Noir de fumée

celle de la fumée des canons. -Les couleurs. Les couleurs sont assez homogène, il y a de nombreuses nuances de beiges (pour la peau, quelque vêtements...), de bruns (les cheveux, les vêtements et un peut en haut à gauche) du jaune au marron foncé, et aussi du noir (pour le sol, la foule), qui forme un ensemble assez chaud. L'association du bleu, du blanc et du rouge qui est répétée à plusieurs reprises : drapeau, foulard/ceinture, vêtement, ciel et fumée. La répétition

00 salade, tomate, saumon fumée, crevette , créme fraîche, citrons Salade ritci12.00 salade, tomate, avocat, crevettes, concobre, fruit frais Salade landaise12.50 salade, tomate, foîe gras, magret de canard, gésier de volaille, haricot vert, oeuf poché Salade paolo13.50 légume mariné, courgette, aubergine, poivron, artichaut, tomate séchée, coppa, salamis, parme Risottos Risotto à la créme de truffe noire11.50 champignons, créme de truffes noires, parmesan Risotto aux scampi

La Bete humaine de Zola (chapitre 12) [...] A Rouen, on devait prendre de l'eau : et l'épouvante glaça la gare, lorsqu'elle vit passer, dans un vertige de fumée et de flamme, ce train fou, cette machine sans mécanicien ni chauffeur, ces wagons à bestiaux emplis de troupiers qui hurlaient des refrains patriotiques. Ils allaient à la guerre, c'était pour être plus vite là-bas, sur les bords du Rhin. Les employés étaient restés béants, agitant les bras. Tout de suite, le cri fut général : jamais

Comment sa caractérise un paysage industrielle: - Dans ce document nous remarquons que ce paysage industrielle est cractériser par des usines métallurgique et sidérugique, on remarque qu'ils y a beaucoup de fumée noir qui jaillissent des hauts-fourneaux. Il est caractériser aussi par de nombreux logements des ouvriers qui provienne des campagnes pour travaillier ( exode rurale) 2) il s'agit d'une insdustrie de montage d'automobiles citroen ou les ouvriers travaillent à la chaine. 2) Les éléments

nombreuses descriptions « dans la pleine rase », « sous la nuit sans étoile »,. L'adjectif « rase » exprime l'immensité, le ride et la solitude. Le privatif « sans étoilées » décrit l'ambiance sombre et lugubre du paysage. Ceci est renforcé par l'adjectif »noir » et le terme « ténèbres ». Après la description des lieux, Zola définit le personnage. Celui-ci représente la condition sociale des ouvriers. Il semble être en quête de travail. Le portrait qui en est fait met en évidence l'errance de celui-ci, dominé

gens, qui eux-mêmes s'habituèrent rapidement à ma présence. Je frottai mes mains pour les réchauffer, lorsque je vis une limousine noire et brillante s'arrêter sur le bord de la route. Un homme en descendit. Il était très élégant, dans un costume noir qui avait du coûter très cher. Il fumait une cigarette anglaise d'un air distrait. Il regarda la petite foule rassemblée devant lui sans vraiment la voir. Puis son regard s'arrêta sur moi. Il sembla étonné, pencha un peu la tête. Il s'avança vers moi

novembre 1937. 6°/a.A LA DECOUVERTE DE L'OEUVRE Guernica, État V. Les différentes étapes de l’œuvre (50 études préparatoires) sont connue grâce aux photographies de Dora Maar, compagne de Picasso. Dans Guernica, Picasso a limité sa palette ai noir, blanc et gris. Ces couleurs évoquent les gros titre, la typographie et les photos d'un journal. Les formes sont plates et simplifiées comme sur affiche. En multipliant les points de vue, Picasso semble fractionner l'espace, tout en le restituant

chauve et barbu, coiffé d'un chapeau melon, qui arrive à chaque fois avec une femme différente et qui repart toujours seul. Rapidement, les incohérences se multiplient et l'espoir de revoir ces femmes vivantes s'estompe. Les odeurs nauséabondes et la fumée noire qui s'échappent, hiver comme été, de la cheminée de la maison finissent de conforter les suspicions des inspecteurs. Loin de la petite escroquerie, l'affaire semble prendre une tournure plus inquiétante. D'autres disparitions sont signalées.

la nuit sans étoiles, díune obscurité et díune épaisseur díencre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il níavait la sensation de líimmense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées díavoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucune ombre díarbre ne tachait le ciel, le pavé se déroulait

la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il n'avait la sensation de l'immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucun ombre d'arbre ne tachait le ciel, le pavé se déroulait