Nom propre

métaphorique).1) Deux occurrences lexicales:La vraie éloquence se moque de l’éloquence(Pascal, Pensées)La raison veut que le poète préfère la rime à laraison (Valéry, Tel Quel)2) Une seule occurrence lexicale:Brûlé de plus de feux (simultanément au sens propre "incendie" et au sens métaphorique "feux de l'amour") que je n'en allumai.(Racine, Andromaque) METABOLE (n.f) / SYNONYMIE: répétition d'un même sens (avec effet de gradation le plus souvent)Pour consacrer à Dieu ses mains en innocence ;Il faut à ses

L’âpre hiver fondait en avalanche. (…) Il neigeait, il neigeait toujours !... Hugo, « L’expiation ». Antiphrase (f) : Dire le contraire de ce qu’on pense en faisant comprendre ce qu’on pense (=> ironie) C’est du propre ! Antonomase (f) : remplacer un nom commun par un nom propre et inversement. Un Hercule [un homme fort] ; cestuy-là qui conquit la toison [Jason], Du Bellay. Asyndète (f) : absence de conjonction, refus de subordination. (…) le poison me consume ; ma force m’abandonne ; la

le texte est littéralement envahi par une caractérisation positive qui passe par la multiplication d’adjectifs mélioratifs comme « beau », « bon et honnête », « douce », «Très grande considération». On retrouve aussi le temps de la description propre au conte, l’imparfait, avec par exemple, « avait », « annonçait », «soupçonnaient», et la présence de mots archaïques comme « icelui » dans le titre du chapitre qui inscrivent le récit dans une longue tradition. L’incipit est dominé par l’imparfait

évoque le serpent dressé verticalement associé à l’antique hiéroglyphe de la fécondation. ZIZA est aussi dans les chroniques de la bible un nom propre : ZIZA fils de Jonathan de la race de Jéramaeel, fils d’héfron de la tribu de Juda ou bien encore un fils de Shipëi, petit fils d’Allon de la famille Yedaya Chimi et Chémaya. Il est aussi dit qu’il est le nom d’un lévite donc membre de la classe sacerdotale La légende fait du degré de maître secret un sacerdote. La traduction de ZIZA signifie fleur

« nous » (v11) qui implique une souffrance commune, puis se développe par le chiasme des vers 14-15 dans lequel une anaphore de la préposition « sans » est employée pour accentuer le manque et la souffrance liée a la séparation. La répétition du nom propre « Titus » en fin d’hémistiche (v14 et v15) souligne l’importance de se présence pour Bérénice. Titus et Bérénice occupent tour à tour la même place autour du verbe « puisse voir » : réversibilité idéal de l’amour partagé. Le dernier vers de la tirade

o Champ lexical de la généalogie (généalogiste, descend, droite ligne…), allié à celui de la noblesse (comte, prince, maison…), celui du droit, puis celui de la guerre allié à ceux de l’armée, de la violence (meurtriers mercenaires, noms propres de conquérants, se battre…) pour finir avec un vocabulaire moral et religieux (mal, infernal, Dieu…) * Étudier les formes, couleurs, mouvements, l’organisation de l’espace, les valeurs symboliques ou affectives de ces éléments. o Difficultés

Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman 5 10 15 20 Un personnage, tout le monde sait ce que le mot signifie. Ce n'est pas un il quelconque, anonyme et translucide, simple sujet de l'action exprimée par le verbe. Un personnage doit avoir un nom propre, double si possible : nom de famille et prénom. Il doit avoir des parents, une hérédité. Il doit avoir une profession. S'il a des biens, cela n'en vaudra que mieux. Enfin il doit posséder un « caractère », un visage qui le reflète, un passé qui a modelé celui-ci

LE NOM : LE NOMBRE I/ Dénombrables et indénombrables A Les dénombrables Nom les plus courants B Les indénombrables Pas d’articles indéfinis, de quantifieurs, de pluriel 1 Les indénombrables singuliers * La plupart des noms abstraits. Exemples : freedom, laziness, anger * Nom d’actions humaines. Exemples : football, cooking, England, laisure / !\ Travel -> a trip This summer, I made a trip to the USA. * A journey Did you have a good journey? /!\ Work

pour un récit, il doit jouer un rôle sur l'imagination du lecteur, mettre en place les éléments et nous plonger dans l'univers. On peut voir beaucoup de description (description du carde -> importance du paysage), ainsi que d'occurence de noms propres ("les champes Elysées" ; "Neuilly"...), Maupassant créer une précision, on arrive à reconnaître les lieux car ils existent, c'est un effet de réel. l 1 à 4: on peut croire à un grand évènement: "de fort bonne heure" ; "depuis 5mois" (complément

ou Richard de Lison et le prêtre de la Croix-en-Brie. Avant le XIe siècle le renard n'existait pas, on disait : le goupil.  C'est depuis le roman et les aventures d'un certain goupil nommé Renard que tous les goupils sont désignés par ce nom propre devenu nom commun : Renard Renard est par moment plaisant, mais aussi inquiétant, farceur ici et cynique là, habile comédien ou symbole du mal absolu. La ruse est constamment présente : au cours du récit apparaissent et réapparaissent les même personnages