Nom romain

baiser par Cyrano. La première phrase de l’extrait présenté à l’analyse est une phrase uninominale, c'est-à-dire qu’elle ne contient qu’un mot, en l’occurrence un substantif : « Baiser ». Cette phrase sert d’hyperthème à la suite de la scène où le nom « Baiser » sera subdivisé en différents propos. * L’ascension de Christian poussé par Cyrano constitue le deuxième mouvement de ce passage. Le passage entre ces deux premiers mouvements se fait par l’invitation de Roxane (« Eh bien ! montez

oxymores, de nombreuses hyperboles… Le début du texte est donc marqué par l’affliction de l’auteur, il tient également ses promesses présentées dans la préface, celles de faire passer au lecteur des sentiments à travers ses expériences, de parler au nom des hommes. En effet, il s’adresse à travers le discours direct aux parents endeuillés. (Vers 3 et 4) Un autre aspect intéressant de cette expression de la douleur est la révolte, plus particulièrement contre Dieu, qu’il montre comme acteur de son

Plan détaillé sur Thérèse Raquin Énoncé d’analyse : Prouvez que le passage du Pont-neuf est un endroit sinistre, que la mercerie de madame Raquin a l’apparence d’une boutique abandonnée dans laquelle moisissent les êtres qui l’habitent. Premier paragraphe  Idée principale : La rue Guénégaud aussi appelé le passage du Pont-neuf est lieu sinistre. Idée secondaire : Cette rue est composée d’endroit dégoutant et même peu porter à nous effrayée. Preuve : « étroit et sombre »(l.3), « jaunâtre

Article de Pierre Larousse I. La forme et l'apparence du texte II. Les clichés sexistes III. Le préjugé raciste I. Ce texte est une définition présentant le mot "femme". Il véhicule une image enfantine de la femme, mais inférieur a l'homme. Le document considère aussi la femme comme un objet autant pour but de concevoir et mettre au monde des enfants. Il y a donc une dévalorisation de la femme que l'on remarque grâce aux choix des termes et de citations notamment. Il utilise des substantif

existaient indépendamment des personnages qui en sont le siège. Puis du troisième au sixième vers s’esquisse un décor naturel évoqué de manière imprécise à travers des termes tels que « bois », « brise », « ramure », « voix ». Les éléments nommés sont peu nombreux. Ils sont à peine décrits : deux adjectifs seulement dont l’un (« petite ») possède une faible valeur descriptive. Quant à la notation, de couleur dans « ramure grise », elle suggère comme souvent chez l’auteur, une tonalité indécise

Article « L’emploi des temps et des organisateurs textuels dans des textes narratifs d’élèves de 9 à 14 ans issus de milieux socioculturels contrastés » Christina Romain Revue des sciences de l'éducation, vol. 33, n° 1, 2007, p. 209-235. Pour citer la version numérique de cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/016195ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé

L'Ariette VII, à l'opposé, remonte du passé au présent : le premier vers, "Ô triste, triste était mon âme", est à l'imparfait ; toute la deuxième partie est au présent, y compris le verbe principal, "dit", sur lequel une équivoque semble improbable. La transition est assurée par un passé composé, "Je ne me suis pas consolé" (vers 3 et 7), qui affirme la continuité de la tristesse, mais en empruntant le détour de la négation. Entre le premier distique et les trois suivants, il y a en effet un renversement

comme l’homme de la négation absolue, négation à Dieu, aux usages sociaux, au conformisme (l.18). - Souhait de vouloir garder sa réputation de libertin intacte, comme le prouve la tournure « Il ne sera pas dit ». =► Registre polémique. - Au nom de la raison, il veut savoir qui parle (l.9-10 « je veux …»), et refuse le pardon du Ciel. - Il ne peut même pas envisager le Ciel, comme le prouve l’énumération doublée d’une gradation ascendante dans le mal (l.9 « spectre, fantôme, diable

d'art et non par les praticiens des XVIIe et XVIIIe siècles. Ceux-ci ne se pensaient pas baroques mais classiques. Ils utilisent les formes du Moyen Âge, les ordres classiques, les frontons, toute une modénature classique issue des modèles gréco-romains. Il est né à Rome à la fin du XVIe siècle. En français, le terme est attesté dès 1531 à propos d'une perle, à la fin du XVIIe siècle au sens figuré.[2] Le mot pourrait également provenir d'une appellation latine d'un syllogisme : baroco, syllogisme

ténèbres, où son grondement peu à peu s’éteignit. Emile ZOLA, La Bête humaine (1890) Etude I/ Une scène réaliste et naturaliste 1/ Contexte et personnages · Les personnages sont des personnages du peuple appelés populairement soit par leur nom de famille (« Pecqueux »), soit par leur prénom (« Jacques »). Le contexte est contemporain, Zola évoque la vie quotidienne dans sa banalité (par opposition au roman romantique traditionnel, qui retrace des destins exceptionnels. L’œuvre se situe dans