Noblesse

son corps et son âme, Candide est en complète adéquation entre ce qu’il est et ce qu’il parait. Sa situation sociale le place en situation d’infériorité, car c’est un bâtard. Il est bâtard dans un contexte particulièrement soucieux des valeurs de noblesses. Il y a un mystère autour de lui car il n’y a que des soupçons chez les domestiques. Tout cela le prédispose à la soumission d’un point de vue idéologique : « Candide écoutait attentivement » (L.45). Candide est naïf, ingénu, crédule et cela va

de l'Ancien Régime. Cette assemblée des trois ordres (clergé, noblesse et Tiers état) est convoquée par le roi pour débattre des problèmes du pays. L'aristocratie souhaite en finir avec la monarchie absolue imposée par Louis XIV et incarnée par Louis XVI, et reprendre ainsi ses pouvoirs d'autrefois. Le haut-clergé qui profite globalement du système, désire (en majorité) le maintien du statu-quo. Aux états généraux, la noblesse est représentée par 270 députés (dont 90 libéraux). Le clergé

courant des moralistes.  2. Les classes sociales   Le noblesse perd un peu de son pouvoir. Les nobles, ne devant pas travailler, on moins d'argent. La bourgeoisie, ayant de plus en plus d'argent, effectue une ascension sociale en achetant des titres de noblesse. On distingue deux "catégories" dans la noblesse : la noblesse d'épée dont la descendance remonte eu Moyen Age, et la noblesse de robe, bourgeois ayant acheté leurs titres de noblesse. Vue le dépenses de l'État, le peuple est réduit à une

opposition systématique des parlements. Tout simplement parce que pour réformer l’Etat et la société de l’Ancien Régime, il faut remettre en cause certain privilège de la noblesse et du clergé. Mais les parlements d’Etat sont composés de nobles et cette opposition parlementaire est une défense égoïste des privilèges de la noblesse. La politique royale voulue par Louis XVI va se trouver face à un mur d’opposition et l’on peut dire que c’est dans un contexte particulier, que cette politique va déboucher

douanes intérieures. Tout cela complique l'administration et multiplie le désordre. De plus, de nombres scandales salissent la Reine et la Cour, ce qui discrédite un peu plus le régime. La reine, Marie-Antoinette, incarne aux yeux du peuple, la noblesse de cour parasite, égoïste et rapace. Mais le Roi est aussi méprisé puisqu'il est incapable de faire obéir sa femme. Par son manque de prestance et de son envie de mener une vie simple, Louis XVI, enlève à la personnalité royale, cette majesté qui

marquis de Marsay. Ce fut un officier de cavalerie sous l’ancien régime (il a été chevaux léger de la garde du Roi), le marquis de Ferrières se fait remarquer par ses nombreux essais « philosophiques » dans le gout de Rousseau. Il est élu par la noblesse de la sénéchaussée de Saumur aux Etats généraux. Le contexte historique à la fin du XVIIIe siècle était le résultat d'une émulation philosophique et intellectuelle ayant finalement conduit à la Révolution française, retenant la date du 14 juillet

Ce qui donne une mauvaise gestion, des mauvais conseillers et elle se fait manipuler par les grands (les nobles) En 1614, situation financière tellement grave que Marie de Médicis convoque des Etats généraux ( regroupe 3 corps : clergé, noblesse, Tiers-état) En 1615 et 1616, Louis XIII prend le pouvoir et instaure le ministériat ( pouvoir à deux têtes, le roi et le premier ministre ( Cardinal de Richelieu) Le Cardinal a un but : rendre le pouvoir au ROI. Les deux problèmes

alors davantage les inégalités face aux différentes classe sociale et débouche sur une véritable crise. Elle va ensuite s'etendre au niveau politique, car le pouvoir ne parvient pas à résoudre la crise économique de par le fait que le Clergé et la Noblesse ne veulent abandonner leur privilège. Ces multiples crises déboucheront sur le rassemblement des Etats – Généraux, afin de parlementer sur la mise en place de plusieurs impots qui sont censés remettre en place l'économie du pays. La crise économique

lettres de commission octroyées par le roi. Ces ministres agissent au nom du roi et sont nommés et révoqués à sa volonté. Exception parmi les ministres commissaires, le chancelier est nommé à vie et inamovible. Ces ministres sont choisis dans la petite noblesse ou dans la bourgeoisie ce qui permet au roi de bien les tenir (car leur réussite vient du roi). Sont également commissaires les principaux agents de l'administration royale (gouverneurs de province créés sous la monarchie tempérée, intendants des

du Royaume (secrétaire d'État) Sebastião est nommé Premier-ministre du Royaume en 1755, Comte d'Oeiras en 1759 et Marquis de Pombal en 1770. Il a gouverné avec une main de fer, imposant la loi à toutes les classes, des plus pauvres à la Haute Noblesse. Impressionné par le succès économique anglais, il a essayé, avec succès, de mettre en œuvre des mesures qui inculquaient un même sens à l'économie portugaise. La région délimitée par la production de vin de Porto, la première région à assurer la