Nord-Amérindiens

LA CONTROVERSE DE VALLADOLID A RETENIR TITRE : LA CONTROVERSE DE VALLADOLID AUTEUR : Jean-Claude CARRIERE DATE PUBLICATION : 1992 EDITEUR : POCKET Nature du roman : Roman HISTORIQUE SUJET : Situation des indiens d’Amérique en 1550 (50 ans après la découverte du nouveau monde par Christophe Colomb). EXPLICATION DU TITRE : « CONTROVERSE » = « DEBAT » Pour savoir si les indiens sont des humains avec une âme ou s’ils sont inférieurs à des humains et sans âme. « DE VALLADOLID

plus recourir au travail forcé à cause de la faible source de compétence et de motivation. Le premier chargement de cochenilles en Europe date de 1523 à Séville. Les rouges cochenilles ouvrent alors un monopole espagnol pendant trois siècles. Amérindien collectant des cochenilles avec un pinceau en queue de cerf, par Jose Antonio de Alzate y Ramirez (1777) 1.1.3 La cochenille : produit de luxe Dix fois plus puissante que les autres colorants rouges, la "grana" permet en effet d'atteindre

La Controverse de Valladolid de Jean-Claude Carrière Résumé et analyse de la pièce Un procès : Cette pièce a la forme d’un procès. Les « prévenus », les inculpés, ceux qui vont être jugés, ce sont bien sûr les Indiens d’Amérique qui vont d’ailleurs être appelés à comparaître au cours de l’audience. Pour Las Casas, ce sont des « victimes », pour Sépulvéda, ils ne sauraient l’être. De quoi accuse-t-on les Indiens ? De ne pas être des hommes, de ne pas avoir d’âme, d’être des sauvages, en un mot

plus tard (10 mai),il voit Terre-Neuve à l'horizon.Puis par le détroit de Belle Isle,ils explorent minutieusement le golfe du Saint-Laurent.Dans la Baie des Chaleurs,Jacques Cartier a un premier contacte avec les Micmacs,mais il semble déçu par les Amérindien dont il se méfie et qui n'ont que des peaux a offrir.Mais ils échangeront quand même des couteaux,tissus...contre cette matière peu prisé.Le 24 juillet afin de marquer la puissance du roi il fait édifier une croix de bois ornée de l’écusson royal

Quint une confrontation doit se tenir à Valladolid. Le sujet de cette controverse: les amérindiens sont-ils des créatures de Dieu? ou plus simplement "les Amérindiens ont-ils une àme?" La dispute oppose d'un côté le chanoine Sepùlveda qui affirme à travers son oeuvre qu'il défend lors de la controverse (le dénouement m^m de la controverse autorisera ou non la publication de son ouvrage ou non) que les amérindiens ne sont pas des enfants de Dieu. Et de l'autre côté, le dominicain Las Casas qui défend

questionnement crucial relié à la légitimité de ce mouvement religieux qui est à la fois complexe et « universel ». Laugrand, Frédéric, et Denys Delâge. « Introduction : Traditions et transformations rituelles chez les Amérindiens et les Inuits du Canada. » dans Recherches amérindiennes au Québec 38, no.2-3 (2008): 3-12 Un article d’un journal évalué par les pairs Ce texte explore la fascination pour les traditions autochtones et les transformations rituelles de ces dernières dans notre monde contemporain

d Un orignal 26. Par qui a été attaqué le camp en son absence a Des loups b Des Peaux-Rouges c Des pilleurs qui cherchaient de l'or d Des ours 27. Buck se venge. A qui est-il associé ? a Au Diable b A la terreur du Grand Nord c Au Dieu-Loup d A l'esprit du Mal 28. Que devient Buck ?

grâce à l'audace, l'acharnement, et le courage de grands explorateurs ou de grands navigateurs qui doivent passer au-delà des croyances de l'époque des ignorances. Les différentes explorations vont mettre en contact différentes civilisations amérindiennes inconnues avec les Européens. Nous allons étudier en premier Tenochtitlan qui est le centre de la civilisation aztèque confrontée à la conquête fulgurante d'Hernán Cortés aux conséquences terribles pour cette civilisation. Comment s'est déroulée

FRANÇAIS Questions p194 : le Vieux qui lisait des romans d’amour, 1-a.L’ancien nom des shuars est jivaros, peuple amérindien et habitants de la forêt de la haute Amazone. Dans leur langue « shuar » signifie « les gens ». Le nom de « jivaros » a été donné par les envahisseurs espagnols. Il veut dire sauvage ou barbare. Les jivaros « réducteurs de têtes » étaient connu comme un peuple très puissant et féroce car ils ne faisaient aucun prisonnier. Ils tuaient et arrachaient les têtes de

inspirée d’un fait réel qui eu lieu en Espagne en 1550 à l’initiative de Charles Quint. Dans ce texte sont mis en scène le théologien Sépulvéda et le dominicain Las Casas qui s’affrontent sur la nature de l’Homme, plus précisément la nature des amérindiens : sont-ils comme nous des Hommes ?  Nous pouvons alors en venir à se demander en quoi cet extrait relève deux conceptions radicalement opposées du rapport à l’autre.  Tout d’abord, nous pourrons étudier l’argumentation proposée pour présenter