Nociception

et courte. -La douleur chronique (plus de 3 à 6 mois) possède une dimension psychologique et sociale de la maladie. 12/ Expliquer les 3 types de douleurs qu'on distingue sur le plan physiopathologique Sur le plan physiopathologique: -excès de nociception (souvent aiguë) conséquence de liaisons tissulaires. -neuropathique ou neurogène qui sont aiguës ou chroniques dues à une liaison nerveuse au niveau périphérique ou central. -psychogènes (troubles affectif) 13/ Définir les notions d'autoévaluation

les nerfs sont intacts, le frottement de la peau du cou déclenche une dilatation de la pupille de l’œil ipsilatéral . L’absence de dilatation suppose un arrêt de la voie de dilatation . Le réflexe ciliospinal est donc en principe un lien entre la nociception cervicale et la dilatation de la pupille . Il est donc plausible que les patients cervicalgiques présentent une augmentation du tonus de la dilatation commandé par ce réflexe . Pour surmonter ce tonus , les patients ont besoin d’augmenter la stimulation

symptômes douloureux, insuffisamment contrôlés ou nécessitant une prise en charge particulière (neurostimulation électrique transcutanée par exemple), le patient sera orienté vers un médecin ou une structure spécialisée. 1. Douleurs par excès de nociception (mécanisme classique de la douleur – lésions de tissus provoquant un influx douloureux transmis par un système nerveux intact) : répondent aux antalgiques, coantalgiques parfois nécessaires : corticoïdes, topiques locaux (anesthésiques, cicatrisants

La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, liée à une lésion tissulaire existante ou potentielle, ou décrite en terme d'une telle lésion.     Il existe différents types de douleurs : * Douleur par excès de nociception : révélatrice d’une lésion (brûlure, piqûre, choc). * Douleur neuropathique : par compression de la voie nerveuse, lésion du système nerveux. * Douleur idiopathique : sans cause apparente (localisées, muscles, tendons). * Douleur psychogène

métabotropiques). L'antagonisme de ce récepteur NMDA peut d'ailleurs enrayer le phénomène de wind-up. Nociceptif : Cet adjectif se réfère aux sensations douloureuses, aussi bien qu’aux sensations thermiques (chaud, froid). Quand une personne perd la nociception, cela signifie que la personne ne peut pas ressentir la douleur (la piqûre d’aiguille), la chaleur, ou le froid. Les sensations nociceptives diffèrent des sensations proprioceptives qui représentent le sens du toucher et de la position. Dans la

latéraux (noyaux situés à la base du thalamus postérieur : relais des voies visuelles) et du cortex Occipital. [7] Les noyaux du Raphé : Leur médiateur est la sérotonine, ils sont impliqués dans le cycle veille-sommeil et dans le contrôle de la nociception. [8] Stimulant des fonctions organiques, excitant ----------------------- [pic] [pic] [pic] [pic] [pic] [pic] [pic] [pic] STIMULUS SNC SNC SNC [pic] Récepteur de type 1 : Récepteur tactile Récepteur

Traitement général Traitement local DOULEUR Prévoir antalgique selon les 3 paliers OMS si nécessaire Anesthésiques locaux (avant les repas) - XYLOCAINE visqueuse® (avec écouvillon ou à distance des Remarque : Mucites = douleurs par excès de nociception repas (2h) pour éviter les fausses routes alimentaires) - MAXICAINE® (moins de risque de fausse route) - XYLOCAINE® 2% : 1 flacon + Bicarbonate 1,4%(500cc) + SOLUMEDROL® 120 mg Plus rarement douleurs neuropathiques = traitement spécifique

inhibe ou bien supprime à quelque niveau que ce soit le message douloureux. plutôt prévenir et anticiper. privilégier les solutions les moins contraignantes. évaluer le résultat du traitement. adapter à chaque douleur: Par excès de nociception Désafférentation Psychogène Chez un même patient ces différents types de douleur peuvent coexister, varier dans le temps, d'où la nécessité de réévaluer les traitements, leurs effets, et la douleur elle même. Trois conditions sont nécessaires

hypoagueusie avec difficulté de différencié le salé et le sucré, sécheresse buccale (participe aux problèmes dentaires), acidité buccale, dysphagie avec risque de fausse route. Toucher : diminution de la sensibilité à la pression (très minime). Nociception : forte diminution du seuil de perception, retard dans la sensation d’une blessure. Dangerosité de ne pas repérer une plaie ou une brulure. Risque de brulure en se lavant les mains par exemple. Thermorégulation : diminution de la production, la

DOSSIER D/ Trois manières de concevoir la place de l’humain par rapport à l’animal S UJET L’animal être sensible. Les animaux sont capables de ressentir une agression désagréable contre leur organisme (ce que les scientifiques appellent «  nociception »), et d’éprouver avec elle des sensations émotionnelles (on parle alors de «  douleur  »), voire des sensations conscientes de désagrément. En outre beaucoup de maladies sont capables de se transmettre entre les hommes et les (autres) animaux.