Nouvelle économie keynésienne

Keynes
1883/1946
 
 Biographie
 
 Anglais,
brillantes
études
à
Cambridge
 Père
et
mère
enseignants
à
Cambridge
 Mathématiques
et
économie
 Responsabilité
civiles=

Fonctionnaire
au
bureau
indien

en
Inde
de
1906
à
1908
 1909
 début
 de
 sa
 carrière
 universitaire
 ==
 ses
 professeurs
 et
 amis
 de
 la
 famille
:
 Marshall,
Pigou
 Première
publications.
 1914
Rôle
politique
=
conseiller
du
Chancelier
de
l’échiquier
puis
entre
au

Trésor

 
 Représentant
 du
 Trésor
 à
 la
 Conférence
 pour
 la


d’informations imparfaites et, plus généralement, de rigidités diverses qui font apparaître un haut taux de chômage naturel incompressible. Les rigidités introduites au sein du marché renvoient à l’approche dite des micro-fondations de la macro-économie. Selon cette approche les prix sont administrés au lieu d’être flexibles et, notamment, flexibles à la baisse, ce qui entraîne donc des déséquilibres provoquant le chômage et l’inflation. Dans la théorie néo-classique, les institutions sont toujours

place J.M Keynes rédige sa théorie de l'emploi entre 1930 et 1939, pendant la crise des années 30 et à l'amorce de la seconde guerre mondiale. Il s'intéresse donc à la relance de l'économie puis au financement de la guerre. Le but de la politique keynésienne est de résoudre le chômage sans déclencher d'inflation. Ainsi, Keynes souhaite à tout prix empêcher la formation de «goulots d'étranglement» : un chômage déjà élevé couplé d'une hausse de la demande, facteur d'inflation. Face au chômage de la Grande

le problème de l’existence d’un arbitrage entre inflation et chômage. Dès lors, on a pris l’habitude d’assimiler la courbe de PHILLIPS à une relation inflation/chômage et de résumer ainsi le dilemme auquel se trouvent confrontées les politiques keynésiennes : pour réduire le chômage, il faut tolérer plus d’inflation ; la lutte contre l’inflation se paie par une augmentation du chômage. Si cette relation a été rationalisée et théorisée, au point de devenir un instrument

SORTIES DE CRISE […] La crise de 2007 a une nouvelle fois posé les conditions de la sortie de crise. Au niveau international, volonte de mettre en place de nouvelles régulations (G20), des nouvelles réactions nationales (protectionnisme ?) Pb : En quoi les sorties de crise engendre des nouvelles formes de regulation eco ? I/ Longtemps elles ont été vécues comme des processus normaux du cycle qui ne nécessitent aucune action particulière de l’Etat II/ Politique active cependant sur un plan macroéconomique

l’accumulation des capitaux : il commence par établir une première distinction entre la valeur d’usage et la valeur d’échange : L’avantage absolu : On suppose que chaque pays ait un avantage productif dans le cas d'autarcie, mais dans le cas d'une économie ouverte, le pays va exploiter le manque à gagner en son activité productive vers d'autres activités. Donc il insiste sur l'ouverture des frontières et l'économie ouverte. 2) Thomas Malthus : Lien entre la population et volume de production nécessaire

2012 1 Quels « problèmes » économiques et sociaux ? Les sociétés contemporaines ont atteint un stade de développement économique considérable, mais des dysfonctionnements et inefficiences persistent. Ces difficultés peuvent toucher les économies des pays industrialisés aussi bien que celles des pays en voie de développement, même si ces deux catégories de pays ne sont pas forcément exposées aux mêmes problèmes aux mêmes moments. Les problèmes sont souvent interconnectés, interdépendants

comparaisons Européenne (cette dernière étant plus large que la zone euro…). La Banque Centrale Européenne a pour Origine, conséquences et moyens de lutte Deux courants de pensées s’affrontent à ce sujet : les keynésiens et les néo-classiques. La pensée keynésienne Pour les keynésiens, l’inflation n’est pas un mal en soi. Ils fondent leur théorie sur la courbe de Phillips et établissent une corrélation négative (ou relation inverse) entre l’inflation et le chômage. Concrètement, plus le niveau

K. Marx, J.M. Keynes et le Keynésianisme Les pensées marxiste et keynésiennes s’inscrivent comme des étapes importantes dans la pensée économique contemporaine avec le courant libéral. Ces deux courants ont en effet révolutionné la pensée économique. Nous verrons tout d’abord la pensée Marxiste, puis nous analyserons ensuite la pensée de Keynes suivis du Keynésianisme. I: La pensée Marxiste Karl Marx, sociologue du XIX eme siècle et fondateur du mouvement marxiste, a axé sa réflexion

richesses et quelle articulation entre la richesse et l’économie. Ils vont s’intéresser au rôle de l’Etat, il constituer en qq. sorte au vacant du libéralisme politique, et seront appelé a s’interroger au commerce international avec une conception nouvelle. La ou les mercantilistes voyant un jeu a sommes nul, ils vont montrer que chaque pays est gagnant a échanger. Il y a un renouvellement des interrogations, on va s’intéresser aussi a la production, au système de production dans le cadre du capitalisme