Nos Préférences Sont Elles Un Critère Suffisant Pour Juger D Une Oeuvre D Art

condamné à la création monotone et insignifiante. Pourtant : l’art est le lieu de l’invention et de la singularité : certaines œuvres heurtent les sensibilités parce que justement elles ne ressemblent à rien de connu, donc l’art ne semble pas devoir se contenter d’imiter la nature, ou de reproduire la réalité qui nous entoure. La nature peut être regardée comme la plus belle des œuvres d’art, c’est ainsi que les Grecs de l’Antiquité estimaient que le « cosmos » était un modèle d’ordre et de beauté. Donc

de leurs créations, nous émeuvent, nous provoquent, nous dérangent. Nous ne comprenons pas toujours leurs intentions et leurs actions, en particulier dans l’art contemporain, qui se caractérise par une importante diversité de formes. Par toutes ces œuvres, les artistes et l’art nous éloignent-ils de la réalité, en nous invitant dans leur imaginaire ? Ne peut-on pas considérer, au contraire, que bien connaître l’art nous permet d’acquérir une perception plus fine et plus riche du monde dans lequel nous

l’objet présumés esthétiques. Aussi peut-on être tenté d’identifier, à l’instar de Hegel 3, l’esthétique à la philosophie de l’art qui, de son côté, se demande plutôt : « qu’est-ce que l’art ? Quelle sorte d’entités sont les œuvres d’art ? Qu’est-ce que comprendre et apprécier une œuvre d’art ? Quelle est la valeur de l’art ? » 4. Il reviendrait à l’art de donner un contenu à la forme esthétique. Mais ici on confond subrepticement l’art et le beau, l’esthétique et l’artistique : soit par la réduction du

à partir des an nées 1960-1970 de l'existence de problèmes de nature glo bale, à l'échelle de la planète, a suscité l'émergence de réflexions cherchant à donner un cadre conceptuel à ces problèmes ainsi qu'aux politiques et instruments à mettre en œuvre pour les Revue française d'économie, n" 3/vol XVII 1 30 Vincent Aussilloux, Sylvie Hel-Thelier, Emmanuel Martinez résoudre. Cette réflexion part du constat que l'intégration croissante des économies affaiblit de plus en plus la portée des

publique. Règle de droit : (ou règle juridique) règle de conduite dans les rapports sociaux, générale, abstraite et obligatoire, dont la sanction est assurée par la puissance publique. La règle de droit est svt fondée sur une règle morale. Art 6 du code civil : On ne peut pas, par contrat, aller à l’encontre de l’ordre public et des bonnes mœurs. Or, la notion de « bonnes mœurs » est une notion morale. Def : La règle de droit est une règle de conduite s’imposant aux hommes vivant en société

 dans  l’arrêt  StoÅNgmüller  du  10 novembre  1969:  «  la  disposi2on  de  l’ar2cle  5,  paragraphe  3  (art.  5-­‐3),  ne  se  confond  pas  avec  celle  de l’ar2cle  6,  paragraphe  1er  (art.  6-­‐1)  ». CeAe  consécra(on  de  l’exigence  de  juger  avec  diligence  que  l’on  pourrait  penser  récente,  n’est pourtant  pas  étrangère  à  notre  ancien  droit

qu’elle fleurit »[1]. Il en ressort l’idée que ce qui est le plus vrai nous apprend le moins sur le monde. Ce cours est un cours en deux parties : premièrement, un cours d’éthique, plutôt d’ordre épistémologique (« Dans quelles conditions peut-on juger qu’un jugement pratique est bon ou mauvais ? », « Pourquoi doit-on avoir un comportement cohérent ? »). En effet, les juristes n’aiment pas les discontinuités. ( 2ème ?) Il y a deux grands problèmes juridiques qu’on aura toujours à résoudre : le

constitution : ensemble des règles écrites ou coutumières qui déterminent la forme de l’Etat (unitaire ou fédéral), la dévolution et l’exercice du pouvoir. - loi : au sens strict, règle de droit écrite, générale et permanente, élaborée par le Parlement (art.34 de la Constitution du 4 oct. 1958). Au sens large, règle de droit, d’origine étatique, qu’elle soit parlementaire (loi au sens strict) ou non (ordonnances, décrets, arrêtés). La loi est écrite dans le code civil en 1804, codification écrite voulue

soit pendant la phase de jugement. La procédure pénale constitue donc la mise en œuvre pratique des règles de droit pénal par la recherche des délinquants et leur jugement. De ce fait, elle réalise le trait d'union entre l'infraction qui a été commise par le délinquant et la peine qui lui sera infligée[1]. 2- La procédure pénale joue alors un rôle très important : dès que les règles de droit pénal sont mises en œuvre, il y a nécessairement l'intervention d'un procès pénal, ce qui n'est pas le cas

constitution : ensemble des règles écrites ou coutumières qui déterminent la forme de l’Etat (unitaire ou fédéral), la dévolution et l’exercice du pouvoir. loi : au sens strict, règle de droit écrite, générale et permanente, élaborée par le Parlement (art.34 de la Constitution du 4 oct. 1958). Au sens large, règle de droit, d’origine étatique, qu’elle soit parlementaire (loi au sens strict) ou non (ordonnances, décrets, arrêtés). La loi est écrite dans le code civil en 1804, codification écrite voulue