Notion De Bancarisation

toutes les opérations de banque dans leurs circonscriptions territoriales respectives, les BPR ont pour mission de contribuer au développement de leur région par la diversité des produits qu’elles offrent, le financement de l’investissement et la bancarisation de l’économie. Elles constituent le levier du Crédit Populaire du Maroc dans la collecte de l’épargne au niveau régional, sa mobilisation et son utilisation dans la région où elle est collectée. -------------------------------------------------

importante dans les années à venir sera l’internationalisation bancaire. En effet, avec l’apparition de nouvelles banques comme HSBC, Barclays… en France nous pouvons supposer que les banques françaises étant donné l’état du marché avec un taux de bancarisation de près de 100% si elles veulent conquérir d’autres clients devront aussi aller hors des frontières de la France et même de l’Europe....» En savoir + Documents similaires Envoyer par email Ajouter aux favoris Echange gratuit Télécharger

certain nombre de problèmes majeurs. Ces problèmes sont relatifs au coût du financement bancaire, à la non maîtrise des risques de changes, aux problèmes de liquidité, à la difficulté de maintenir l'équilibre financier et enfin au faible taux de bancarisation donc par effet induit de difficultés de mobilisation de l'épargne. D'une façon synthétique, il s'agit de problèmes liés à la gestion de trésorerie. Le coût du financement bancaire de l'économie n'aurait jamais été élevé si les projets financés

moyen et long terme) accordés à un même bénéficiaire autre que le OCA, les banques et les organismes financiers spécialisés. La règle de coefficient maximum de division de risquea subi des aménagements majeurs an 1992 : - Ainsi la notion de risque encouru sur un même bénéficiaire a été élargie pour englober les crédits de toute durée, et de toute nature (notamment par signature), les opérations de crédits-bail et autres locations avec options d’achat, les titres émis par le bénéficiaire

décaissements ( court, moyen et long terme) accordés à un même bénéficiaire autre que le OCA, les banques et les organismes financiers spécialisés. La règle de coefficient maximum de division de risquea subi des aménagements majeurs an 1992 : - Ainsi la notion de risque encouru sur un même bénéficiaire a été élargie pour englober les crédits de toute durée, et de toute nature (notamment par signature), les opérations de crédits-bail et autres locations avec options d’achat, les titres émis par le bénéficiaire

indicateurs de liquidité et de sécurité ................................................................ 40 III. Les indicateurs de rentabilité : Vecteur de la solidité financière ........................... 42 IV. La marge de progression du taux de bancarisation ................................................. 47 V. Le risque du taux ........................................................................................................ 48 VI. Les sociétés de financement .............................

Marketing impliquent de reconnaître que la production n’est plus une fin en soi, mais un moyen au service de la satisfaction des besoins de la clientèle qui devient la principale source de création et de promotion des produits et services. Aussi cette notion doit servir de base à un changement d’état d’esprit dans nos banques et nos entreprises. A- Le marketing bancaire et ses spécificités : De par la nature de son activité versée dans la servuction, la banque a des spécificités, ses méthodes

LE MICRO-CREDIT AU SEIN DES P.E.D. I – Approche théorique du microcrédit A – Délimitation de la notion 1) Définition du microcrédit Le microcrédit consiste en l’attribution de prêts de petites sommes d’argent aux personnes dites les plus pauvres. Ce sont des prêts qui sont majoritairement utilisés au sein des PED (Amérique Latine, Afrique et Asie en particulier, néanmoins, on a pu constater depuis peu que les pays occidentaux utilisent également le microcrédit en interne). Le microcrédit

Population servie de L’AAA B- Stratégie de L’AAA B-1 Orientations Générales B-2 Chantiers Majeurs CONCLUSION PARTIE II-LA TRANSFORMATION INSTITUTIONNELLE AU MAROC INTRODUCTION CHAPITRE I- PRESENTATION, EXPERIENCES INTERNATIONALES DE LA TI A- Notion de la transformation A-1 Définition A-2 Les formes de la transformation B- Enjeux juridiques et réglementaires C- Expériences internationales de la transformation des ONG C-1 La double transformation C-2 La transformation directe C-3 Transformation

dans l’environnement de la banque, et des tendances à moyen et long terme sont apparues, impliquant pour les dirigeants d’élargir sensiblement leur conception traditionnelle de la gestion. Celle-ci en effet, se limitait le plus souvent à la seule notion du risque inhérent à l’activité bancaire : risque d’insolvabilité lié à la transformation des flux de capitaux. Ces éléments bien qu’essentiels ne sont plus désormais suffisants pour maîtriser l’exploitation d’une banque et en assurer la pérennité