Nouvelle fiction

prises de position de l’écrivain grâce à la fiction qui permet de les illustrer sans les imposer. Cependant, s’il propose une interprétation du monde, le roman peut aussi nous permettre d’échapper à la réalité Le genre romanesque nous permet de nous évader, de nous plonger dans des univers nouveaux, de nous éloigner de notre vie quotidienne. Cet éloignement peut paraître réel car le roman nous permet de parcourir le monde en pensée et de découvrir de nouvelles sociétés sans avoir à nous déplacer. Ainsi

Charlie dans le sens d'un approfondissement réflexif de la structure psychologique du Moi et dans le décodage psychanalytique des manifestations de l'inconscient : rêves, souvenirs censurés, actes manqués. Charlie Gordon va ainsi se servir de ses nouvelles facultés mentales pour explorer la vie antérieure de son double attardé mental afin d'en reconstituer le parcours existentiel et d'en découvrir les traumatismes. L'auteur fera d'ailleurs un usage plus qu'insistant des différents traumatismes psychanalytiques

connaissez le thème traité, merci d'indiquer les passages à sourcer avec {{Référence souhaitée}} ou, mieux, incluez les références utiles en les liant aux notes de bas de page. (Modifier l'article) Une dystopie — ou contre-utopie — est un récit de fiction peignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur et contre l'avènement de laquelle l'auteur entend mettre en garde le lecteur. La dystopie s'oppose à l'utopie : au lieu de présenter un monde

Présentation de l’auteur du roman * Biographie De son vrai nom Karl Sti-Erland, Stieg Larsson s'engage dès le début de sa carrière dans le mouvement suédois de science-fiction et publie deux fanzines, Sfären et Fijagh. Il participe à l'exécutif de la plus grande association nordique de science-fiction, Skandinavisk Förening för Science Fiction (SFSF), avant d'en devenir le président en 1980. Journaliste et graphiste à l'agence de presse Tidningarnas Telegrambyrå, il est l'un des pionniers de la fondation

reconnaissance littéraire de la science-fiction . Né en 1920 aux Etats-Unis . Dès sa plus tendre enfance, Bradbury est passionné de littérature, passion qui ne se démentira jamais, et commence à écrire dès l'âge de 11 ans. En 1934, il quitte l'Illinois pour s'installer à Los Angeles avec sa famille où il se découvre une passion pour le cinéma. Le baccalauréat en poche dès 1938, il travaille comme vendeur de journaux mais continue d'écrire. Il publie ses premières nouvelles dès 1938 (notamment dans son propre

Doctor Who est une série télévisée britannique de science-fiction créée par Sydney Newman et Donald Wilson et diffusée depuis le 23 novembre 1963 sur BBC One. Elle raconte les aventures du Docteur, qui voyage à travers l'espace et le temps à bord d'un vaisseau spatial, le TARDIS (Time And Relative Dimension In Space, qu'on trouve aussi traduit en version française par Temps A Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale). Lorsque le Docteur est mortellement blessé, il peut survivre en se régénérant ;

Mercedes Lackey Biographie Elle est née le 24 juin 1950 à Chicago. Elle a découvert la science-fiction vers l'âge de 10 ou 11 ans avec un livre de James H. Schmitz, puis avec Andre Norton. Mercedes Lackey a toujours plaisanté sur les difficultés qu'elle avait pour trouver assez de livres intéressants dans les bibliothèques publiques pour satisfaire ses envies de lecture. Elle commença donc à écrire, d'abord pour elle-même et sans but précis, jusqu'à son entrée à la Purdue University (Indiana

portes des revues de science-fiction de l'époque. Sa prose correspondait assez peu aux critères des éditeurs de science-fiction du moment. La première reconnaissance arrive en 1978 lorsqu'il réussit à faire paraître une première nouvelle, «Funnyway» dans l'anthologie Futurs au présent dirigée par Philippe Curval. Ce texte sera récompensé par le Grand prix de la science-fiction française en 1979. -La collection Présence du futur publie ensuite un premier recueil de nouvelles, Vue en coupe d'une ville

fantastique est le bizarre, le fait étrange qui dépasse la capacité de comprendre. Le travail présente aussi les thèmes fantastiques des écrits de Guy de Maupassant et les éléments qui contribuent à la création de celui-ci, tout comme de la science-fiction, car ils ont pour première source l’œuvre de Edgar Allan Poe. « Certes, mes bons amis, je ne sais rien de pire/Que de faire des vers quand on n’a rien à dire. » Guy de Maupassant a la même pensée que Mihai Eminescu avec qui il partage non seulement

spectateur de s’en détacher et de ne pas porter uniquement son attention dessus. Cela n’empêcha pas le film d’être interdit aux moins de 17ans aux Etat Unis, et aux moins de 12ans en France pour ses scènes de violence et de torture. Dans cet univers de Fiction, tout est resté visuellement très fidèle au comics dont il est l’adaptation. L’imaginaire des personnages joue un rôle essentiel dans le graphisme. Il est un élément de compréhension du film. Lorsque le dessinateur décide par exemple d’illustrer le