Non-violence

la société incivile, S. ROCHE (1996) | Incivilité Ce que l'on appelle " incivilités " ce sont les ruptures de l’ordre dans la vie de tous les jours, ce que les acteurs ordinaires considèrent comme la loi et non pas ce que les institutions qualifient d’ordre ( les infractions). Quelque unes de leurs incarnations sont : les dégradations de boîtes aux lettres, les odeurs d’urine dans les cages d’escalier, les bruits, les vitres brisées, les groupes de jeunes impolis et parfois agressifs assemblés

logiques et les dynamiques du passage à la violence politique ? Plan : I. Une notion complexe impliquant différentes formes * 1) Définition et historique de la notion de violence politique. * 2) Typologie. * 3) Trois formes de violence politique. II. Les différentes logiques de la violence politiques * 1) Construction et affirmation identitaire par la violence. * 2) Rôle et conséquences de la violence dans l’échange, la négociation. *

La violence est au cœur des préoccupations de notre société. Le législateur s’est donc naturellement emparé du phénomène pour légiférer et établir des sanctions contre les comportements violents. Par violence on entend l’utilisation de force physique ou psychologique pour contraindre, dominer, causer des dommages ou la mort. Pour la philosophe Blandine Kriegel, la violence est « la force déréglée qui porte atteinte à l’intégrité physique ou psychique pour mettre en cause dans un but de domination

démontrent que de jeunes adolescents reproduiraient des tueries en se fondant sur des films célèbres tel que Tueur Né. Certaines études nord américaines tentent d’établir un lien qui existerait entre l’augmentation de la violence sur les écrans et l’augmentation de la violence effective au sein d’une population. Il existe en effets des études longitudinales menées à New –York entre 1975 et 2000 sur un échantillon de population, qui montrent qu’il existe un lien entre le temps passé devant un écran

psaume, qui exprime une grande violence, a été exclu de la prière de l’Eglise : serait-ce le signe d’un déni de la violence contenue dans les textes sacrés ? D’un refus d’admettre la violence, qui serait une forme de reconnaissance de ce qui doit rester caché? D’une crainte que le texte ne permette pas une reprise de la violence dans l’espace sacré ? Qu’il engendre la violence plutôt que d’en préserver l’espace social? D’un déni qui empêche toute confrontation à la violence ? Dans les lectionnaires liturgiques

Communication Mission d’évaluation, d’analyse et de propositions relative aux représentations violentes à la télévision. LA VIOLENCE A LA TELEVISION RAPPORT de Madame Blandine Kriegel à Monsieur Jean-Jacques Aillagon, Ministre de la Culture et de la Communication. 1 LA VIOLENCE A LA TELEVISION Résumé du rapport de la mission Kriegel La dérive de la violence dans notre société républicaine démocratique particulièrement attachée à la liberté est un phénomène dont nous avons pris lentement

page 2 L'ennemi intérieur, Marie-Claude Tarnero-Pansartpage page 5 II/ L'esprit qui nie toujours Le temple et le tonneau, Jean-Pierre Marchand page 9 III/ Savoir dire non Du consentement à l’assujettissement, Sophie Jankélévitch page13 Antigone ou le pouvoir mutilé, Bertrand Ogilvie page17 Du combat non violent, Jacques Semelin page19 IV/ Faire face S'il est encore minuit dans le siècle, Jacques Tarnero page23 I/ Péril en la demeure Qui dit résistance dit péril, menace

1993, lors d'une session de la commission des Droits de l'Homme, que l'Assemblé Générale des Nations Unies dans une Déclaration sur l'élimination de la violence contre les femmes, pour la première fois, a fourni une définition de la violence dans son article 1 qui prévoit ; « Les termes “violence à l’égard des femmes” désignent tous actes de violence dirigés contre le sexe féminin, et causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris

LA VIOLENCE EN MILIEU SCOLAIRE Tome 3-Dix approches en Europe ESF, 2001   INTRODUCTION : Choix de lecture : Après avoir lu beaucoup sur le sujet (et parfois avec le sentiment d'être perdu ou hors contexte), j'ai remarquer que sur la problématique traitée, personne n'offrait de solution définie et de solution miracle. De ce fait, ce livre m'a véritablement passionné par le fait d'être (pour moi) très didactique et j'ai décidé de réaliser ce travail, comme si par après, celui-ci pouvait être offert

 « Vivre en crèche » REMEDIER AUX DOUCES VIOLENCES Christine SCHUHL 1) Préface L’évolution des structures petites enfance Dans les années 60 : elles étaient de « simples modes de garde » Dans les années 70 : elles étaient des lieux d’éveil et de socialisation Dans les années 80 : elles étaient des lieux de « prévention » Dans les années 90 à aujourd’hui : elles sont des lieux de « soutien à