Notre-Dame-de-la-Salette

sous-inspecteur de salubrité. Enfin, cet homme semblait avoir été l'un des ânes de notre grand moulin social, l'un de ces Ratons parisiens qui ne connaissent même pas leurs Bertrands, quelque pivot sur lequel avaient tourné les infortunes ou les saletés publiques, enfin l'un de ces hommes dont nous disons, en les voyant : Il en faut pourtant comme ça. Le beau Paris ignore ces figures blêmes de souffrances morales ou physiques. Mais Paris est un véritable océan. Jetez-y la sonde, vous n'en connaîtrez

faire « il lui restait juste 3 francs quarante… », « cela représentait … boulevard », « quoique habillé…60 francs ».  La pauvreté est un handicap, George aime les endroits renommés « gagnait les Champs- Elysée », l.37 on trouve le champ lexical de la saleté qui souligne le mépris de Duroy dans le lieu où il vit.  « frisa sa moustache », « il avait l’air de toujours défier quelqu’un », « coup d’épervier », G. Duroy se sent supérieur aux autres. « quand Georges…arbres », il va du milieu populaire vers

avertit Elizabeth Arden Graham qu'elle allait gagner le Flamingo, mais que la victoire de Jewel’s Reward serait aussitôt annulés pour irrégularité par les commissaires. « Bien sûr, les rêves ne veulent pas dire grand-chose, nous déclarait hier la grande dame des cosmétiques, pourtant, ce rêve m'obsédait tandis que j'attendais dans le box du gagnant que les commissaires prennent leur décision. Ce terrible rêve s'est réalisé sous mes yeux : l'arrivée au plus juste, l'annonce d'une irrégularité, la longue

passage, et pour pousser les deux boutons électriques, l'un qui rendait la voie libre au poste précédent, l'autre qui annonçait le train au poste suivant. « Ah ! tu ne le connais pas, reprit tante Phasie. Je te dis qu'il doit me faire prendre quelque saleté… Moi qui étais si forte, qui l'aurais mangé, et c'est lui, ce bout d'homme, ce rien du tout, qui me mange ! » Elle s'enfiévrait d'une rancune sourde et peureuse, elle vidait son cœur, ravie de tenir enfin quelqu'un qui l'écoutait. Où avait-elle eu

permis ! dit M. Chabre, qui venait de se planter derrière sa femme. Il faut être en Bretagne pour voir un pareil carnaval. » Estelle ne répondit pas. Un grand jeune homme, d’une vingtaine d’années, sortait de l’église, en donnant le bras à une vieille dame. Il était très blanc de peau, la mine fière, les cheveux d’un blond fauve. On aurait dit un géant, aux épaules larges, aux membres déjà bossués de muscles, et si tendre, si délicat pourtant, qu’il avait la figure rose d’une jeune fille, sans un poil

pour Le voyageur sans bagage 1958, pour Le bal des voleurs. Le voyageur sans bagagePERSONNAGES GASTON, amnésique. GEORGES RENAUD, son frère présumé. Mme RENAUD, mère présumée de Gaston. VALENTINE RENAUD, femme de Georges. LA DUCHESSE DUPONT-DUFORT, dame patronnesse. Me HUSPAR, avoué, chargé des intérêts de Gaston. LE PETIT GARÇON Me PICWICK, avocat du petit garçon. LE MAÎTRE D'HÔTEL domestiques de la famille RenaudPREMIER TABLEAU Le salon d'une maison de province

passage, et pour pousser les deux boutons électriques, l'un qui rendait la voie libre au poste précédent, l'autre qui annonçait le train au poste suivant. “ Ah ! tu ne le connais pas, reprit tante Phasie. Je te dis qu'il doit me faire prendre quelque saleté... Moi qui étais si forte, qui l'aurais mangé, et c'est lui, ce bout d'homme, ce rien du tout, qui me mange ! ” Elle s'enfiévrait d'une rancune sourde et peureuse, elle vidait son coeur, ravie de tenir enfin quelqu'un qui l'écoutait. Où avait−elle

passage, et pour pousser les deux boutons électriques, l’un qui rendait la voie libre au poste précédent, l’autre qui annonçait le train au poste suivant. – Ah ! tu ne le connais pas, reprit tante Phasie. Je te dis qu’il doit me faire prendre quelque saleté... Moi qui étais si forte, qui l’aurais mangé, et c’est lui, ce bout d’homme, ce rien du tout, qui me mange ! Elle s’enfiévrait d’une rancune sourde et peureuse, elle vidait son cœur, ravie de tenir enfin quelqu’un qui l’écoutait. Où avait-elle eu

passage, et pour pousser les deux boutons électriques, l’un qui rendait la voie libre au poste précédent, l’autre qui annonçait le train au poste suivant. « Ah ! tu ne le connais pas, reprit tante Phasie. Je te dis qu’il doit me faire prendre quelque saleté… Moi qui étais si forte, qui l’aurais mangé, et c’est lui, ce bout d’homme, ce rien du tout, qui me mange ! » Elle s’enfiévrait d’une rancune sourde et peureuse, elle vidait son cœur, ravie de tenir enfin quelqu’un qui l’écoutait. Où avaitelle eu

est sont les croisades. Autre chose qu'on retrouve est l'idéal de la courtoisie, l'idéal amoureux et sociale. L'idéal courtois amoureux : on se dédie à sa dame. L'idéal courtois social : générosité, bonne manière et bonne éducation. Le chevalier obéit alors à son maitre, Dieu et sa dame. On va au combat pour glorifier tel ou tel dame. Sur le champs de bataille, il va devoir faire preuve de valeur (courage, sagesse, vaillance, prudence). Il englobe une série de qualité, elle s'oppose