Nos étoiles Apollinaire

Mirabeau coule la seine / […] Les jours s’en vont je demeure » + octosyllabe = forme classique • Chez Apollinaire, le temps est linéaire et fatal → « sous » regard descendant et plongeant sur l’eau → source du lyrisme et du tragique car le poète ne parvient pas à le retenir. • les saisons qui se succèdent (comme dans « Automne malade » ou « Mai » ) → imite le temps qui passe • cycle que Apollinaire créent dans ses poèmes ➔cycle d’Annie : il évoque son amour pour Annie Playden = montre le temps

Commentaire composé : Apollinaire : Alcools : « Rosemonde » Apollinaire : Rosemonde Longtemps au pied du perron de La maison où entra la dame Que j'avais suivie pendant deux Bonnes heures à Amsterdam Mes doigts jetèrent des baisers Mais le canal était désert Le quai aussi et nul ne vit Comment mes baisers retrouvèrent Celle à qui j'ai donné ma vie Un jour pendant plus de deux heures Je la surnommai Rosemonde Voulant pouvoir me rappeler Sa bouche fleurie en Hollande

un des thèmes du poème «Zone» d'Apollinaire de son recueil Alcools, que nous allons étudier. Guillaume Apollinaire est un écrivain et poète français né en 1880 et mort en 1918.Proche des cubistes (Picasso, Braque,...), il est l'inventeur du thème de «surréalisme» qui inspirera plus tard André Breton, qui vulgarisera ce courant littéraire et artistique dans son Manifeste du surréalisme. Apollinaire a également inventé le calligramme, ce type de poème qui dessine ce dont il parle. Il est ainsi considéré

Crépuscule de Guillaume Apollinaire Introduction: Guillaume Apollinaire, publie son recueil Alcools en 1913. Ce dernier constitue une grande partie de son œuvre littéraire et nous dévoile son esthétique et ses thèmes de prédilection. Le poète y expose, dans un habile jeu d'écriture entre tradition et modernité, des sujets aussi variés que récurrents comme la quête de la modernité poétique ou la déception amoureuse. Le titre est également évocateur car il sous- entend une déclinaison de plusieurs

APOLLINAIRE, LA PEINTURE ET L'IMAGE par Margaret DAVIES Nous sommes tous d'accord que l'œuvre d'Apollinaire porte des traces de son commerce avec les artistes-peintres. Si je me suis donné pour sujet la peinture et l'image poétique, c'est que j'ai voulu serrer de près le problème d'une influence possible, en analysant les différents niveaux où elle a pu jouer à diverses périodes. Cette influence, si influence il y a, a-t-elle été, somme toute, assez superficielle, ou bien a-t-elle agi sur

Nolan Français1) Poème à Lou est un recueil de posthume de poèmes écrie par Guillaume Apollinaire pour Louise de Coligny-Châtillon publié en 1947 soit 29 ans après la mort du poète en 1918 . Le poète a écrit tous ces poèmes lorsqu’il était au front pendant la Première Guerre mondiale. Il écrivait ses poèmes adressés à Louise au dos de ses lettres.2)A comme Abandon Dans certains poèmes, le poète évoque le fait qu’il a dû se séparer de Lou et donc de partir comme dans « Je te quitte » Courmelois

Apollinaire : Calligrammes, "Il y a", 1918 Le 30 septembre 1915, Apollinaire (1880-1918), engagé volontaire dans l'armée française, adresse ce poème à Madeleine, jeune fille avec laquelle il a entretenu une brève liaison. Elle vient de repartir pour l'Algérie où réside sa famille et lui pour le front. IL Y A Il y a un vaisseau qui a emporté ma bien-aimée Il y a dans le ciel six saucisses (1) et la nuit venue on dirait des asticots dont naîtraient les étoiles Il y a un sous-marin

DISSERTATION : La souffrance est un sentiment que tout être ressent à un moment où un autre de sa vie De nombreux poèmes sont écrit grâce à l'inspiration de ces maux comme l'a fait Guillaume Apollinaire qui écrit dans son poème Tristesse d’une étoile : « Et je porte avec moi cette ardente souffrance ». . Cependant la souffrance est-elle nécessaire aux poètes pour écrire ? Nous verrons que la souffrance est au cœur de la création poétique mais que la poésie reste cependant un art du langage et

Etude de « L’amour, le dédain et l’espérance » de Guy Apollinaire. L’amour, le dédain et l’espérance Je t’ai prise contre ma poitrine comme une colombe Qu’une petite fille étouffe sans le savoir Je t’ai prise avec toute ta beauté ta beauté plus riche que Tout les placers de la Californie ne le furent au temps De la fièvre d’or J’ai empli mon avidité sensuelle de ton sourire de tes  Regards de tes frémissements J’eu à moi à ma disposition ton orgueil même quand Je te tenais courbée

à corps le chant nostalgique et meurtri de la vie. Telle semble à n’en point douter la démarche poétique de Guillaume Apollinaire.          Le recueil Alcools est une exaltation de l’imagination au service du merveilleux où se côtoient savamment la forme, les fleurs, les étoiles, le jeu, les oiseaux, la mer, les saisons qui structurent l’univers poétique de Guillaume Apollinaire dont le souci premier est de véritablement chanter l’amour, le voyage, la puissance transfiguratrice de la poésie, l’appel