Nombre de Dunbar

Sherlock Holmes. Certains, et pas les moindres, se sont soldés par des échecs et ne méritent donc pas d'être contés puisqu'ils demeurent inexpliqués. Un problème sans solution peut intéresser un amateur, mais il ennuierait le lecteur occasionnel. Au nombre de ces histoires sans conclusion figure celle de M. James Philimore qui, rentrant chez lui pour prendre son parapluie, ne reparut plus jamais. Non moins remarquable, celle du cutter Alicia qui, par une matinée de printemps, s'enfonça dans un petit

frank neisse 702 (4) Rémy Leveau / Khadija Mohsen-Finan , « L’affaire du Sahara occidental », Etudes ,n o 1, 2000. (5) Cf. Charles Dunbar , « Saharan Statis : Status and Future Prospects of the Western Sahara Conflict », Middle East Journal , vol. 4, automne 2000, pp. 522-545. (6) Il n’est pas possible, à l’heure actuelle, de dénombrer le nombre exact de Marocains vivant au Sahara occidental. Toutefois, il est admis que la population de Laayoune, capitale du Sahara occidental, ne com-

presque un siècle, caractérisé par une forte cumulativité des résultats, effort collectif qui a fini par déboucher, au début des années quatre vingt, sur un formalisme à la fois d’une très grande élégance et d’une très grande rigueur3. À partir d’un nombre réduit d’hypothèses, la finance néoclassique a réussi à unifier un riche ensemble de résultats (formule du CAPM, formule Black-Sholes, efficience informationnelle ou théorème Modigliani-Miller) en démontrant qu’ils pouvaient tous être repensés dans

et complexes (comme celles retrouvées en météorologie et dans les « Sciences de la complexité »). Plusieurs formulations ont toutefois été proposées concernant ces causalités : théorie du traumatisme (Freud), théorie des personnalités prédisposées (Dunbar), théorie émotionnelle (l’alexithymie de Sifneos), théorie économique (Marty), topique des clivages (Dejours), filiation narcissique (Guyotat), théorie du stress, chronobiologique, etc. Cet article comporte ainsi trois parties : • les modèles psychanalytiques

plus pratiquées. Le lecteur est attiré par les informations de la vie quotidienne des personnalités, car elles permettent aussi de fissurer LE mythe du people intouchable et parfait. En outre, un autre facteur de l'attrait à la célébrité est le nombre toujours croissant de candidats à la notoriété, chacun veut son ''quart d'heure de gloire''. Avec les nouvelles technologies, tel Internet et ses blogs, ses réseaux sociaux, ainsi que les jeux télé, le besoin d'être visible et populaire s'affiche

Réseaux Sociaux ] [2009/2010] Règle de 150 : La prétendue règle de 150, aussi appelé nombre de Dunbar, soutient que la taille d'un réseau social originel est limité à environ 150 membres. Cette règle résulte des études trans-culturelles en sociologie et plus spécifiquement en anthropologie sur la taille maximale d'un village (au sens plutôt entendu d'écovillage). Il est théorisé en psychologie évolutionniste que ce nombre peut être dû à une certaine limite humaine à reconnaitre les membres et à capter

"agressifs" ? * Comment répondre aux besoins de clients de plus en plus impatients, exigeants et individualistes ? * Comment rester serein dans un contexte de crise financière ? Parce que plus de la même chose produit les mêmes effets… En réaction, bon nombre de dirigeants appliquent ce qu'ils ont appris, à savoir : * Réduire les coûts pour être plus attractif, * Limiter au maximum les risques pour éviter de se mettre en danger, * Renforcer le reporting et les contrôles pour se rassurer, * Augmenter et

elle s’appuie. Dans une troisième partie, nous synthétiserons les différentes recherches portant sur l’étude des communautés en ligne via l’ARS. Nous présenterons l’intérêt qu’elle peut représenter en marketing à travers l’illustration d’un certain nombre de recherches menées sur ces communautés. Nous montrerons pourquoi l’analyse des réseaux sociaux ne peut représenter la seule méthode d’analyse des communautés en ligne et présenterons les pistes de recherche futures que cette dernière peut apporter

nouvelle vedette du web 2.0 : Dans un chapitre premier, nous allons expliquer la Création – Contexte : - Idées à l’origine du projet : quelles sont et ont été nos motivations dans le choix de ce sujet. - Créateurs, chiffre d’affaires et nombre d’utilisateurs. - Historique du contexte : Quel est l’évolution du contexte de notre sujet ? - La relation avec le Web2.0 : En quoi cette nouvelle technologie a permis la création de Facebook ? Dans un chapitre second, nous allons traiter

sociaux ont aussi un rôle important dans la réussite de la société, dans l'embauche par exemple, car elles contribuent au réseau professionnel. Il existe une règle de 150, la règle de Dunbar, qui déclare qu'un réseau social ne peut être composé que d'environ 150 personnes. Elle est le résultat de l'étude de Robin Dunbar, basée sur la taille d'un village et la capacité psychologique d'un individu à reconnaître d'autres individus et à percevoir les émotions des membres d'un groupe social. D'après le