NKVD

l’état, et ou les paysans sont salariés de l’état Culte du chef : le peuple du gouverneur (Staline) doit le glorifier et le vénérer Jeunesse communiste : groupe encadré que les jeunes sont obligés d’intégrer, pour honorer le gouverneur (Staline) NKVD : police politique qui surveille le peuple Russe Goulag : travaux forcés Grande terreur : grandes purges de 1936-1938 lorsque les Koulaks, les intellectuels, les opposants politiques, sont envoyés au goulag. Procès de Moscou : lorsque Staline oblige

37, au service du régime. Ecrivains et artistes doivent adhérer à l’idéologie, sous peine de persécution, d’exil… Quand la propagande ne suffit pas, ces régimes ont recours à la terreur de masse exercée par leur police politique (OVRA, Gestapo, NKVD). Les camps, le goulag éliminent les opposants. D. L’économie mobilisée. L’économie des États totalitaires est centralisée. L’État développe une politique d’autarcie destinée à baisser les importations et diminuer la dépendance vis-à-vis de l’étranger

plusieurs réformes. Cependant, les changements rapides de sa politique suscitent des oppositions dans le pays. Staline assimile ces contestations à des trahisons et élimine tous ses opposants. Purges par la Guépéou, puis depuis 1934 remplacée par le NKVD, procès fictifs, déportations au Goulag sont autant de moyens qui ont permis à Staline de parvenir à ses fins. Grace aux Grandes Purges, qui instaurent une réelle terreur en URSS, la situation économique du pays s'améliore, contrairement à la dictature

l’Etat intervient de manières différentes : lancement de grands travaux, contrôle de certaines entreprises, interdiction de la grève et des syndicats. La terreur est exercée par les polices politiques l’OVRA en Italie, La Gestapo en Allemagne et le NKVD en URSS. Les opposants et les « ennemis intérieurs » sont exécutés ou envoyés en prison ou dans les camps : les bagnes de feu dans les îles Lipari Italiennes, les camps de concentration nazis, le Goulag en URSS. En Allemagne, la terreur qui s’exerce

kolkhoze. Les paysans du kolkhoze reçoivent un salaire minimum et une part des bénéfices selon leur travail. Ils peuvent posséder et exploiter un lopin (petit bout de terre) individuel dont ils vendent librement les produits sur le marché kolkhozien. NKVD : police politique dans l’URSS de Staline. Prolétariat : ensemble des prolétaires, c’est à dire ceux qui ne possèdent aucun moyen de production ou d’échange, ne disposent que de leur force de travail pour laquelle ils reçoivent un salaire. Propagande

l'extérieur dans les années suivantes. La grande terreur stalinienne commence le soir même alors qu'il fait promulguer un décret suspendant toutes les garanties de droit et rendant sans appel les sentences de mort prononcées par les juridictions spéciales du NKVD. Il débarque en personne à Leningrad et en fait déporter des milliers d'habitants. En août 1936, le premier des trois procès de Moscou engage la liquidation physique de la vieille garde bolchevique. Staline se débarrasse définitivement de ses anciens

conspiration diabolique. Les guerres, les dépressions et les génocides du siècle passé n’étaient pas accidentels ou inévitables mais le résultat d’un dessein malveillant. Une preuve choquante est l’interrogatoire en 1938 par la police staliniste (le NKVD) d’un des fondateurs de l’Internationale Communiste, Christian G. Rakovski, 65 ans, qui était menacé d’exécution pour un complot visant à renverser Staline. La transcription des 50 pages de son interrogatoire, surnommée « The Red Symphony (la symphonie

cinéma, discours, presse ; les médias sont contrôlés et censurés) - dictature - symbole - police politique : Guépéou qui devient NKVD ; Gestapo, SA, SS , milice -24 février 1920 : Hitler présente la doctrine nazie devant 2000 personnes. -8 au 9 novembre 1923 : tente un coup de force : le Putsh. -crée une « échelle raciale » avec la race Aryens au sommet et les juifs en derniers

Deuxièmement, la population est encadrée par des organisations dépendantes du régime communiste. Un seul parti politique est autorisé, le parti communiste. Troisièmement, la population est soumise par la terreur. Elle est surveillée par la police politique (NKVD, guépéou puis KGB) qui a tous les pouvoirs : les opposants sont arrêtés puis exécutés ou déportés dans des camps de travail appelés goulags qui ont pu détenir jusqu’à 6 millions de personnes. L’URSS apparaît comme la première expérience de régime

de liberté. On peut être tout simplement arrêté pour avoir critiqué le régime ou son chef. La liberté d’opinion n’existe pas et le seul parti autorisé est le parti communiste. Tous les opposants à ce régime sont traqués par la police politique,le NKVD qui les envoies dans les goulags qui sont des camps de concentration ou bien ils sont exécutés. Staline impose la terreur au sein même du parti communiste. En effet,pour lutter contre ses adversaires ,il organise des purges. C’est l’époque de la