Nouveaux philosophes

Evaluation n°5 Commentaire composé, chapitre XXX François-Marie AROUET dit Voltaire (1694-1778), un des plus brillants philosophes des Lumières, a tout fait pour brouiller les pistes quand paraît Candide en 1759, sans nom d’auteur, avec pour seule mention « traduit de l’allemand par le Docteur Ralph ». Par cet anonymat, il essayait de se protéger de la censure (celle du roi et celle de la Sorbonne) et de l’embastillement. Mais il a tout de suite été identifié comme l’auteur de ce conte philosophique

manque d’un objet, il suffise d’obtenir cet objet pour que le manque disparaisse. C’est après tout ce genre de traitement du manque que semble proposer, si on la considère de manière un peu superficielle la philosophie cynique. En effet, certain philosophes, peuvent laisser penser que la liberté passe par la satisfaction des manques, quels qu’ils soient. Le meilleur moyen de ne pas être esclave du manque, c’est de le combler, immédiatement, en s’affranchissant surtout de la première raison pour laquelle

d’exception ont-ils plus de chance d’être atteint par se mal que les autres ? C’est ce que Aristote va étudier dans son ouvrage. Aristote se demande d’abord pourquoi les hommes les plus hauts placés sont les plus mélancoliques, tel que des philosophes, des hommes politiques, des poètes, des artistes, mais aussi des héros tel que Hercule. Ca paraît même être une tradition que le génie soit mélancolique, mais pour nous lecteur comprenons bien les effets de cette mélancolie il compare cela à l’ivresse

1. Résumez sur une page au plus (300 mots) l’allégorie de la caverne, puis expliquez ce que représente l’allégorie en une demi-page (100-150 mots). 2. Résumez la vision de l’amour de Socrate et de Diotime (100-150 mots). 3. Résumez la vision de l’amour d’Agathon (100-150 mots). 4. (Optionnel) Résumez la vision de l’amour des autres personnages du Banquet (4). 5. Montrez dans un texte d’au plus 2 pages qu’Alcibiade revient sur chacune des facettes de l’amour présentées par les intervenants

*TaVille*, le*LaDate* Ma chère A., J’ai lu récemment « le Misanthrope » de Molière. Dans cette pièce de théâtre, Alceste, l’amant de Célimène, dit : « je veux que l’on soit sincère ». Je me suis alors posée une question : Doit-on toujours être sincère ? Personnellement, j’estime que l’on doit toujours être loyal, et en premier avec soi-même. Si l’on n’est pas sincère avec nous-mêmes, que l’on se cache la vérité, on ne peut pas être honnête avec les autres. Dans une société dédiée à la communication

humaine n’est rien je crois même qu’il est très important de reconnaître que nous avons parfois tord et d’autre raison de plus Socrate se contredit en disant que la sagesse humaine n’est rien et ensuite dire qu’il ne la connait pas. Es-ce que le philosophe de l’époque cherchait vraiment à démontrer au gens la vérité ou plutôt à les manipuler? 642 mots

doit se proposer, et c'est ce que les premiers poètes tragiques avaient en vue sur toute chose. Leur théâtre était une école où la vertu n'était pas moins bien enseignée que dans les écoles des philosophes. Aussi Aristote a bien voulu donner des règles du poème dramatique, et Socrate, le plus sage des philosophes, ne dédaignait pas de mettre la main aux tragédies d'Euripide. Il serait à souhaiter que nos ouvrages fussent aussi solides et aussi pleins d'utiles instructions que ceux de ces poètes. Ce serait

il convient de relever que la littérature est plutôt élitiste : elle s’adresse (et particulièrement au XVIIIe siècle) à un public cultivé. Écrire suppose un lectorat. Un petit nombre seulement de personnes cultivées ont lu, en leur temps, les philosophes des Lumières. On peut penser que le texte théâtral touche un nombre plus important de personnes. Mais, là encore, seule une fraction bien précise de la société se rend plus ou moins régulièrement dans une salle de théâtre. Les spectateurs de

poèmes sur commande mais de grands écrivains le jugent de prétentieux. En 1680, il fait jouer Aspar, dont la représentation est un échec. Il retourne alors à Rouen, et publie, entre 1682 et 1687, des textes qui le font enfin connaître en tant que philosophe et scientifique soucieux de vulgarisation intelligente ; comme Les entretiens sur la pluralité des mondes ou encore L’histoire des oracles. En 1688, sa Digression sur les Anciens et les Modernes, lui vaut d'être élu à l'Académie française en 1691

gens. Un mot aussi fort que communément utilisé. Mais quelle est sa signification ? Ces passions sont-elles bonnes pour l'homme ? Sommes-nous toujours esclaves d'elles ? Qu'est-ce que les passions nous ont apportées ? Le sujet a divisé de nombreux philosophes et d'écrivains. Mais 2 thèses majeures s'opposent. L'une d'entre elles cherche à guérir l'homme de ses passions et l'autre l'accepte tout en espérant qu'elles apporteront un futur meilleur. Définissons d'abord le sujet. « Dans la philosophie