Nos Desirs Nous Appartiennent Ils

Culture Générale Les désirs enfantés par la société de consommation portent le plus souvent sur des objets. Ceux-ci appartiennent sans doute à l'ensemble des biens que l'on estime nécessaires au confort de la vie quotidienne, mais restent surtout les cibles d'un désir aussi vague que permanent. C’est pourquoi les hypermarchés sont devenus des lieux important dans la vie de chaque consommateur, même si la plupart d’entre considèrent ça comme une corvée. La synthèse de documents que nous proposons

comblé) ou lorsqu’il y a une absence de douleur. - Le désir = Ce qui est contingent (occasionnel, incertain, pas quelque chose de nécessaire) : changeant, focaliser sur un objet précis. Pour certains pour être heureux il faut assouvir tous ses désirs. Le désir naît d’un manque, tendance vers ce qui est extérieur, c’est que l’on ne possède pas : Platon : l’objet du désir c’est quelque chose que l’on est dépourvu. Le désir est paradoxal, il veut guérir les blessures dont il est lui-même l’origine

lorsqu’on est encore tres petit, nous parlions de nous a la troisieme personne. Mais aussi d’autres sortes d’habitudes telles que les mœurs, les coutumes, la culture, les opinions, qui sont tout autour de nous, et qui nous influencent, et qui nous appartiennent peu a peu, on adhère a certaine politique seulement parce qu’un de nos proches nous on a parler, ou parce qu’on veut être insconsciamment contre l’avis politique de quelqu’un mais aussi se fier aux mœurs pour bien agir dans la société. En effet

personnelles) I.Le roman en principe est le reflet de l'auteur. 1)Dans de nombreux romans,nous remarquons la présence de l'auteur à travers son oeuvre.Les personnages sont composés de traits physiques ou intellectuels ou psychologiques qui appartiennent à des personnes que l'écrivain a rencontrés ou connus.Il arrive même que le personnage principal soit le reflet très ressemblant de l'écrivain.les exemples sont multiples.(indiquer des personnages comme madame Bovary qui était Flaubert comme il

| | |III- Les personnages: | | |On peut les classer selon qu'ils appartiennent au monde animal, humain, végétal ou mythologique. | | |Le « bestiaire » des Fables est particulièrement riche de « modèles » représentant les travers et les vices des humains. En vertu

certaines sont en notre pouvoir exclusif tandis que d’autres ne le sont pas. Nos opinions, nos mouvements, nos désirs, nos inclinaisons, nos aversions — en un mot, toutes nos actions — appartiennent à la première classe des choses et il les appelle « prohairétiques ». Le corps, les biens, la réputation, les dignités — en un mot, toutes les choses qui ne sont pas du nombre de nos actions — appartiennent à la deuxième classe des choses et il les appelle « aprohairétiques ». Qu’est-ce donc la prohairesis ?

bonheur semble nous être effectivement donné ? Pourquoi Nietzsche dis que le bonheur est une insatisfaction de nous même alors qu’il nous arrive d’être heureux ? Somme- nous nécessairement condamnés au malheur par les illusions imaginaires de nos désirs, notre imprudence, qu’est ce qui nous fait espérer ou regretter d’être heureux ? On peut donc avoir peur de vivre dans le présent s’il est constamment menacé par l’absence du néant du passé et du futur. Comment l’homme peut-il réellement êtres heureux

Leur vie est ennuyeuse, ils gagnent peu. Ils appartiennent à la classe moyenne mais rêve à la richesse et a l'abondance. Dès qu'ils ont le moindre argent, ils le dépense. Ils vont faire en sorte à avoir des choses en croyant que cela donne l'être. Ils vivent continuellement dans leur rêve de richesse inaccessible. Leur vie tourne autour de l'argent et même leur relation en dépend. On a l'impression que se sont des machines qui reproduisent des désirs programmés par la société de consommation. On

n'est qu'éphémère, dès qu'il a séduit, il est déjà insatisfait de ne plus devoir séduire, aussi se remet-il en chasse. Ainsi, on peut penser que ce style de vie est celui de tout homme au début de sa vie, puisque qu'un enfant ne pense qu'à combler ses désirs, pas sexuels évidemment. L'enfant fonctionne à l'appât, par exemple : « Si tu veux cela, fais ceci. « , ou encore « Fais ceci et tu auras le droit à cela. » Certains hommes semblent encore appartenir à ce genre primaire d'existence, qui ne considère

limpidité m’exaspère. L’insensibilité de la mer, l’immuabilité du spectacle me révoltent… Ah ! Faut-il éternellement souffrir, ou fuir éternellement le beau ? Nature, enchanteresse sans pitié, rivale toujours victorieuse, laisse-moi ! Cesse de tenter mes désirs et mon orgueil ! L’étude du beau est un duel où l’artiste crie de frayeur avant d’être vaincu. Annonce des axes Commentaire littéraire I. Une confession 1. Le lexique Le titre signifie « la confession d'un artiste ». Le lecteur s'attend