Noir de fumée

naturaliste d’Emile Zola, Germinal. Telle cette mine personnifiée en bête sournoisement tapie et attendant sa ration quotidienne d’hommes à dévorer, la cheminée menaçante « de brique autrefois rouge, mais devenue noirâtre comme le reste, comme la fumée qu’elle vomissait » semble la destination et le but du voyage du rêveur. b) Une vision hallucinée Les personnages qui accompagnent le rêveur apparaissent progressivement, par traits de crayon plus ou moins épais…comme dans un rêve : « Je ne

est une Géorgienne pressée. Elle revient tout juste de Londres, où son expertise sur les «questions énergétiques du bassin de la Caspienne» a été très appréciée lors d'une conférence pétrolière internationale. Car Liana Jervalidze sait tout de l'or noir de la Caspienne, ce précieux liquide qu'un grand pipeline exportera bientôt en Occident, en traversant tout le sud du Caucase, passant sous le nez des Géorgiens. Elle maîtrise l'arithmétique des barils, science exacte, mais regrette que, dans son pays

du tableau. Le tableau fourmille (est remplis) d'éléments symbolique (religieux entre autres) qui éclairent le drame qui se joue ici. Une remarque tout d'abord concernant la couleur du tableau en noir et blanc : elle rappelle que Picasso à découvert l'horreur de l’événement (la pénombre = la fumée/ la noirceur de l'horreur ). On peut interpréter les différents éléments de la façon suivante le cheval : selon Picasso : il symbolise le peuple : il est représenté blessé ;transpercée au flanc par une

bois reliés par des fils de fer barbelés. Tout en haut du tableau, le ciel est bleu/gris traversé par des lignes blanches qui peuvent représenter des nuages ou de la fumée. Le tableau est principalement composé de couleurs froides: le bleu foncé des habits, le gris des casques et de la mitrailleuse, le marron des poutres et le noir des barbelés pose une atmosphère pesante et triste. Au centre du tableau les couleurs sont sombres elles expriment ce que les soldats ressentent: leur malheur. Il y a

surface; un brouillard, produit par sa sueur et sa respiration, l'enveloppe et le suit; on dirait qu'il galope dans un nuage; les deux chiens, Murg et Fenris, soufflent, de chaque côté de leur maître, par leurs naseaux sanglants, de longs jets de fumée comme des animaux fabuleux. Voici le bois de sapins; pareils à des spectres, ils étendent leurs bras appesantis chargés de nappes blanches; le poids de la neige courbe les plus jeunes et les plus flexibles : on dirait une suite d'arceaux d'argent

Les murs des maisons pompéiennes étaient enduits de plâtre intérieurement et extérieurement. On peignait les murs extérieurs en blanc, à l'exception d'une bande de deux mètres de haut, peinte en rouge au bas du mur. Des slogans en lettres rouges et noires furent aussi découverts, en particulier près des seuils d'entrée. Un couloir d'entrée (fauces) conduisait directement à l'atrium. Dans les vieilles maisons, ce couloir se divisait en deux. Avant de franchir la porte du fauces proprement dit, les hôtes

d’ensemble de la salle. Les clients assis dans la partie inférieure n’apparaissent pas ; la serveuse et les objets du bar les cachent. Plusieurs portraits sont visibles, le plus important est celui de la serveuse, suivi par celui de l’homme au chapeau noir dans le miroir et pour finir 3 femmes du balcon. La serveuse attire le regard à cause de sa place dans le tableau mais après, les objets du bar, les bouteilles, plus colorés, prennent le relais. La silhouette de la serveuse représente un triangle

pleines du breuvage revigorant. Au XIX quasiment partout en Europe, on boit du café le matin. La classe moyenne allemande déjeune, à Brême, de café et pain noir ; vers 9 heures et demie, les hommes remangent pain noir beurré, et pain blanc accompagné d'un petit verre de Schnaps. Les pères de famille ont droit, en surplus, à de la poitrine fumée, de la viande et des saucissons. À l'orphelinat d'Altona, les enfants sont cependant nourris le matin de lait, d'eau et de trois craquelins. Le café au lait

Œuvre 1 Nom de l’œuvre : La petite fille brûlée au nalpam Nature de l’œuvre : Photographie en noir et blanc Date : le 8 juin en 1974 (pendant la guerre du Viêtnam) Auteur : Nick Ut. Description de l’œuvre : C’est une photographie en noir et blanc, elle a été prise pour un magazine américain, elle a été recadré pour faire en sorte que la petite fille brûlée soit au centre. La scène se déroule lors d’un bombardement qui a eu lieu dans le village Trang Bang, au Viêtnam lors de la Guerre du

social lui impose. Le public est quant à lui plongé dans le noir et a pour seule lumière les néons cassés qui ne cesse de s’allumer et de s’éteindre, ce qui renforce l’image de sous-sol. Tout le long de la pièce il y a des gouttes d’eau qui tombent. Il pleut, plus ou moins fort, cela dépend des moments. Le comédien nous apparaît mouillé, essoufflé, comme s’il venait de courir. L’atmosphère est macabre et cela est renforcé par la fumée qui vient envahir la pièce. Au début, cet homme ne dit rien