Nouveau Lyrisme

première moitié du XIXe siècle que la poésie redevint un genre de premier plan, grâce aux romantiques. C’est dans l'effusion lyrique que les romantiques puisaient la matière de leurs poèmes. Pour cette génération, l'inspiration prévalait donc de nouveau, au détriment de l'idée de travail poétique : la figure allégorique de la Muse inspiratrice émaillait encore les poèmes de ce début de siècle. Enfin, le romantisme avec au premier rang Hugo, révolutionna le langage poétique avec une certaine provocation

leurs paroles. Verlaine Les fêtes galantes « Colloque sentimental » est un poème écrit par Paul Verlaine (1844 – 1896), le dernier de son recueil « les Fêtes Galantes ». Il a été écrit en 1869 et il s’agit d’un poème lyrique (le lyrisme est l’expression des sentiments personnels heureux ou malheureux). Dans ce poème, nous traiterons 3 thèmes : l’amour rejeté, la nature (très présente dans les poèmes romantiques) et le rêve morbide. Tout d’abord, nous allons parler du thème

kilomètres de la France ne peuvent être que les mots et la poésie des Châtiments accuse, ridiculise l'empereur. La variété des moyens, du lyrisme au pathétique, le poète fait allusion au feu de bois. Ici, c'est notre compassion d'abord que Victor Hugo tente de susciter par une scène pathétique qui devient bien vite le symbole de tant d'autres exactions données par le nouveau régime. Ce dernier reçoit ainsi de plein fouet la critique accusatrice du témoin de ses méfaits, le réquisitoire ne tardera pas et

y trouve une famille sans amour ou chacun est enfermé dans ses occupations et la seule fois où ils sont ensemble est au cimetière. Mais également dans « Le dormeur du val » de Rimbaud lors de la guerre Franco-Prusse de 1870. On découvre un monde nouveau, un monde mystérieux mieux cerné par le poète et dont il est plus sensible comme pour « Les correspondances » de Baudelaire ou la nature est présentée comme un lieu sacré. On découvre dans ce texte les synesthésies, mélange des 5 sens ce qui permet

dénonce les problèmes sociaux et politiques. Mais surtout, le poète a pour but d’enseigner une morale. Dans « La Cigale et la Fourmi » du recueil des Fables de La Fontaine, Conclusion Pour conclure, nous avons vu que le lyrisme, représente les sentiments évoqués par le poète, et l’engagement reflète les opinions sur les événements et courants d’idées de la société dans laquelle se trouve le poète. Ces deux genres poétiques n’ont pas la même fonction mais se complètent. De

tourne à nouveau vers le lac et la nature qui l’entoure afin qu’il puisse fixer le souvenir de leur amour. Le poète célèbre la nature dans sa permanence et dans sa diversité : permanence car la nature est éternelle et qu’elle résiste aux pouvoirs du temps, diversité car ce sont toutes les composantes de la nature sauvage qui peuvent être les gardiennes du souvenir. La nature est personnifiée car le poète projette ses sentiments en utilisant l’hypallage « riants coteaux » (v.54). Le lyrisme est caractérisé

la communion entre la nature et l'humanité toute entière ainsi que l'épanouissement du lyrisme personnel et la vague des passions, notions que l'on retrouvera dans les écrits de Musset lorsqu'il abordera « le mal du siècle ».Victor Hugo devint populaire grâce aux nouvelles notions qu'il imposa au théâtre, en s'affranchissant des contraintes classiques. C'est ainsi qu'il écrivit Hernani et qu'il imposa un nouveau genre littéraire. Cette révolution esthetique provoqua la célèbre Bataille d'Hernani.

1914 : Rencontre de Louise de Coligny. Il écrit des poèmes ardents et des calligrammes pour elle. * 1916 : Publication du Poète assassiné car il a été blessé pendant la guerre. * 1917 : Lancement des termes de « surréalisme » et d’ « esprit nouveau ». * 1918 : Publication de Calligrammes. Mort d’Apollinaire en novembre à cause de la grippe espagnole. Esthétique d’Apollinaire : Tout d’abord Apollinaire est un poète qui ne fait partie d’aucun mouvement littéraire. Mais il peut être

Hugo affirmait son engagement politique. La dénonciation de la tyrannie est un ardent devoir supérieur au lyrisme quotidien et sentimental. Pour Hugo la mission de l’art est bien de « réveiller le peuple », c’est-à-dire de le sortir de la torpeur où le maintiennent le mensonge, la propagande, la peur, la lâcheté, la compromission, la facilité, l’art officiel. La poésie doit éduquer, éveiller les consciences. Pourtant réveiller suppose un éveil préalable. Victor Hugo laisse entendre, dans sa formule

quasi divine, inspirant Lamartine, ce qui est confirmé par ses propos dans la méditation poétique qui suit le poème : « j’avais enfin trouvé la fibre sensible d’un poète à l’unisson de mes voix intérieures. » p.89). L’idée du double poétique est à nouveau envisageable lorsque Lamartine commence son vers n°63 par une comparaison direct entre lui et Byron : « Comme toi, ma raison en ténèbres abonde ». Cette admiration apparente ainsi que l’idée de double artistique n’empêche pas l’auteur d’apposer