. Les inégalités sont aussi très fortes en ce qui concerne le développement humain. Ces inégalités se traduisent par des écarts notables en termes d'espérance de vie par exemple. 2) Des problèmes démographiques

situation de la Chine peut s’analyser à partir de quelques chiffres des documents 2, 3 et 4 : en terme de niveau de vie, le pays a connu une croissance de 11,9% en 2007 et le PIB par habitant s’élève à 2484 USD. En terme de développement, son IDH s’établit à 0,777 (81ème rang sur 177 pays en développement) tandis que l’IPH 1 la place au 29ème rang des pays en développement. L’espérance de vie à la naissance et le taux d’alphabétisation sont relativement élevés. En 2009, la croissance de la Chine devrait

conséquence une élévation du niveau de vie et une amélioration du genre de vie, elle entraîne dans son sillage des externalités négatives qui jettent un doute sur la fiabilité de sa mesure. De la croissance au développement La période de croissance initiée par la Révolution Industrielle a été marquée de phases de prospérité et de crises. Les mutations économiques, sociales et culturelles ont pris la forme d'un développement qui a profondément transformé les conditions de vie, notamment en Occident.

Introduction L’amélioration de la santé des individus est considérée comme l’un des principaux objectifs du processus de développement dans chaque pays, car ce dernier il ne peut progresser et réaliser ses aspirations que si le niveau sanitaire de son peuple est élevé. De ce fait la santé est un facteur essentiel du développement, car elle agit directement ou indirectement sur la qualité et la quantité de la force du travail qui joue un rôle indispensable dans la croissance économique. Par

qui ne dispose pas des ressources réputées suffisantes pour vivre dignement dans une société et son contexte. Insuffisance de ressources matérielles affectant la nourriture, l’accès à l'eau potable, les vêtements, le logement, ou les conditions de vie en général. Mais également insuffisance de ressources intangibles telles que l’accès à l’éducation, l’exercice d’une activité valorisante, le respect reçu des autres citoyens ou encore le développement personnel. Cette situation non-désirable et génératrice

La croissance est un processus engagé depuis plus de 2 siècles et les économistes comme les gouvernements y sont particulièrement attentifs car elle conditionne le niveau de vie de la population. La croissance se mesure à partir d’agrégats comme le PIB (somme des valeurs ajoutées des différentes branches de l’économie nationale) le PIB par habitant ou en encore le revenu par tète. La mesure de l’accroissement des richesses produites pose des problèmes d’évaluation en particulier des services non

Les 20 % les plus riches composent les catégories "aisées". Les classes "moyennes" se situent entre les 30 % les plus démunis et les 20 % les mieux rémunérés. Elles représentent 50 % de la population. A quelle catégorie appartient-on selon son niveau de vie ? Si l’on considère les revenus après impôts et prestations sociales (données 2008), on obtient les seuils suivants : Quel revenu pour quelle catégorie selon le type de ménage ? | | | Pour une personne seule | Seuils | Les catégories

diplôme et ceux qui ont réalisé des études supérieures. On observe le même phénomène concernant le théâtre ou le concert (respectivement 33 et 45 points). On en déduit que c'est le niveau de diplôme qui est le plus discriminant. Il n'est pas sûr que les mêmes résultats eussent été observés si on avait réparti les niveaux de vie par décile. [Il faut tenir compte des deux pratiques, la question ne spécifiant pas l'une d'elles.] Q3 On constate que selon que les parents étaient ou non lecteurs, la fréquence