Nouvel Ordre Mondial

Japon ou les Etats unis viennent contester ou en tout cas mettre à mal la puissance du vieux continent. Celui-ci qui depuis des décennies centralisent tous les pouvoirs économiques, militaires et diplomatiques. Cependant au lendemain de ce conflit mondial, les puissances européennes qui sortent traumatisées ou frustrées à l'image de l'Italie savent que le déclin du vieux continent est enclenché. Ils sont durement touchés par la saignée démographique et par la destruction d'une partie de leur potentiel

par qui est-il critiqué et le rapport qu’il a avec l’impérialisme ? Nous commençons donc par définir ce qu’est la globalisation ? La globalisation est diversement définie dans la littérature comme: «L'intensification des relations sociales mondiales qui relient les localités éloignées de telle manière que les événements locaux sont modelés par des événements survenant nombreux miles loin et vice-versa» (Giddens, 1990: 21) mais aussi «L'intégration de l'économie-monde» (Gilpin 2001: 364) ou

Le mal américain : l'unilatéralisme Saddam Hussein vaincu, le Koweït libéré, le 6 mars 1991, George Bush senior s'exprime devant le Congrès et déclare : «Maintenant nous voyons apparaître un nouvel ordre mondial … Un monde où les Nations unies, libérées de l'impasse de la guerre froide, sont en mesure de réaliser la vision historique de leurs fondateurs. Un monde dans lequel la liberté et les droits de l'homme sont respectés par toutes les nations». Douze ans plus tard, on parle de guerre permanente

Chapitre IV : A la recherche d’un nouvel ordre mondial depuis les années 70 Monde instable années 70 : Années clé 1979 par plusieurs événements déterminants pour la suite • 2eme choc pétrolier : OPEP (pays arabes) augmente le prix du pétrole par 3 Chômage de masse = vrai ressentie de la crise 30 glorieuses se terminent 1979 = Crise qui dure Jusqu'à aujourd’hui depuis 2008 la croissance commence à s’arrêter • Dwbdbdb Victoire des islamistes en Iran (1979) Prennent le pouvoir

entraînent de nouveaux choix. La grande nécessité : Les relations franco-allemandes essentiels à la bonne reconstruction de la France - une collaboration pour un objectif stratégique - le choix entre une paix traditionnelle d’oppression ou une paix toute nouvelle de collaboration selon Pétain 2. Une révolution intérieure & nationale OK « On ne reconstruit pas sa maison pendant qu’elle flambe! » Cette phrase enregistrée à la BBC de Londres en 1943, de François Valentin alors chef de la légion française

Japon (fin officielle de la Seconde Guerre mondiale) Nous allons donc évaluer le coût global du conflit, tant humain, matériel que moral. Après ce bilan, nous découvrirons les priorités de la reconstruction politique à l’échelle européenne et mondiale. Et enfin , nous montrerons les dissensions au sein de l’Alliance. I)Un désastre sans précédent A) Une hécatombe démographique 1)60 millions de morts La Seconde Guerre mondiale a fait au total près de 60 millions de morts

Chapitre 1 L’espace économique mondiale Un espace système construit Comment naît l’économie mondiale ? Il y a deux thèses : • la thèse classique des économistes : l’économie mondiale résulte de l’interconnexion des marchés. • la thèse critique des historiens structuralistes : « l’économie mondiale » est à l’ origine de l’économie de marché. Karl Polanyi : Les grandes transformations (1944) Rappels de la thèse classique Pour Adam Smith : Enquête sur la nature et les causes

et Churchill veulent construire un nouveau système garantissant la paix mondiale. Mais l'initiative en revient à Roosevelt qui souhaite l'abandon par les EU de leur isolationnisme et qu'ils assurent le rôle qui leur revient. Il s'agit de construire une nouvelle organisation internationale plus universelle et plus réaliste dans laquelle il y aurait non seulement une coopération politique mais aussi économique. Cette nouvelle organisation doit se baser sur les principes démocratiques de la Charte

En 1991 avec la fin de la Guerre froide et la disparition de l’URSS les Etats-Unis apparaissent comme la seule superpuissance mondiale : une « hyperpuissance » en mesure d’instaurer un nouvel ordre mondial en tant que « gendarme du monde » qui est sous le gouvernement de Georges Bush. L’Organisation des Nations Unies n’est plus paralysée par l’opposition des deux superpuissances dotées du droit de veto au Conseil de sécurité : elle peut espérer faire respecter le droit international et les droits

repères classiques (territorialité et Etat) sont en perte de vitesse, et d’autres formes apparaissent qui constituent de véritables Objets Politiques Non Identifiés, non pas parce qu’ils sont inconnus mais en raison de leur volatilité. Cette menace nouvelle par la dimension qu’elle a prise, identique pour tous – puissants et faibles – et diffuse, conduit forcément à reconsidérer l’unipolarité. En réalité, la menace constitue aussi un pôle de puissance qu’affronte la coalition anti-terroriste sous la