Nous Deux Paul Eluard

qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas  Tous deux adoraient la belle Prisonnière des soldats Lequel montait à l'échelle  Et lequel guettait en bas Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas  Qu'importe comment s'appelle Cette clarté sur leur pas Que l'un fut de la chapelle  Et l'autre s'y dérobât Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas  Tous les deux étaient fidèles Des lèvres du cœur des bras Et tous les deux disaient qu'elle  Vive et qui vivra verra Celui qui croyait

coup de jeunesse, avec les symbolistes, et elle va se renouveler en profondeur grâce à Tzara arrivé à Paris en 1920, et dont les idées nihilistes vont servir de détonateur à une équipe de jeunes poètes talentueux appelés Breton, Aragon, Soupault, Eluard. Ces jeunes révoltés très soucieux de changer le monde et l’homme de fond en comble, créent en 1919 pour servir de support à leurs idées, la revue Littérature puis plus tard, en 1924, La révolution surréaliste qui prônent le rejet du bourrage de crânes

 Les mains libres est un recueil composé des dessins de Man Ray « illustrés » par les poèmes de Paul Eluard, en effet, les dessins ont été réalisés avant les textes, sans que Man Ray ne donne d’interprétations, laissant à Eluard une liberté totale dans sa manière de traiter les dessins qui prennent des formes variés, parfois semblable à de « simples » croquis et parfois très travaillés, le recueil traite différents thèmes variés, mais certains d'entre eux reviennent de manière récurrente, tel que

Paul Eluard, capitale de la douleur, « Le sourd et l’aveugle » Plan 1-Une critique de Gala et des surréalistes 2-La fin de l'aventure surréaliste Introduction "Le sourd et l'aveugle" est le 5ème poème de la seconde section "Mourir de ne pas mourir" du recueil "Capitale de la douleur", section qui trouve son origine dans un poème inspiré à Sainte Thérèse d'Avila vers 1580 où Thérèse nous écrit son calvaire, sa vie sans vivre, sa douleur et qui se termine par "que je meurs de ne pas mourir"

ne rit ? » dans Contemplations de Victor Hugo « Le Chant des Partisans » de Druon et Kessel « Motivés » de Zebda « Liberté » de Paul Éluard « Le Dormeur du val », dans Poésies d’Arthur Rimbaud « Barbara » et « Le discours sur la paix », dans Paroles de Jacques Prévert « Le Déserteur » de Boris Vian « Gabriel Péri », dans Au Rendez-vous allemand de Paul Éluard « Les fusillés de Châteaubriant », dans Pleine poitrine de René-Guy Cadou « Ce cœur qui haïssait la guerre … », dans Destinée arbitraire

Séquence 1 LA3 « La courbe de tes yeux… », Paul ELUARD, Capitale de la douleur * Paul ELUARD, artiste du XXe, contribua au mouvement surréaliste. * Dans ce recueil, l’auteur crée des images parfois surprenantes mais subtiles pour évoquer sa relation avec Gala, sa femme et sa muse. * Le poème est ce qu’on appelle un « blason » et il lui est tout particulièrement dédié. C’est à partir des yeux de la jeune femme que se développe un discours amoureux élogieux. -------------------------------------------------

l’amour ? On se pose souvent cette question mais la réponse n’est jamais parfaitement la même. En effet, il n’y a pas la définition exacte, chacun a une détermination propre à soi-même sur le terme de l’amour. Pour moi, l’amour est une chose qui relie deux personnes, quelque soit leur physique, leur origine, leur langue et leur couleur de peau. Je pense que pour la plupart des personnes, l’amour est quelque chose de merveilleux, de fabuleux et même de féerique. Cependant, je pense que ce n’est pas tout

En quoi est-il question de liberté dans l’œuvre Les mains libres ? Les mains libres se présente comme un ouvrage à quatre mains, incluant les dessins de Man Ray illustrés par les poèmesde Paul Eluard. Si cette composition se révèle étonnante , elle se révèle aussi révolutionnaire dès la première lecture du titre. En effet le titre Les mains libres laisse justement le lecteur libred’interprétation. « Les mains » donne à penser à l’outil auquel l’écrivain à recours et le terme « libre » donne à voir

ignorance. Pour l’élucider." SOMMAIRE * Guillaume Apollinaire : La colombe Et Le Jet D’eau……Page 4 et 5 (Lyrique) * Louis Aragon : Le Fou D’Elsa……Page 6 et 7 (Lyrique) * Jacques Prévert : Sables Mouvants……Page 8 (Engagé) * Paul Eluard : Liberté……Page 10, 11, et 12 (Engagé) Guillaume APOLLINAIRE (1880-1918) est l’un des plus grands poètes français du début de XXe siècle, chantre de toutes les avant-gardes artistique, notamment le cubisme, poète et théoricien de l’Esprit nouveau

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . p3 Paul FORT Complainte du petit cheval blanc . . . . . . . . . . . . . . . . p4 Gérard DE NERVAL Le point noir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p5 Alphonse DE LAMARTINE L’isolement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p6 Louis ARAGON Elsa au miroir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p8 Paul ELUARD Comprenne qui voudra . . . . . . . . . . .