Normande

Madame Bovary résumés *Flaubert évoque Rouen et la campagne normande sous la Monarchie de Juillet, et le milieu des paysans comme celui de la petite bourgeoisie et de l'aristocratie. Emma Rouault : fille d'un fermier de Tostes (petit village normand). Mariée à Charles Bovary, les deux habitent Yonville-l'Abbaye. Elle a 20 ans en 1838. Charles Bovary : officier de santé (il n'a pas de titre de médecin). Mari d'Emma, il s'était déjà marié une fois. Il se marie aux alentours de 25 ans,

dans un second temps les éléments propices au fantastique. Barbey d’Aurevilly, dans cet extrait comme dans l’intégralité de son œuvre l’Ensorcelée, choisit de conserver le patois normand (« épanté », « choeuret », « ardé », « vironnaient », « foui », « esquelette » … ). La conservation du vocabulaire normand apporte ici un aspect véridique au récit tout en laissant au conteur ses particularités régionales. Par ce choix, l’auteur exprime son amour pour la Normandie ainsi que son respect pour

forces pensant a un débarquement juste sur ces côtes. Cette zone, c’est la Normandie car Rommel (Général Allemand ayant organisé les défenses du “Mur de l’Atlantique”) n’avait pas encore eu le temps de préparer véritablement la défense des plages normandes, la distance jusqu’a l’Angleterre n’était pas excessivement grande, la composition des plages est relativement proche de celles de l'ouest de l'Angleterre ainsi les soldats pouvaient s'entraîner outre-Manche et en débarquant a mi-marée on pouvait

docx© Philippe ROY-LYSENCOURT INTRODUCTION ET REPÈRES CHRONOLOGIQUES : l’aube de l’an mil, l’anarchie régnait un peu partout dans le monde féodal : la guerre civile déchirait les États, tandis que le monde occidental subissait les invasions normandes, arabes et hongroises. Ces troubles transportaient avec eux leurs inséparables fléaux, brigandages, mais aussi disettes et épidémies. Au milieu de tous ces maux, la faiblesse du pouvoir pontifical obligea l’Église à chercher un appui à l’extérieur

monde entier et emploie 1 788 salariés qui servent 18 000 consommateurs par jour. C’est de cette réussite spectaculaire qu’est née l’expression «la bosse du commerce», à cause de celle qui affligeait Aristide Boucicaut. Né en 1810 à Bellême, ce Normand, fils d’un chapelier, travaille d’abord comme commis dans la boutique paternelle, puis devient marchand d’étoffes sur les marchés. D’imposante stature et barbu, il «monte à Paris» à 19 ans et est embauché comme employé au «Petit Saint-Thomas», un

« adulateur, parleur ». Présence d’un chiasme : « fade adulateur » de forme adjectif-nom et « parleur trop sincère » de forme nom-adjectif.    Le dernier vers donne le comportement à adopter : « tachez quelquefois de répondre en Normand » en utilisant la formule proverbiale du Normand « peut être que oui, peut être que non ».    2-      La moralité et sa dimension universelle    La fable nous enseigne comment se comporter en société. Il ne faut pas être trop sincère (comme l’ours) ni trop flatteur et

financements facilement ; par ailleurs, la souplesse de fonctionnement offerte par ce statut est un grand avantage. En conséquence, s’il est possible de réunir le capital, ce statut est vivement conseillé. Cas n°2 : Ferme avicole normande 1) Conseiller l’EURL « ferme avicole normande » quant à la justification et à la légalité de la résiliation unilatérale demandée par la commune. La commune à décidé de rompre unilatéralement le contrat administratif qu’elle a conclut avec la ferme concernant la

de Flaubert. La guerre qui s'annonce va contrarier ces plans. En 1870, il s’enrôle comme volontaire lors de la Guerre franco-prussienne. Affecté d’abord dans les services d’intendance puis dans l’artillerie, il participe à la retraite des armées normandes devant l’avancée allemande. Après la guerre, il paie un remplaçant pour achever à sa place son service militaire, et quitte la Normandie pour s'installer durablement à Paris. À Paris, le jeune Maupassant passe dix années comme commis d’abord au

Flaubert. La guerre qui s'annonce va contrarier ces plans. En 1870, il s’enrôle comme volontaire lors de la Guerre franco-prussienne. Affecté d’abord dans les services d’intendance puis dans l’artillerie, il participe à la retraite des armées normandes devant l’avancée allemande. Après la guerre, il paie un remplaçant pour achever à sa place son service militaire, et quitte la Normandie pour s'installer durablement à Paris. À Paris, le jeune Maupassant passe dix années comme commis d’abord au

champs », « la ferme », « masure en masure », « trois ou quatre hameaux » etc.). C’est moins important si les lieux cités (Billettes, Varville) sont réels, imaginaires ou sans lien entre eux. C’est l’intention de l’auteur d’évoquer une atmosphère normande. Ces villages forment tout l’univers du Gueux. Cet univers est aussi limité que l’esprit du Gueux. A cause de l’absence de toute instruction, il ne sait rien du monde et il n’a jamais franchi les frontières de ces trois ou quatre hameaux. Dans ce